4-1-1-4 : PRESENTATION DES RESULTATS EN FONCTION
DE L'ORGANISATION DE LA COMMUNICATION AUTOUR DE L'EPIDEMIE
Tableau n° 32 : Répartition
des enquêtés selon la participation à la couverture de
l'épidémie du cholera
|
|
Fréquence
|
Pour cent
|
Pourcentage valide
|
Pourcentage cumulé
|
Valide
|
Oui
|
27
|
79,4
|
79,4
|
79,4
|
|
Non
|
7
|
20,6
|
20,6
|
100,0
|
|
Total
|
34
|
100,0
|
100,0
|
|
|
L'analyse de ce tableau montre que la plupart des
journalistes exerçant dans la région ont couvert la
récente épidémie du cholera, soit 79,4% contre 20,6%
représentant ceux qui ne l'ont pas couverte.
Tableau n° 33 : Opinion des
enquêtés selon leurs sources d'information
|
|
Fréquence
|
Pour cent
|
Pourcentage valide
|
Pourcentage cumulé
|
Valide
|
Autorités administrative
|
17
|
50,0
|
50,0
|
50,0
|
|
Autorités sanitaires
|
13
|
38,2
|
38,2
|
88,2
|
|
Autres
|
4
|
11,8
|
11,8
|
100,0
|
|
Total
|
34
|
100,0
|
100,0
|
|
|
Figure n° 26 : Répartition
des enquêtés selon leurs sources d'information
Sources : Enquête de terrain, mai
2011
le tableau et la figure soumis à notre observation
montrent que lors de l'épidémie de cholera en 2010, 50% des
journalistes puisait ses informations chez les autorités
administratives. 38,2% des enquêtés souligne que ses
personnes-ressources étaient les autorités sanitaires :
délégué régional, chefs de service de district de
santé et autres responsables de la santé. Par contre 11,8%
s'informait par d'autres voies. Il faut noter que les comités de crise
au niveau local sont présidés par le gouverneur au niveau
régional et par le préfet au niveau départemental. Ces
derniers reçoivent au quotidien le rapport des services de santé
pour pouvoir les communiquer aux différentes sphères
administratives étatiques impliquées.
Tableau n° 34 : Opinion des
enquêtés sur l'existence d'un comité ou cellule de crise
|
|
Fréquence
|
Pour cent
|
Pourcentage valide
|
Pourcentage cumulé
|
Valide
|
Oui
|
29
|
85,3
|
85,3
|
85,3
|
|
Non
|
5
|
14,7
|
14,7
|
100,0
|
|
Total
|
34
|
100,0
|
100,0
|
|
|
Source : enquête de terrain, mai
2011
Selon cette distribution, 85,3% des journalistes de la
région de l'Extrême-Nord était informé sur
l'existence d'un comité ou d'une cellule de crise. 14,7% parmi eux,
ignorait l'existence de cette instance. Il s'agit en l'occurrence du
comité régional de lutte contre le cholera qui a pour
président le Gouverneur de la région et pour rapporteur, le
délégué régional de la Santé publique de
l'Extrême-Nord.
Tableau n° 35 : Opinion des
enquêtés sur la présence d'un communicateur au sein du
comité ou cellule de crise
|
|
Fréquence
|
Pour cent
|
Pourcentage valide
|
Pourcentage cumulé
|
Valide
|
Oui
|
6
|
17,6
|
17,6
|
17,6
|
|
Non
|
28
|
82,4
|
82,4
|
100,0
|
|
Total
|
34
|
100,0
|
100,0
|
|
|
Source : enquête de terrain, mai 2011
Il ressort de ce tableau que 82,4% des journalistes
enquêtés ignore l'existence d'un communicateur professionnel au
sein du comité régional de lutte contre le cholera. Seul, 17,6%
reconnaît son existence au sein de ladite instance. En
réalité, au sein du comité, il existe un journaliste
professionnel, en l'occurrence, le délégué régional
de la Communication pour l'Extrême-Nord, mais ce dernier en dehors, des
comptes-rendus qu'il adresse à son ministre, est relégué
au second plan dans la gestion de l'information autour de
l'épidémie.
Tableau n° 36 : Opinion des
enquêtés sur l'existence d'un site Web
|
|
Fréquence
|
Pour cent
|
Pourcentage valide
|
Pourcentage cumulé
|
Valide
|
Non
|
34
|
100,0
|
100,0
|
100,0
|
|
Source : enquête de terrain, mai
2011
Ce tableau montre que la gestion de la récente
épidémie du cholera n'a pas intégré la
création d'un site web permettant aux médias d'y puiser des
informations pour l'alimentation de leurs papiers.
Tableau n° 37 : Opinion des
enquêtés sur la disponibilité d'informations
|
|
Fréquence
|
Pour cent
|
Pourcentage valide
|
Pourcentage cumulé
|
Valide
|
Pas disponible
|
7
|
20,6
|
20,6
|
20,6
|
|
Disponible
|
17
|
50,0
|
50,0
|
70,6
|
|
Assez disponible
|
10
|
29,4
|
29,4
|
100,0
|
|
Total
|
34
|
100,0
|
100,0
|
|
|
Figure n° 27 : Répartition
des enquêtés sur la disponibilité d'informations
Source : Enquête de terrain, mai
2011
|
|