4. Brève analyse réflexive sur le travail
sur le plan d'affaires
Je vis très clairement l'un des avantages des
méthodes actives lorsque nous avons commencé à travailler
le plan d'affaires individuel en nous inspirant de la pédagogie du
projet.
En tant normal j'aurais dû expliquer, en long et en
large, et rubrique par rubrique, chacune des parties, ce qui aurait pris de
nombreuses périodes.
Par contre dans le cas présent, ma démarche
préconisait l'essai-erreur. Il était donc permis que chacun
puisse démarrer en postulant ses propres hypothèses et en
effectuant ses propres recherches, avant que nous validions ensemble, de
leçon en leçon, le travail effectué.
Pour beaucoup d'entre eux, je constatais que de leur propre
chef, les élèves ne se seraient pas lancer dans cette aventure,
non pas qu'ils n'en étaient pas capables, mais parce qu'ils ne s'en
sentaient pas capables.
C'est évidemment l'élément fondamentale
qui détermine si une personne décide ou pas, en
définitive, de démarrer une entreprise, c'est aussi
l'élément dont nous devions tenté de déterminer, si
oui ou non, notre travail en s'inspirant de la pédagogie du projet,
ainsi que le mixte de méthodes appliqués dans les leçons;
expositif, actif, interrogatif, démonstratif, essai-erreur,
synthèse, remédiation, dans une moindre mesure
différenciation des contenus, allait avoir un impact positif sur la
motivation et donc répondre, même partiellement à la
question posée en titre de mon épreuve intégrée.
Ainsi, comme expliqué dans les pages qui
précèdent, je suis retourné dans la classe un peu plus
tard et j'ai demandé aux élèves de compléter un
questionnaire afin d'y voir plus clair.
Les résultats de cette enquête, ainsi que la
méthodologie utilisée sont intégré dans la
conclusion générale qui suit.
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