CONCLUSION GENERALE
Maintenant que nous sommes au terme de ce travail, nous nous
devons d'offrir à ceux pourront nous lire aux fins de leur connaissance
personnelles ou pour s'inspirer de nous dans l'élaboration de leurs
travaux à venir, une idée générale de notre travail
pour permettre une prompt compréhension. Nous sommes conscients que
c'est une tâche difficile qui nous attend, parce qu'il n'est pas facile
de résumer en quelques lignes tout ce qui a été dit en
plusieurs phrases. Mais grâce à notre problématique, nos
hypothèses, notre méthodologie et nos résultats obtenus
sur terrain, nous arriverons à accomplir cette tâche.
C'est ainsi qu'en guise de conclusion, nous dirons que dans ce
travail, il a été question d'analyser les raisons pour lesquelles
le phénomène de conflits parcellaires ne cesse de persister dans
la ville de Lubumbashi qui entraine un problème de protection de la
propriété foncière en RDC. Nous nous sommes largement
étendus sur ce sujet tout au long de ce travail que nous avons eu
à accomplir.
En effet,nous sommes, sans ignorer, que les conflits
parcellaires sont un mal qui gangrène la ville de Lubumbashi. Tout au
long de ce travail, nous avons compris que la bonne gouvernance en
matière foncière est la clé qui pourra donner une
véritable solution aux problèmes causés par ce
phénomène de conflits parcellaires. C'est ainsi que l'Etat
congolais doit prendre en mains tout ceci, en mettant en place des structures
tant juridiques qu'administratives, munies d'une législation en
matière foncière, afin de bien gérer, administrer le
foncier de la République Démocratique du Congo. Mais tant que
tout ceci ne sera pas fait, nous assisterons à une nette persistance des
conflits parcellaires non seulement à Lubumbashi mais en RDC.
C'est ainsi que pour arriver à ce résultat, nous
avons opté pour des méthodes et techniques que nous avons
trouvées plus compatibles et adéquates pour ce travail. Ainsi,
comme méthodes nous avons utilisé : méthodes
exégétiques, la méthode juridique et la méthode
sociologique. Et comme techniques, nous avons utilisé : la
technique d'observation et la technique documentaire.
Dans ce très large tour d'horizon, nous avons eu
à peindre deux tableaux qui ont constitués les deux chapitres de
ce travail.
Dans le premier chapitre, nous l'avons commencé en
expliquantles mots clés qui construisent notre sujet,en donnant beaucoup
de détails et de précisions pour éclairer les zones
d'ombres que les termes rencontrés dans ce sujet peuvent comporter afin
de permettre une compréhension facile de nos lecteurs pour mieux aborder
le reste du travail. Et nous l'avons fini en donnant plus de détails et
d'informations sur la propriété foncière qui fait l'objet
de nombreux conflits dont il est question dans ce travail.
Quant au deuxième chapitre qui a été
consacré à la problématique même de ce travail, nous
y avons parlé, en premier lieu, des causes, dans tous leurs aspects, par
lesquelles naissent les conflits parcellaires dans la ville de Lubumbashi,
étant donné que ces conflits ne peuvent survenir sans qu'il y ait
un fait ou un acte qui favorise leur naissance ;en deuxième lieu,
nous avons parlé de raisons qui poussent ces conflits parcellaires
à ne cesser de persister dans notre ville ; en troisième
lieu, nous avons parlé de la réforme foncière comme
étant la solution la plus adéquate et la plus appropriée
pour résoudre la question de la persistance des conflits parcellaires
nous seulement à Lubumbashi mais partout en RDC ; et enfin, en
quatrième lieu, nous avons parlé de mesures qui devront
être prises pour promouvoir la protection de la propriété
foncière en RDC.
Dans le cadre des exigences de ce travail, nous sommes tenus
de donner quelques recommandations. C'est pourquoi nous affirmons notre
hypothèse dans le sens où, une nette amélioration de la
gouvernance en matière foncière est la meilleure des solutions
à apporter à ce problème de conflits parcellaires. Comme
nous l'avons dit dans le deuxième chapitre, cette amélioration
devra se reposée sur la réforme foncière qui est en bonne
voie pour être finaliser, afin de bien venir en aide au secteur
foncier.
En effet, nous ne souhaitons qu'une chose, étant
conscient de la complexité de ce sujet et du fait qu'à nous seul,
nous ne pourrons pas dire tout ce qu'il faudra sur ce sujet ou toucher à
tous les aspects que ce sujet implique, que ceux qui auront à traiter,
ultérieurement, ce sujet, nous compètent en touchant aux points
auxquels nous n'avons pas pu toucher, afin de mieux aider noter foncier.
Nous espérons, enfin, que ce travail, aussi modeste
qu'il soit, puissent aider non seulement les étudiants en s'inspirant de
nous dans leurs travaux à venir, mais aussi les politiques et tous ceux
qui oeuvres pour le bien du foncier congolais, en leur dotant de quelques
stratégies pour mener à bien leurs travail pour le
bien-être des congolais.
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