2.1 Fonction productive des sols et des
écosystèmes forestiers
C'est juste ce que propose l'approche agro écologique,
parce qu'elle et plus sensible une complexités de l'agriculture locale
et la présence de larges critères des normes pédologiques
d'une exécution qui inclue des propriétés de
viabilités écologique favorables conservatrice des ressources et
des capitaux que regorge le sol. Dans cette optique de chose, l'agriculture
écologique devrait :
§ préserver les écosystèmes
de base par des associations judicieuses permettant d'augmenté
la productivité, l'effet des pluies, et le puits carbone. Les agro
forestiers peuvent créer des associations des plantes
complémentairement mieux en mesure de se protéger les unes les
autres contre leurs parasites et de favoriser mutuellement leur
développement. Les besoins d'engrains et surtout de pesticides sont
alors moindres qu'en agriculture intensive classique.
§ Améliorer le rendement
agricole : les écosystèmes agro écologiques
permettent de lutter contre l'érosion et recharger le sol en
matière organique célà pour une finalité
d'augmentation du rendement agricole. Ces écosystèmes contribuent
aussi à la lutte contre la salinisation, les inondations par la
limitation des ruissellements responsables des pics de crues des
rivières. ils réduisent les pollutions des nappes par les engrais
agricole, le surplus d'azote ciblé dans l'atmosphère. ainsi, la
qualité de sol est également améliorer grâce
à la litière formée par la chute des feuilles et
éventuellement par le branche que l'on peut produire des tailles des
arbres (Haies,...).
2.2 Fonctions de production protectrice
L'arbre ayant un effet protectrice des cultures et du sol par
sa couverture végétale (brise vent, moindres impacts des pluies
violant,...) qui forme un filet racinaire qui passe sous les couches
superficielles du sol occupé par les cultures pour lutter contre
l'érosion et favorisé l'infiltration et la fixation du sol et de
l'azote atmosphérique.
Ainsi, les champignons et les bactéries qui vivent en
symbiose en profitent de l'augmentation de la fertilité du sol et de sa
capacité de relation et d'augmentation et faire circuler l'eau et les
nutriments. Elles améliorent ainsi la production sylvicole et
agricole.
2.3. Fonction de production socio-économique
Les agro systèmes écologiques mises en oeuvrent
pour bien gérer contribuent a célà pour
l'amélioration et l'augmentation du niveau de vie des ménages,
les maintien de la bonne santé par la création des micro climat
et la production d'un aliment vital favorable à la consommation ;
ainsi l'espérance de vie est rallongé.
II.2.3. Les causes et conséquences de la sous
production agricole
3.11 Les causes
1. les mauvaises pratiques agricoles
Différents processus peuvent contribuer à la
dégradation des sols : l'érosion, la salinisation, la
contamination, le drainage, l'acidification, la latéritisation, les
lessivages et la disparition de l structure du sol, ou encor la combinaison de
ces facteurs.
Le plus important phénomène de
dégradation est une érosion accélérée. Il
s'agit d'une disparition progressive du sol causée par les eaux, le vent
et des mouvements des masses ou plus localement de l'action des
véhicules, du piétinement des hommes et des animaux (Microsoft
Encarta 2009 op.cit).
Dans certaines zones, elle peut être
considérée comme grave mais surtout ses effets cumulés et
à long terme sont extrêmement préoccupants. La disparition
des horizons superficiels des sols, qui renferment la matière organique
et les substances nutritives, ainsi que l'amincissement du profil des sols,
réduisent les rendements agricoles sur des sols
dégradés.
La salinisation est la concentration de taux de sel du
sodium par exemple, anormalement élève dans les sols en raison de
l'évaporation.
Les causes fréquentes de pollution, de contamination
du sol sont les déchets agricoles et les boues d'épuration qui
peuvent renfermer de fortes teneurs en métaux lourd. Des sols peuvent
également être contaminé par des atomes et
molécules radioactifs provenant des essais d'armes nucléaires sur
une superficie moindre mais préoccupantes dans la zone concernée
et voisine. Ces contaminations provoquent ainsi des plus acides
(SINZAERA 2012).
Certains sols sont naturellement acides tels que les sols de
mangroves, des sols du sahel, de sols de marécages,... mais peuvent
s'acidifiés encore en raison des pluies acides ou du dépôt
sec des gaz et de particules acides. Les pluies acides ont un PH
inférieur à 5.6. Les principales sources d'acidité dans
l'atmosphère sont les quantités croissantes des dioxydes de
soufre, le protoxyde d'azote, les oxydes nitreux, les oxydes de carbones
dégagées par des actions anthropiques (MAFUKO 2011.op.cit).
Plus d'un tiers de gaz à effet de serre émis
dans l'atmosphère sont issus des activités agricoles et
forestiers, une des préoccupations actuelles est de trouver les moyens
de gérer différemment l'agriculture afin d'accroître le
stockage de carbone dans les sols et de limiter les émissions de gaz qui
contribuent au réchauffement global de la planète.
Les plantes via par la photosynthèse, assimilent le gaz
carbonique sous forme des ions carbones végétal, dont une partie
est restituée au sol et stockée sous une forme stable dans la
matière organique ; les quantités de carbone stocké
dans le sol révèlent tout des pratiques culturales que la nature
des sols.
Dans le monde, l'agriculture est responsable des
émissions d'environ 20% de gaz qui ruinent le monde. Les plus trouver
sont : l'augmentation dans terres culturales et la diminution des puits de
carbone notamment par la déforestation et la conversion des zones
humides en particulier les tourbières :
· Le dioxyde de carbone (CO2) provenant des
incendies des forets, des résidus de récolte et de la terre, des
cultures sur brûlis ;
· Des émissions des méthanes
(CH4) provenant de la culture du riz, des rudiments tels que les
bovins ;
· Des émissions provenant de l'utilisation des
engrais azotés qui libèrent des oxydes nitreux (N2O);
· Des émissions du CO2 des machines
agricoles, des installations de la transformation et du transport ; mais
l'agriculture peut aussi jouer un rôle important dans la réduction
des émissions de gaz à effet de serre grâce à la
séquestration et au stockage du carbone dans les sols et dans les
cultures y compris l'arbre (NDAMUKENZE : aménagements agropastoraux
2010, ISDR/GL).
A cela s'ajoute une sylviculture inadapté avec
l'introduction dans la vie du paysan des essences inappropriées est
surtout des graminées qui ont un impact très négatif dans
la gestion, conservation et valorisation des terres agricoles est surtout les
adrets, ubacs et des alluvions. L'Eucalyptus qui est une essence de la famille
du Myrte dont le genre réunie près de 450 espèces
(Microsoft Encarta 2009. Op.cit); elle est une essence originaire de
l'Australie et reste l'élément prépondérant des
écosystèmes et peuplements du groupement MUSINDI.
2. Les facteurs liés à la perturbation
climatique
On parle beaucoup ce dernier temps ci du
réchauffement planétaire du globe terrestre est qui affecte
progressivement la culture ; ceci est une des conséquences dues aux
pratiques agricoles abusives et inappropriés. En effet, la terre se
réchauffe par les activités anthropiques : les
émissions des gaz carboniques, l'utilisation des énergies
fossiles, les cultures sur brûlis, la déforestation,....
L'agriculture engendre près de 35% des EGS une des
solutions préconisé pour limité les émissions est
d'adopter des modes de culture favorisant au stockage du carbone dans le sol et
à la réduction des émissions de méthanes et des
oxydes nitreux, l'intensification des actions d'éducation
environnementales ou mésologique ; célà ayant comme
méthodologie adapté à l'agriculture écologique qui
est une des méthodes Eco populistes c'est-à-dire concilier la
protection, la préservation, l'entretien de l'environnement dans la vie
courante du paysan (SINZAERA 2011.op.cit).
L'effet de serre est compris comme une accumulation des gaz
dans l'atmosphère qui constitue une barrière par la filtration
des rayons. Les rayonnements solaires sont émis sous forme de courtes
longueurs d'ondes, est faiblement réfléchie par
l'atmosphère (de l'onde de 30p.100 seulement). La majeure parie de
rayonnement (70 p.100) parvient ainsi jusqu'à la surface terrestre qui
se réchauffe. Dans un premier temps, ce phénomène naturel
est bénéfique jusqu'en l'absence de gaz à effet de serre,
la température moyenne à la surface de la terre chuterait de
+15°C, actuellement à - 18°C. En revanche, une
atmosphère surchargée en gaz à effet de serre à
pour conséquence directe ; le réchauffement de la
planète et la modification de l'ensemble du système climatique du
globe.
Les principaux gaz à effet de serre sont :
l'Azote (N2), l'Oxygène (O2),le dioxyde de carbone
(CO2), le méthanes (CH4), le chlorofluorocarbone
(CFC) qui sont les plus prédominant dans l'atmosphère . En plus
de célà s'ajoute les oxydes nitreux (N2O), l'ozone
stratosphérique (O3), les vapeurs d'eau (H2O),.... Qui
occasionnent une majeure augmentation de la température et de la
perturbation des activités humaines (MAFUKO 2011.op.cit).
Signalons enfin que cette augmentation semble ne pas encager
les monde rural, mais elle à des graves répercutions sur
l'agriculture qui sont déjà visibles dans le groupement MUSINDI
qui est notre milieu d'étude.
3. L'explosion démographique
Pendant des siècles,
l'humanité a connue une croissance ralentie, le poids de la mort bridant
considérablement l'accroissement de l'espèce humaine qui ne
comptait qu'un milliard d'habitants vers 1820. La diffusion récente, les
techniques sanitaires et médicales, cependant on entraîné
un recul durable de la mortalité partout dans le monde.
Dans les pays en voie de développement, la transition
démographique amorcée dans le courant du XX ème
siècle est plus tardivement et maintenant plus rapide que dans les pays
riches. Ses effets sont amplifiés par le recul
accéléré de la mortalité lui-même due au
soutien des nations développées par des aides
médicales.
En effet, le nombre de la population peut aussi
déterminé notre bien être est surtout sur le plan agraire
et de la production agricole alimentaire qui exige de faire recours à
des engrais chimiques, des OGM , la réduction de la période
de jachère pour satisfaire les besoins alimentaires car dit-on :
« qui dit plus des gens, dit qu'il y' à trop des bouches
à nourrir » et quelques auteurs confirment
que : « avant que la population ne devienne nombreuse, il y
avait assez de jachères qui duraient longtemps comme partout »
(FEZA.A. ; 2008 Cité par KAMBALE MATANDIKO,TFC ISDR/GL
2010.op.cit).
Le régime démographique moderne est
exclusivement le fait que les pays développés constatent et
mettent en évidence une étroite relation entre mutation
démographique et évolution économique dans la plupart
d'entre eux. En effet, la transition démographique s'est
effectuée entre la fin du XVIIémmé
Siècle et la première moitié du
XXéme siècle, soit encore l'ère des
révolutions industrielles et agricoles (Microsoft Encarta 2009
Op.cit).
4. L'INFERTILITE DU SOL
Le sol est une formation
généralement meuble constitué d'un complexe organo
minéral qui résulte de la transformation superficielle des roches
sous l'action conjointe des agents météoriques et des êtres
vivants. Le sol en agriculture biologique constitue la base de support, de
nutrition, de croissance, de développement et de production de la
plante, mais en agriculture conventionnelle, elle constitue un simple support
(DAGADI 2010.Op.cit). Parmi les déficits qui affectent la production,
c'est certainement celui en éléments minéraux qui posent
le plus grand problème. Les éléments les plus importants
pour la croissance des plantes sont : l'azote, le potassium, le phosphore,
le fer, le calcium, le soufre et le magnésium qui existent dans la
plupart des sols en quantité variables. En outre, les plantes ont
besoins de quantités infines se minéraux connus sous le Nom
d'oligo éléments ou éléments traces car
présents en très faible proportion dans le sol :
manganèse, zinc, cuivre et bore. La diminution en forte teneur de la
fertilité de sol se manifeste soit par des mauvaises pratiques et
techniques culturales (culture sur brûlis, pentes raides, usage des
pesticides, herbicides, fongicides qui favorisent l'érosion, le
dénudement du sol et la perte de ses matières nutritifs), les
changement climatique, la désertification, la salinisation par
l'irrigation, la pollution du sol qui correspond à l'accumulation de
composée toxiques : produits chimiques, sels, matières
radions actives ou agents pathogènes qui tous ont des effets nocifs sur
la croissance des plantes et la santé des animaux, du sol et des
hommes(ministère de l'écologie et du développement durable
France).
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