2.2.3.3 Sous-système privé confessionnels
et associatif/non lucratif
Bien présent en République Démocratique
du Congo depuis la période coloniale, sous l'imposition philosophique de
l'église catholique. Le secteur privé représente environ
40% de l'offre de soins, après la philosophie catholique qui comprenait
la prédication de profit d'avoir les membres croyants, s'ajoute
plusieurs autres philosophies confessionnelles de mêmes missions telles
que :
? Protestantes ; kimbanguistes ; et salutistes etc. Ces
églises gèrent les formations sanitaires (FOSA), des
hôpitaux, qui sont les leurs en mission religieuse, mais malgré
cela l'église catholique présente à 50% de gestion des
institutions de santé en RDC, selon Mgr Fridolin en 2019.
Les prestataires privés lucratif et non lucratif
(services d'organisations non gouvernementales et d'organisations
confessionnelles...) sont associées à certaines formations
organisées par le ministère de la santé publique. Les
formations sanitaires privées intégrées dans le
système de santé bénéficient également des
supervisions du Bureau central de la zone.
Bien que le secteur privé soit admis dans l'offre de
soins pour aider et accompagner l'état a amélioré la
qualité de santé de population en RDC ; ce dernier entre en
concurrence dans la prise en charge des patients et en
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infrastructure avec le système public. L'état
d'équipement d'accueil, de l'organisation des structures et
d'infrastructures de soins et moindre considération des prestataires en
vers les patients diminue le niveau de confiance des certains admis dans les
structures publiques, malgré la pauvreté veulent se faire soigner
chez les privés (PNDS RDC, 2020).
Le sous-secteur non lucratif est un secteur associatif soit
par les ligues des jeunes, des ONG ou soit par des mutuelles de santé.
Ce secteur a l'objectif d'offrir les soins et les services à moindre
coût soit par : - cotisation des membres adhérents. - assurance et
ou par assistance, à l'intention : 1) d'aidé le gouvernement
à atteindre un objectif primordial de la couverture sanitaire
universelle comme l'est arrivait par les pays de l'OCDE ; 2) accompagné
les ménages à dépenser moins d'argent pour
bénéficier les soins et contrôler l'économie
familiale et ; 3) rendre le système de santé efficace.
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