A. La création d'une page Facebook du Premier
ministère
Créé en 2004, Facebook permet de
développer, tout comme les autres médias sociaux, des
conversations et des interactions entre plusieurs internautes situés aux
quatre coins de la planète. Il permet aux organisations de diffuser des
informations valorisantes, sur leurs activités ou leurs missions.
27 BALLE Francis et EYMERY Gérard et, Les
nouveaux médias, PUF, Paris 1984, P. 107 28Ibidem
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La Communication institutionnelle au service du rayonnement
du Premier ministère du Burkina Faso : acquis, limites et
solutions
Présente sur Facebook, une organisation peut facilement
réagir à des critiques acerbes susceptibles de porter atteinte
à son image. Le Premier ministère gagnerait à ouvrir une
page sur ce réseau de un milliard vingt-trois millions (1 023 000 000)
d'abonnés à la date du 31 décembre 2013. Cinq cent
cinquante-six millions (556 000 000) d'abonnés29 s'y
connectent tous les jours. Un immense public à qui il peut adresser un
message valorisant.
B. L'exploitation d'autres réseaux
sociaux
En sus de Facebook, le Premier ministère doit s'inviter
sur d'autres réseaux sociaux tels que Google+ qui compte 300 millions
d'utilisateurs dans le monde, Twitter avec ses 271 millions d'utilisateurs et
Istagram avec 200 millions d'utilisateurs, à la date du 27 juillet
201430. A travers ces réseaux, le Premier ministère
peut mettre en place une véritable stratégie d'influence, en vue
de promouvoir une image positive.
Pour la réussite de ces actions de communication, le
renforcement des capacités de communication du Premier ministère
est une nécessité.
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