3.2. Les conséquences
Les mauvaises pratiques agricoles, l'explosion
démographique et la forte technologie sont les bases de pollution des
sols dans le monde est se voie plus aggravé dans les pays
industrialisés dite pays de l'hémisphère Nord et les
répercutions se voient présentent dans les pays sous ou en voie
de développement dite par Alfred Sauvy pays du tiers monde.
En effet, le monde ayant pris conscience des
impératifs modifications sur la planète, c'est ainsi que se fait
naître des termes de protection de l'environnement sous l'optique de
forte dégradation, forte pollution ; les idées des objectifs
du millénaire pour le développement qui prévoient à
ses points 7, je cite : « assurer un environnement humain
durable pour tous », et 8 : « de construire un
partenariat mondial pour le développement ».
Paradoxalement, l'ampleur de la dégradation de
l'environnement est en particulier le sol et les terres cultivables devient un
besoin alarmante, c'est pourquoi avec cette prise de conscience en 1972 il fut
organisé une déclaration sur l'environnement en STOCHOLM
prédisant que l'homme à un droit fondamental à la
liberté, à l'intégrité et à des conditions
de vie satisfaisantes dans un environnement dont la qualité lui permet
de vivre dans la dignité et le bien être ; et en 1992 avec la
charte de la terre (nature) de RIO DE JANEIRO qui dit que les pratiques
relatives à l'agriculture seront adaptées aux
caractéristiques et limites naturelle et que les zones
dégradés à la suite de l'action humaine seraient à
l' Etat. Les pays, voir les continents n'étant pas à
l'écart des aléas qui seront présenté ont en vue
presque se s'impliqué totalement tel qu'au niveau de la France avec la
charte mondiale du sol de 1981 qui était due à une prise de
conscience d'un lotissement inadapté c'est-à-dire envahissement
de l'espace. Ils prévoient un lotissement en tenant compte des
générations futures ; la convention d'Alger pour la
protection des sols agricoles (KALEGAMIRE, 2011).
Comme nous les constatons, les pratiques agricoles modernes
reposent sur l'utilisation massive d'engrains solubles qui compromet le circuit
de métabolisation des nutriments par des micro-organismes du sol.
Malgré le progrès technologique, l'homme n'arrive pas à
doser avec précision l'absorption des ions minéraux par les
plantes, ce qui donne lieu à la production des végétaux
déséquilibrés chimiquement et souvent en carences en
éléments secondaires et en oligoéléments.
La teneur en protéines, glucides, minéraux ou
vitamines de ces végétaux n'est donc pas normale ou conforme
à ce qu'elle devrait être. L'azote de synthèse est le plus
responsable des déséquilibres chimique des
végétaux, l'azote est le pivot de l'ensemble des cycles
biologiques : c'est pourquoi un apport massif extérieur d'azote non
prévu dans les cycle cause des perturbations infiniment plus grandes que
l'apport de n'importe quel autre élément (DAGADI 2011 .op.
cit).
En terme qualitatif, aussi beaucoup d'effets indirects du
changement climatique sur l'agriculture peuvent être en conjoncture. La
plupart entre eux sont estimé être négatifs et attirent
presque tout l'attention des scientifiques, chercheurs et politiciens.
Ces effets comprennent :
· La perturbation du calendrier agricole, ce qui fait que
l'on fait appel au climogramme c'est- à-dire l'homme fait adapter les
cultures aux nouvelles conditions de culture tels que le temps de semis, de
récolte, la production, la lutte contre les maladies, la
prévention des maladies,... ;
· La modification des certains écosystèmes
les plus fragiles,
· La monté du niveau des mers occasionné
par la fonte des icebergs et des calottes glacières ;
· L'augmentation de la fréquence en maladies
cryptogamiques aux plantes et des fléaux surtout
étranges ;
· La désertification et les pluies
acides ;
· La perte de la biodiversité ;
· Les températures plus élevées
permettraient la croissance des plantes et des moussons plus longues dans les
régions froides et montagneuses, conduisant dans certains cas à
une augmentation des récoltes et de production. par contre dans les
régions froides déjà chaudes, le changement climatique
peut réduire la production.
II.2.4 Les mesures naturelles appliquées pour
améliorer la fertilité des sols
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