La protection des consommateurs par l'office congolais de controle( Télécharger le fichier original )par Patrick Musungay Kantulumba université protestante au Congo - Licence 2012 |
§. 2. LA LÉGÈRETÉ DU CONTRÔLE SUR LE PLAN TECHNIQUECette pratique abusive aux consommateurs est maintenant répandue à travers toute la République. Cela se justifie par le fait que l'Office Congolais de Contrôle ne se soucie plus du sort de ses consommateurs et par conséquent en cas des produits impropres à la consommation que les consommateurs deviennent malades à cause de ces produits.37(*) Normalement, cette attitude devait émaner de l'office car, les appareils qui sont vétustes ou inadaptation des appareils de même, de toute défectuosité mais telles inactions de l'Office Congolais de Contrôle prouvent à suffisance le niveau d'abus. De telles discriminations sont abusives parce qu'elles préjudicient les droits des consommateurs. Il n'en reste de même de la légèreté du contrôle sur le plan administratif. §. 3. LA LÉGÈRETÉ DU CONTRÔLE SUR LE PLAN ADMINISTRATIFL'Office Congolais de Contrôle doit laisser qu'il y ait une vérification en amont ou en aval de tous les dossiers ou les documents que les différents exportateurs ou importateurs viennent déposer lors de l'importation ou de l'exportation des biens ou des marchandises. D'ailleurs il y avait un dossier au niveau du tribunal qui opposait l'Office Congolais de Contrôle à la société Congo Future qui défraye la chronique sur l'importation des riz en provenance de la Chine. Selon une enquête menée par monsieur Jean Claude MVUEMBA, député à la chambre basse du Parlement, la société sus évoquée aurait importé une cargaison de riz Chinois impropre à la consommation au regard des consommateurs. Mais néanmoins tel que nous connaissons la faiblesse de nos dirigeants, ce dossier sera gagné en faveur de la société Congo Future ; car, les Libanais corrompent toujours les juges pour faire passer leurs marchandises malgré déclarés impropres à la consommation. Eu égard de tout ce qui précède, il importe que les consommateurs soient réellement protégés. * 37 NSASI MPUATI, op.cit., p.24. |
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