1.3. LIMITE DE LA DESINFORMATION
Le délire idéologique, la faculté d'auto
hallucination, la clôture informationnelle, l'hallucination
interprétative, et tant d'autres de déni de la
réalité dont il existe de multiples exemples ne constituent pas
de la désinformation, pour autant qu'elles ne sont pas dirigés
contre un public visé.
La désinformation se distingue ainsi du mensonge, de la
ruse, de la rumeur, de la publicité, du bobard journalistique, du faux
bruit, du trucage, de la rhétorique, et de la propagande mais en fait
appel constamment.
1.4.
OBJECTIF DE LA DESINFORMATION
Notez que cette doctrine abondamment exploité par les
communistes, pendant trois quart de siècle, est en passe d'être
reprise par les islamistes, avec, une fois de plus, certains connivences avec
les occidentaux. Pour les désinformateurs, le plus important ne
réside pas dans les réalités de la vie, mais plutôt
dans ce que les gens croient.
Trouver les mots qui portent est plus important que d'analyser
les données objectives. L'action subversive vise
généralement trois buts :
Ø Démoraliser la nation visée et
désintégrer les groupes qui la composent ;
Ø Discréditer l'autorité, ses
défenseurs, ses fonctionnaires, ses notables ;
Ø Neutraliser les masses pour empêcher toute
intervention spontanée générale en faveur de l'ordre
établi, au moment choisi, pour la prise non violente du pouvoir par une
petite minorité.
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