6. Test de validation
Graphique et table des inverses des racines
AR Root(s) Modulus Cycle
0.331481 0.331481
No root lies outside the unit circle. ARMA model is
stationary.
MA Root(s)
|
Modulus
|
Cycle
|
-0.849570 #177; 0.490500i
|
0.980999
|
2.400000
|
0.000000 #177; 0.980999i
|
0.980999
|
4.000000
|
0.490500 #177; 0.849570i
|
0.980999
|
6.000000
|
0.849570 #177; 0.490500i
|
0.980999
|
12.00000
|
0.980999
|
0.980999
|
|
-0.490500 #177; 0.849570i
|
0.980999
|
3.000000
|
-0.980999
|
0.980999
|
|
No root lies outside the unit circle. ARMA model is
invertible.
USTHB Page 109
7. Test sur les résidus
Autocorrélations simples et partielles des
résidus
Corrélogramme des résidus
Le corrélogramme des résidus du modèle
montre que les résidus forment un bruit blanc puisque toutes les
Autocorrélations et les Autocorrélations partielles sont
significativement nulles.
Chapitre VII Application de la méthode de Box &
Jenkins
USTHB Page 110
? Test des points de retournements
Il s'agit de tester : l'hypothèse nulle H0
: «les åi sont aléatoires»
contre H1 « il existe une corrélation entre les
åi i=1,..., n ».
Le nombre de points de retournements égale à p= ? =
28 On a n=38 et on a calculé E(p), Var(p) et S
E(p)= (n-2) =29.333 Var(p)= =
7.855 |T | = v = 29.333
? t
? ?
P 2
K i
= #177; ?=
Q n n
( 2) 1 = 8.933
i n -
i
|T| =1.546< 1.96 donc on rejette H0 au seuil
0.05. C'est-à-dire que les résidus sont non
corrélés.
T?
? Test de nullité de la moyenne des
résidus
L'hypothèse H0 : « m=0
» contre H1 : « m ? 0
», nous utilisons le test de Student basé sur la
n?1
La moyenne de la série : åt =
-53.169 L'écart type : ót =794.530
La statistique t=0.448 qui suit
asymptotiquement une loi de Student., Au seuil á=0.05 on a: |t|<1.96,
on accepte H0, alors m=0.
? Test de Ljung -Box
Nous calculons la statistique de Ljung-Box avec MATLAB
au seuil 0,05
2 21.026
H0 : « les Autocorrélations ne sont
pas significativement différentes de zéro
Jusqu'au pas k = N/ 4 » Contre H1 :
« Pi, i=1,2..., K / Pi?0 ».
? 0 . 9 5 (1 1) ?
L'ordre de retard K= [N/4]= [47/4]=12
Au seuil á= 0.05 on a la valeur critique d'une
=9.215 < 21.026 alors les autocorrélations ne sont pas
significatives jusqu'au pas
K=12
I.e. les résidus forment un bruit blanc.
? Test de Jaque -Bera
On test H0 :" accepter la normalité des
résidus au seuil 0.05" Contre H1 :"il n'y a pas de
normalité des résidus".
Chapitre VII Application de la méthode de Box &
Jenkins
USTHB Page 111
On accepte l'hypothèse nulle H0 si
JB <
On a la statistique JB= 77.070 >5.99 donc on rejette
l'hypothèse de normalité des résidus.
? Test de Skewness (asymétrie) et de Kurtosis
(aplatissement)
On test : « =0 et =0" contre
: " 0 ou 0"
? Test de Skewness : = où : est le
coefficient de Skewness
v
(l'indicateur d'asymétrie des résidus).
La statistique de SKEWNESS = 4.211 qui est asymptotiquement
N(0,1)
Au seuil á= 0.05 on a: 4.211 > 1.96, Donc on rejette,
la distribution des résidus n'est pas asymétriques.
Test de Kurtosis : = v où s2 est le
coefficient de Kurtosis (degré
d'aplatissement de la loi des résidus).
La statistique de KURTOSIS = 7.702 qui est asymptotiquement
N(0,1)
Au seuil á = 0.05
7.702 >1.96, alors on rejette l'hypothèse des queues
de la distribution des résidus non chargées. Les résidus
forment un bruit blanc non gaussien
REMARQUE Nous ne pouvons pas appliquer le
test de Durbin-Waston et le test d'indépendance de Von-neumann puisque
les résidus ne sont pas gaussiens
Chapitre VII Application de la méthode de Box &
Jenkins
USTHB Page 112
? Test d'homoscédasticité des
résidus
Soit les hypothèses :H0 :« les résidus sont
homoscédastique »contre
H1 : « les résidus sont
hétéroscédastique »
L'hypothèse nulle à tester est celle
d'homoscédasticité H0 : « á1= á2=...=
áp=0 » .
Si H0 est acceptée, la variance conditionnelle de l'erreur
est constante = á0. Sinon les résidus suivent un processus
ARCH(p) dont l'ordre p est à déterminer.
Corrélogramme simple et partielle des
résidus au carrée
L'analyse du corrélogramme des résidus au
carrée, montre que tous les termes sont significativement
différents de zéro car les probabilités sont toutes
supérieur à 0,05, cela veut dire qu'il n'ya pas un effet ARCH.
Pour confirmer, nous sommes passées au test
d'homoscédasticité dont le résultat est donné par
Eviews5.
ARCH Test:
F-statistic 0.155699 Probability 0.695098
Obs*R-squared 0.162352 Probability 0.687000
Test Equation:
Dependent Variable: RESID^2
Method: Least Squares
Date: 05/09/11 Time: 13:30
Sample (adjusted): 1965 2009
Included observations: 45 after adjustments
USTHB Page 113
Chapitre VII
|
|
Application de la méthode de Box &
Jenkins
|
Variable
|
Coefficient
|
Std. Error t-Statistic
|
Prob.
|
C
|
556019.8
|
269442.0 2.063597
|
0.0451
|
RESID^2(-1)
|
0.059703
|
0.151305 0.394587
|
0.6951
|
R-squared
|
0.003608
|
Mean dependent var
|
592700.3
|
Adjusted R-squared
|
-0.019564
|
S.D. dependent var
|
1680138.
|
S.E. of regression
|
1696493.
|
Akaike info criterion
|
31.56945
|
Sum squared resid
|
1.24E+14
|
Schwarz criterion
|
31.64975
|
Log likelihood
|
-708.3127
|
F-statistic
|
0.155699
|
Durbin-Watson stat
|
1.984068
|
Prob(F-statistic)
|
0.695098
|
Rappelons que, sous l'hypothèse nulle
d'homoscédasticité, la statistique du multiplicateur de Lagrange
(n* R2) au seuil 5% suit une loi de khi-deux à p
degrés de liberté. Dans notre cas p = 1.Nous avons (n*
R2) = 0.155 est inférieure à
÷2(1) = 3.84, donc nous acceptons
l'hypothèse nulle d'homoscédasticité en faveur de
l'hypothèse alternative d'hétéroscédasticité
conditionnelle (il n'y a pas effet ARCH).
|