L'étude descriptive des données
liées aux variables de chaque hypothèse de recherche fera l'objet
de notre préoccupation dans cette partie du chapitre.
4-1-1 : PRESENTATION DES RESULTATS EN FONCTION DES
MOYENS D'INFORMATION ET DU ROLE DES MEDIAS DANS LA GESTION DE L'EPIDEMIE
Tableau n°17 : Répartition
des moyens d'information utilisés
|
|
Fréquence
|
Pour cent
|
Pourcentage
valide
|
Pourcentage cumulé
|
Valide
|
Poste radio
|
53
|
53,0
|
53,0
|
53,0
|
|
Poste téléviseur
|
21
|
21,0
|
21,0
|
74,0
|
|
Journaux
|
12
|
12,0
|
12,0
|
86,0
|
|
Autres
|
14
|
14,0
|
14,0
|
100,0
|
|
Total
|
100
|
100,0
|
100,0
|
|
|
Figure 12 : Diagramme en secteur de la
répartition des moyens d'information utilisés
Source : Enquête de terrain, juin
2011
Il ressort de ce tableau et de cette figure que la radio est
le moyen d'information le plus utilisé par les populations des deux
districts de santé. C'est d'ailleurs une preuve que ce moyen reste
toujours le media de proximité. Dans le département du
Mayo-Tsanaga comme partout d'ailleurs dans l'arrière-pays, la radio
reste et demeure le média le plus présent dans la vie de la
population (53%). Le poste-récepteur radio est
généralement présent dans la majeure partie des foyers.
Cette réalité s'explique également par le coût
relativement dérisoire de l'acquisition d'un poste-récepteur
radio. Il faut également noter que les avancées de la technologie
ont davantage facilité la possibilité d'accéder à
la radio à travers le téléphone portable. Quant à
la télévision, elle vient en deuxième position (21%) comme
outil d'information. Compte tenu de la pauvreté ambiante, l'acquisition
d'un poste-téléviseur n'est pas dans l'ordre des priorités
des populations. Le niveau d'analphabétisme très poussé de
la zone fait que la presse écrite demeure ici un outil d'information de
luxe.
Tableau n°18 : Mode de
réception des informations
|
|
Fréquence
|
Pour cent
|
Pourcentage valide
|
Pourcentage cumulé
|
Valide
|
Radio
|
62
|
62,0
|
62,0
|
62,0
|
|
Télévision
|
17
|
17,0
|
17,0
|
79,0
|
|
Presse écrite
|
6
|
6,0
|
6,0
|
85,0
|
|
Autres
|
15
|
15,0
|
15,0
|
100,0
|
|
Total
|
100
|
100,0
|
100,0
|
|
|
Figure 13 : Diagramme de la
répartition des modes de reception des informations
Source : Enquête de terrain, juin
2011
A l'observation de ce tableau, nous réalisons que les
habitants des deux districts de santé sont essentiellement
informés par la radio (62%), une petite partie par la
télévision et une infime proportion par la presse écrite.
Mais, une petite frange non négligeable (15%) s'informe par d'autres
sources. On peut imaginer qu'il peut s'agir des moyens de la communication
interpersonnelle et traditionnelle. L'ethnométhodologie que nous avons
convoquée dans les modèles théoriques trouve
aisément sa place dans cette observation. Il est clair qu'une frange de
la population s'informe à travers les prêches à
l'église, dans les mosquées et autre téléphone
arabe. La troisième observation permet de noter que la grande
majorité de la population du Mayo-Tsanaga s'informe par la radio. Cela
est d'autant vrai que la radio reste le media le plus accessible pour les
habitants du département. Cette réalité découle de
ce que le territoire est en partie bien arrosé par la CRTV et par la
radio communautaire, Echo des Montagnes de Mokolo. La télévision
constitue une deuxième source, mais contribue très faiblement
(17%) à l'information de la population. En effet, pour qu'elle rivalise
la radio, elle nécessitera un niveau important d'investissement pour les
équipements de réception. La presse écrite constitue une
source d'information très négligeable (6%) de la population.
Cette faiblesse est due, nous l'avons souligné plus haut, au
degré d'analphabétisme ambiant du département. Mais une
partie de la population (15%) s'informe par des moyens autres que les
médias classiques.
Tableau n° 19 : Degré de
couverture par la radio
|
|
Fréquence
|
Pour cent
|
Pourcentage valide
|
Pourcentage cumulé
|
Valide
|
Pas du tout
|
21
|
21,0
|
21,0
|
21,0
|
|
Faiblement
|
28
|
28,0
|
28,0
|
49,0
|
|
Assez
|
51
|
51,0
|
51,0
|
100,0
|
|
Total
|
100
|
100,0
|
100,0
|
|
|
Figure 14 : Diagramme de la
répartition du degré de couverture par la radio
Source : Enquête de terrain, juin
2011
Le tableau et la figure nous permettent d'observer que le
signal radio couvre un peu plus de la moitié du territoire du
Mayo-Tsanaga. Cependant, un autre pan du territoire est faiblement couvert
alors que certaines parties de cette unité reste dans une zone de
silence. C'est le cas d'ailleurs de l'arrondissement de Koza qui ne
reçoit pas de signal radio, ni de la CRTV, ni de la Radio communautaire
Echo des Montagnes. Bien qu'elle soit présente dans la majeure partie du
territoire camerounais, la radio est encore confrontée à
certaines zones de silence dans diverses régions du pays. Dans le
département du Mayo-Tsanaga, la CRTV tout comme la radio communautaire,
Echo des Montagnes de Mokolo couvre 51% du territoire. Cela constitue un
handicap sérieux pour les campagnes de sensibilisation pour le
changement des comportements qu'initient le gouvernement et les partenaires au
développement.
Tableau n° 20: Opinion des
enquêtés sur les radios présentes
|
|
Fréquence
|
Pour cent
|
Pourcentage valide
|
Pourcentage cumulé
|
Valide
|
CRTV radio
|
31
|
31,0
|
31,0
|
31,0
|
|
Radio FM Mokolo
|
49
|
49,0
|
49,0
|
80,0
|
|
Africa N° 1
|
8
|
8,0
|
8,0
|
88,0
|
|
Station radio nigériane
|
12
|
12,0
|
12,0
|
100,0
|
|
Total
|
100
|
100,0
|
100,0
|
|
|
Figure 15 : Diagramme de la
répartition des enquêtés sur les radios présentes
Source : Enquête de terrain, juin
2011
Il découle de ce tableau que la radio communautaire
Echo des Montagnes est la plus présente sur le territoire du
département du Mayo-Tsanaga. Elle est suivie de la CRTV version radio.
Cependant, dans certaines parties du département, les habitants suivent
Africa N°1 et des stations de radio nigérianes. Cette situation est
très délicate d'autant que ces zones de silence pour les radios
nationales poussent les populations à aller vers les radios
étrangères.
Tableau n° 21 : Degré de
couverture par les chaînes de télévision
|
|
Fréquence
|
Pour cent
|
Pourcentage valide
|
Pourcentage cumulé
|
Valide
|
Pas du tout
|
28
|
28,0
|
28,0
|
28,0
|
|
Faiblement
|
43
|
43,0
|
43,0
|
71,0
|
|
Assez
|
29
|
29,0
|
29,0
|
100,0
|
|
Total
|
100
|
100,0
|
100,0
|
|
|
Figure 16: Diagramme de la répartition
selon le degré de couverture par les chaînes de
télévision
Source : Enquête de terrain, juin
2011
Les informations de ce tableau et de cette figure soulignent
que le département du Mayo-Tsanaga reste faiblement couvert par les
chaînes de télévision. Nous excluons ici, la
télévision par câble ou par antenne parabolique qui
nécessitent un équipement particulier. Une partie de ce
département ne reçoit pas du tout les images de la chaîne
nationale et des chaînes privées nationales ou internationales.
Pour corriger ce déficit, les pouvoirs publics doivent s'atteler
à installer des équipements pour la réception des images.
Cela est d'autant plus urgent que le Mayo-Tsanaga partage une longue
frontière avec la République fédérale du Nigeria.
Cette proximité risque de pousser la population à suivre
plutôt les chaînes de télévision de ce géant
voisin.
Tableau n°22 : Opinion des
enquêtés sur les noms des chaines de télévision
présentes
|
|
Fréquence
|
Pour cent
|
Pourcentage valide
|
Pourcentage cumulé
|
Valide
|
CRTV Télé
|
34
|
34,0
|
34,0
|
34,0
|
|
Canal 2
|
21
|
21,0
|
21,0
|
55,0
|
|
Equinoxe
|
17
|
17,0
|
17,0
|
72,0
|
|
STV
|
15
|
15,0
|
15,0
|
87,0
|
|
Autres
|
13
|
13,0
|
13,0
|
100,0
|
|
Total
|
100
|
100,0
|
100,0
|
|
|
Figure 17: Diagramme de la répartition
selon les chaines de télévision présentes
Source : Enquête de terrain, juin
2011
Au vu de ce tableau et de cette figure, on note que la
chaîne de télévision la plus regardée par les
populations de notre zone d'étude est la CRTV. Ce résultat suit
une certaine logique puisque la réception des autres chaînes
requiert un investissement minimum de la part des habitants. Par ordre
d'importance, suivent Canal2, Equinoxe et STV. Certaines chaînes
notamment étrangères sont également regardées par
la population de notre zone d'étude. Il faut noter que la
présence des chaînes privées est due en grande partie au
système de câblodistribution.
Tableau n° 23 : Opinion des
enquêtés sur l'existence de kiosque à journaux
|
|
Fréquence
|
Pour cent
|
Pourcentage valide
|
Pourcentage cumulé
|
Valide
|
Oui
|
32
|
32,0
|
32,0
|
32,0
|
|
Non
|
68
|
68,0
|
68,0
|
100,0
|
|
Total
|
100
|
100,0
|
100,0
|
|
|
Source : Enquête de terrain, juin
2011
Il résulte de ce tableau que la presse écrite
constitue le parent pauvre du commerce des medias classiques dans le
département du Mayo-Tsanaga et plus précisément dans notre
zone d'étude. Les journaux sont moins présents dans le
département par rapport aux médias audiovisuels. Cette absence
s'explique par le taux d'analphabétisme relativement élevé
du département, le défaut de culture de lecture et le manque
d'opérateurs économiques qui s'intéressent à ce
secteur. Seule, la ville de Mokolo dispose d'un petit espace où sont
vendus quelques titres de la presse écrite privée. Quant au
quotidien national bilingue Cameroon Tribune, il est distribué à
une dizaine d'abonnés de la ville de Mokolo.
Tableau n° 24 : Canaux de
sensibilisation pour les mesures d'hygiène
|
|
Fréquence
|
Pour cent
|
Pourcentage valide
|
Pourcentage cumulé
|
Valide
|
Medias
|
38
|
38,0
|
38,0
|
38,0
|
|
Communication interpersonnelle
|
47
|
47,0
|
47,0
|
85,0
|
|
Sources documentaires
|
15
|
15,0
|
15,0
|
100,0
|
|
Total
|
100
|
100,0
|
100,0
|
|
|
Figure 18: Diagramme de la répartition
de enquêtés selon les canaux de sensibilisation
Source : enquête de terrain, juin
2011
A partir de ce tableau et de cette figure, on note que la
sensibilisation pour le respect des mesures d'hygiène passe mieux par la
communication interpersonnelle que par tout autre moyen de communication dans
ce département. Les médias classiques viennent en seconde
position dans cette sensibilisation. La communication interpersonnelle a
joué un grand rôle dans la lutte contre la récente
épidémie. L'ONG Plan Cameroon avait mobilisé plus de deux
cent personnes appelées « soldats du cholera » pour
sensibiliser les populations au respect des mesures d'hygiène.
Tableau n° 25 : Opinion des
enquêtés sur l'apport des médias dans la prévention
du choléra
|
|
Fréquence
|
Pour cent
|
Pourcentage valide
|
Pourcentage cumulé
|
Valide
|
Pas du tout
|
63
|
63,0
|
63,0
|
63,0
|
|
Faible
|
26
|
26,0
|
26,0
|
89,0
|
|
Assez
|
11
|
11,0
|
11,0
|
100,0
|
|
Total
|
100
|
100,0
|
100,0
|
|
|
Figure 19: Diagramme sur l'opinion des
enquêtés sur l'apport des médias dans la prévention
du choléra
Source : Enquête de terrain, juin
2011
Le constat qui se dégage de ce tableau et de cette
figure est que 63% des enquêtés pensent que les médias
n'ont joué aucun rôle dans la sensibilisation des populations afin
de les mettre à l'abri de l'épidémie. Pour 26% de nos
enquêtés, ce rôle est faible alors que 11% des
enquêtés pensent que les médias ont contribué
à la prévention de l'épidémie. Ce constat rejoint
nos observations et nos hypothèses de départ. D'abord, les
médias à l'instar de la radio et de la télévision
ne couvrent qu'une partie du territoire. Ensuite, beaucoup d'acteurs
médiatiques n'ont pas le profil nécessaire pour concevoir des
messages adéquats pouvant aider à la gestion de
l'épidémie. Enfin, l'organisation de la communication
médiatique autour de l'épidémie n'était pas de
nature à faire de la presse un maillon clé dans la gestion de
l'épidémie.
Tableau n° 26 : Opinion des
enquêtés sur l'apport des médias dans la prise en charge du
choléra
|
|
Fréquence
|
Pour cent
|
Pourcentage valide
|
Pourcentage cumulé
|
Valide
|
Pas du tout
|
54
|
54,0
|
54,0
|
54,0
|
|
Faible
|
31
|
31,0
|
31,0
|
85,0
|
|
Assez
|
15
|
15,0
|
15,0
|
100,0
|
|
Total
|
100
|
100,0
|
100,0
|
|
|
Figure 20: Diagramme sur l'opinion des
enquêtés sur l'apport des médias dans la prise en charge du
choléra
Source : enquête de terrain, juin
2011
Les données de ce tableau et de cette figure mettent
en évidence l'apport des médias dans la prise en charge des
malades du cholera. La lecture de cette fréquence nous enseigne que leur
apport n'est pas significatif (54%). Comme dans le précédent
paragraphe, le faible accès des populations aux moyens d'information, le
manque de professionnalisme de la part des communicateurs ainsi le manque
d'organisation de la communication autour de l'épidémie
expliquent cette situation.
4-1-1-3 : PRESENTATION DES RESULTATS EN FONCTION
DU PROFIL DES ACTEURS DE LA COMMUNICATION
Tableau n° 27 : Répartition
des enquêtés selon le type de média
|
|
Fréquence
|
Pour cent
|
Pourcentage valide
|
Pourcentage cumulé
|
Valide
|
Radio
|
15
|
44,1
|
44,1
|
44,1
|
|
|
Télévision
|
9
|
26,5
|
26,5
|
70,6
|
|
Presse écrite
|
10
|
29,4
|
29,4
|
100,0
|
|
Total
|
34
|
100,0
|
100,0
|
|
Figure n° 21 : Répartition
selon le type de média
Source : Enquête de terrain :
mai 2011
Le tableau n° 27 et la figure n° 21
révèlent que l'audiovisuel emploie plus de la moitié des
journalistes et assimilés (exerçant dans la région de
l'Extrême-Nord. Et dans le domaine de l'audiovisuel, la radio vient en
tête en termes d'emploi avec 44,1% contre 26,5% pour la
télévision. Quant à la presse écrite, elle utilise
29,4% du personnel journalistique de la région.
Tableau n° 28 : Répartition
des enquêtés selon les formations professionnelles
reçues
|
|
Fréquence
|
Pour cent
|
Pourcentage valide
|
Pourcentage cumulé
|
Valide
|
Oui
|
12
|
35,3
|
35,3
|
35,3
|
|
Non
|
22
|
64,7
|
64,7
|
100,0
|
|
Total
|
34
|
100,0
|
100,0
|
|
|
Figure n° 22 : Répartition
des journalistes selon les formations professionnelles reçues
Source : Enquête de terrain, mai
2011
Ce tableau et cette figure liassent ressortir le statut des
hommes des medias qui exercent dans la région de l'Extrême-Nord.
64,7% des journalistes et assimilés enquêtés affirme
n'avoir reçu aucune formation professionnelle. Seuls 35,3% ont
été à une école de formation. Le reste est
composé des personnes venues dans la profession par des voies
déguisées. La plupart sont des rebuts de l'enseignement
secondaire et universitaire.
Tableau n° 29 : Répartition
des enquêtés selon leurs expériences professionnelles
|
|
Fréquence
|
Pour cent
|
Pourcentage valide
|
Pourcentage cumuli
|
Valide
|
Moins de 5 ans
|
14
|
41,2
|
41,2
|
41,2
|
|
Plus de 5 ans
|
20
|
58,8
|
58,8
|
100,0
|
|
Total
|
34
|
100,0
|
100,0
|
|
|
Figure n° 23 : Diagramme de
répartition des enquêtés selon leurs
expériences professionnelles
Source : Enquête de terrain, mai
2011
Cette distribution laisse apparaître que 41,2% des
journalistes enquêtés ont moins de cinq ans de terrain. Plus de la
moitié, soit 58,8% travaillent depuis plus de 5 ans de journalistes et
assimilés.
Tableau n° 30 : Répartition
des enquêtés selon leurs niveaux d'instruction
|
|
Fréquence
|
Pour cent
|
Pourcentage valide
|
Pourcentage cumulé
|
Valide
|
Sans niveau
|
1
|
2,9
|
2,9
|
2,9
|
|
Niveau primaire
|
2
|
5,9
|
5,9
|
8,8
|
|
Niveau secondaire
|
17
|
50,0
|
50,0
|
58,8
|
|
Niveau supérieur
|
14
|
41,2
|
41,2
|
100,0
|
|
Total
|
34
|
100,0
|
100,0
|
|
|
Figure n° 24 : Répartition
des enquêtés selon leurs niveaux d'instruction
Source : Enquête de terrain, mai
2011
Au regard de ce tableau et de cette figure, la moitié
des journalistes exerçant dans la région de l'Extrême-Nord
a mené des études jusqu'au niveau secondaire contre 41,2% pour le
niveau supérieur. Une petite partie a le niveau primaire (5,9%). Autre
curiosité, 2,9% des enquêtés n'a pas de niveau,
c'est-à-dire, n'a pas été à l'école. Ces
derniers se sont retrouvés dans la profession comme de simples
débrouillards et qui ont fini par paraitre aux yeux du public comme des
journalistes.
Tableau n° 31 : Classement
enquêtés selon les diplômes obtenus
|
|
Fréquence
|
Pour cent
|
Pourcentage valide
|
Pourcentage cumuli
|
Valide
|
Sans diplôme
|
1
|
2,9
|
2,9
|
2,9
|
|
CEPE
|
2
|
5,9
|
5,9
|
8,8
|
|
BEPC
|
4
|
11,8
|
11,8
|
20,6
|
|
Probatoire
|
7
|
20,6
|
20,6
|
41,2
|
|
Baccalauréat
|
8
|
23,5
|
23,5
|
64,7
|
|
Licence
|
9
|
26,5
|
26,5
|
91,2
|
|
Licence et plus
|
3
|
8,8
|
8,8
|
100,0
|
|
Total
|
34
|
100,0
|
100,0
|
|
|
Figure n° 25 : Répartition
des enquêtés selon les diplômes obtenus
Source : Enquête de terrain, mai
2011
Le tableau et la figure précédents nous
renseignent sur les diplômes des hommes des médias qui exercent
dans la région de l'Extrême-Nord. Nous remarquons qu'environ 35%
des enquêtés est titulaire au moins de la licence. 23,5% d'entre
eux détient le baccalauréat alors qu'environ 40% a le
diplôme du niveau secondaire (Probatoire, 20, 6%, BEPC, 14,7% et CEP,
5,9%). Les observations du tableau et de la figure précédente
sont valables pour la question du niveau.
|
|