WOW !! MUCH LOVE ! SO WORLD PEACE !
Fond bitcoin pour l'amélioration du site: 1memzGeKS7CB3ECNkzSn2qHwxU6NZoJ8o
  Dogecoin (tips/pourboires): DCLoo9Dd4qECqpMLurdgGnaoqbftj16Nvp


Home | Publier un mémoire | Une page au hasard

 > 

L'impact de l'apprentissage et de la gestion des connaissances sur la performance organisationnelle: cas du barreau de Bujumbura


par Gaspard NDABAZANIYE
Université Unicaf Malawi - Master en administration des affaires 2022
  

précédent sommaire suivant

Bitcoin is a swarm of cyber hornets serving the goddess of wisdom, feeding on the fire of truth, exponentially growing ever smarter, faster, and stronger behind a wall of encrypted energy

1.8.La subdivision du travail

Nous allons, à la lumière de la revue de la littérature, essayer de développer les différents concepts d'introductif (Chap. I) et démontrer comment les autres théories s'appliquent à notre problématique (Chap. II),ensuite aboutir à la méthodologie de recherche qui nous permettra d'analyser les stratégies de recherche et échantillonnage (Chap. III) et arrive à l'analyse des conclusions (Chap IV) et enfin la discussion des données ( Chap. V).

14

CHAP .II. REVUE DE LA LITTERATURE

2.1.Introduction.

L'on observe que la difficulté environnementale et l'exigence d'excellentes compétences de transformation justifier certainement cette importance d'instruction et conduite des savoirs. Huber (1984) précise que les sociétés sont obligées de contrôler les contextes souvent agités, où les rapports causaux demeurent constamment davantage nombreux et beaucoup difficiles. L'administration des savoirs au sein d'une société implique la transformation de son trésor communément construit par les savoir-faire enrichis grâce aux personnes. Quoi que la partie antérieure assemble diverses nouvelles à propos du sujet de notre travail, la présente section nous admettra, grâce à la publication scientifique, de vous exposer l'approche qui nous a aidé à spécifier notre théorie de travail.

2.2.Approche théorique de l'apprentissage et de la gestion des connaissances.

L'apprentissage est compris en tant qu'une éclosion globale d'appropriation et de création des connaissances qui, à peu près, complètement ou presque beaucoup transformée l'administration des professions elles-mêmes (Koenig, 2015). L'importance destinée à la formation se disculpe au moyen de différentes justifications. Selon Leroy (1998), l'instruction est ainsi appréhendée en tant qu'une adaptation du behaviorisme de la société en réplique aux transformations de l'entourage, en tant qu'un changement de l'ensemble des compétences communautaires ou en tant qu'une relation parmi les membres du personnel.

La méthode comportementale cherche à appréhender la société en tant qu'un système uniforme et cohérent (Glynn et al. 1994) et aussi à augmenter la mécanique interne de la société et les relations entre membres ou association de personnes. Cependant, Argyris et al (1978) critiquent à la philosophie behavioriste de diminuer la formation structurelle à un ajustement, à une transformation radicale tandis qu'à l'inverse elle s'expliquerait en tant qu'une innovation socialiste des dispositions cognitives et des leaders stratégiques. La méthode cognitiviste signale la pertinence d'intercepter la difficulté de la question de formation. Pendant que le comportementaliste examine par quel moyen identifier les agissements, le cognitivisme se demande pour quelle raison les attitudes individuelles sont interprétées selon l'étendue des situations idéologiques et des perceptions (Leroy, 1998). Selon l'aspect cognitif, la formation professionnelle est souvent interprétée en tant qu'une transformation de la situation des compétences intellectuelles, en tant qu'une innovation

cognitive (Fiol, 1994) ou en tant qu'une exécution de communication et d'obtention de savoirs nouveaux. Huber (1991) examine de cette façon la formation en tant qu'une obtention de savoirs qui sont compris, partagés et conservés dans l'établissement. Cette démarche favorise une perception considérable de l'instruction au préjudice de l'ajustement aperçu pour une expérience négligeable.

La gestion des connaissances consiste, pour une organisation, à identifier et à développer des connaissances collectives pouvant l'aider à faire face à la concurrence. Ce sont généralement des procédures visant à créer, acquérir, partager et utiliser des connaissances nouvelles comme ressource primordiale d'acquérir et de sauvegarder l'avantage concurrentiel. Rey et al. (1996) stipulent que dans un environnement des affaires en mouvement rapide, le seul avantage compétitif est d'apprendre plus vite que les autres. Son choix accroîtrait l'efficacité et la performance organisationnelle(PO) et aiderait non seulement les avocats à être beaucoup plus innovants mais également à développer leurs aptitudes entrepreneuriales. Adama (2017) a constaté que la création de nouvelles connaissances est désormais une étape importante dans le processus de la mise en place de la capacité d'innovation et de performance.

précédent sommaire suivant






Bitcoin is a swarm of cyber hornets serving the goddess of wisdom, feeding on the fire of truth, exponentially growing ever smarter, faster, and stronger behind a wall of encrypted energy








"Soit réservé sans ostentation pour éviter de t'attirer l'incompréhension haineuse des ignorants"   Pythagore