3.4. La mise en oeuvre :
Cette étape consiste à mettre en oeuvre la
technique choisie, elle doit être réalisée par une
unité clairement désignée à cet effet, par exemple
: la salle des marchés pour les risques de marché, la direction
des engagements pour le risque de crédit, ALM pour la gestion du risque
de liquidité et de taux. Quand au risque opérationnel, il a la
particularité d'être plus difficilement attribuable à une
unité spécifique vu ça présence partout.
Le principe fondamental de cette étape de gestion des
risques est de minimiser les coûts attribués à la mise en
oeuvre de la solution.
3.5. Surveillance des risques :
Le suivi permanant des risques est primordial, et ce afin de
s'assurer que les stratégies adoptées donnent des
résultats optimaux. En effet, au fil du temps et selon les
circonstances, il se peut que les décisions initialement prises
deviennent incompatibles avec la conjoncture et de ce fait elles doivent
être modifiées ou carrément remplacées.
3.6. Reporting des risques :
Le reporting est l'aboutissement logique de tout processus de
gestion, il s'agit d'une synthèse qui fait ressortir les
éléments clés sous une forme analytique, adressée
aux responsables sous forme d'un rapport dont le contenu et le niveau de
détail dépend de la fonction du destinataire.
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