I.2-LE NOMBRE ELEVE DES CREANCES IRRECOUVRABLES
ALLOUEES AUX SALARIES
Cette personne morale, à un objectif primordiale envers
ses employés et sa clientèle. Celui de faire de
leurs besoins, ses priorités. Elle a une politique qui
consiste à mettre à la disposition de son personnel, tous les
moyens financiers lui permettant d'exercer en toute quiétude son
travail. PPM octroie des prêts, règle les frais médicaux
(prise en charge) de ses agents, leur donne l'occasion de s'équiper en
matériel et mobilier ...
Tout cela, moyennant un remboursement mensuel après
le consentement des parties. Elle ne tire ainsi, aucun intérêt sur
ces opérations financières. L'entreprise veut à cet effet,
satisfaire de façon efficiente sa clientèle en l'offrant un
service de qualité.
Celui-ci, par la disponibilité et l'assiduité
du personnel qu'elle place. Mais aussi, lui permettre d'avoir des bonnes
conditions de vie et de travail.
Afin de mieux poursuivre cette idéologie, l'entreprise
donne cette aide financière parfois sans tenir compte de plusieurs
aspects qui pourront influencer négativement sa trésorerie. C'est
notamment, la durée des contrats (contrat de mission) et les dates de
fin de ceux-là, l'annulation immédiate en cas de faute lourde
par le client...
Ces différents éléments peuvent conduire
à une situation où le salarié ne sera plus capable de
répondre à ses charges. C'est ce qui nous amène à
observer des dettes cumulées chez certains employés qui sont
partis de la société (annexe 7).
Il n'existe pas pour autant, des mesures d'accompagnements ou
des conventions qui susciteraient chez le salarié remercié, une
envie et l'obligation de rembourser sa dette. Et cela, aussitôt qu'il
trouve un autre emploi.
En outre, la comptabilisation des prêts accordés,
dans le compte de la classe deux
(2) « 272100 Prêt de
société » ne constitue pas une immobilisation
financière. Car ses aides financières ne procurent pas
d'intérêts. Ce compte ne pourrait pas également figurer
dans le bilan de fin d'exercice comptable. Dans la mesure où, ces
prêts sont sensés être remboursés à court
terme (trois à cinq mois).
Comme nous l'avons précité, l'accroissement des
prêts, des bons par les employés qui deviennent des pertes pour
entreprise, ont un impact négatif sur la trésorerie.
PPM sera dans l'obligation de solder les dettes
contractées par son personnel auprès des fournisseurs. Tout en
puisant les ressources de ses fonds propres (la commission). Ce personnel se
trouve dans l'incapacité d'honorer aux engagements pris envers elle.
Le paiement retardé des créances de sa
clientèle, fait percevoir qu'il y a un manque de provision dans ses
comptes. Suscitant éventuellement, un ralentissement de son
fonctionnement quotidien et habituel.
Si la gestion des opérations de trésorerie
à PPM peut s'illustre par cette description et celle des insuffisances
relevées, force nous revient d'en apporter des suggestions qui pourront
la rendre optimal.
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