1.8.La subdivision du travail
Nous allons, à la lumière de la revue de la
littérature, essayer de développer les différents concepts
d'introductif (Chap. I) et démontrer comment les autres théories
s'appliquent à notre problématique (Chap. II),ensuite aboutir
à la méthodologie de recherche qui nous permettra d'analyser les
stratégies de recherche et échantillonnage (Chap. III) et arrive
à l'analyse des conclusions (Chap IV) et enfin la discussion des
données ( Chap. V).
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CHAP .II. REVUE DE LA LITTERATURE
2.1.Introduction.
L'on observe que la difficulté environnementale et
l'exigence d'excellentes compétences de transformation justifier
certainement cette importance d'instruction et conduite des savoirs. Huber
(1984) précise que les sociétés sont obligées de
contrôler les contextes souvent agités, où les rapports
causaux demeurent constamment davantage nombreux et beaucoup difficiles.
L'administration des savoirs au sein d'une société implique la
transformation de son trésor communément construit par les
savoir-faire enrichis grâce aux personnes. Quoi que la partie
antérieure assemble diverses nouvelles à propos du sujet de notre
travail, la présente section nous admettra, grâce à la
publication scientifique, de vous exposer l'approche qui nous a aidé
à spécifier notre théorie de travail.
2.2.Approche théorique de l'apprentissage et de la
gestion des connaissances.
L'apprentissage est compris en tant qu'une éclosion
globale d'appropriation et de création des connaissances qui, à
peu près, complètement ou presque beaucoup transformée
l'administration des professions elles-mêmes (Koenig, 2015). L'importance
destinée à la formation se disculpe au moyen de
différentes justifications. Selon Leroy (1998), l'instruction est ainsi
appréhendée en tant qu'une adaptation du behaviorisme de la
société en réplique aux transformations de l'entourage, en
tant qu'un changement de l'ensemble des compétences communautaires ou en
tant qu'une relation parmi les membres du personnel.
La méthode comportementale cherche à
appréhender la société en tant qu'un système
uniforme et cohérent (Glynn et al. 1994) et aussi à augmenter la
mécanique interne de la société et les relations entre
membres ou association de personnes. Cependant, Argyris et al (1978) critiquent
à la philosophie behavioriste de diminuer la formation structurelle
à un ajustement, à une transformation radicale tandis qu'à
l'inverse elle s'expliquerait en tant qu'une innovation socialiste des
dispositions cognitives et des leaders stratégiques. La méthode
cognitiviste signale la pertinence d'intercepter la difficulté de la
question de formation. Pendant que le comportementaliste examine par quel moyen
identifier les agissements, le cognitivisme se demande pour quelle raison les
attitudes individuelles sont interprétées selon l'étendue
des situations idéologiques et des perceptions (Leroy, 1998). Selon
l'aspect cognitif, la formation professionnelle est souvent
interprétée en tant qu'une transformation de la situation des
compétences intellectuelles, en tant qu'une innovation
cognitive (Fiol, 1994) ou en tant qu'une exécution de
communication et d'obtention de savoirs nouveaux. Huber (1991) examine de cette
façon la formation en tant qu'une obtention de savoirs qui sont compris,
partagés et conservés dans l'établissement. Cette
démarche favorise une perception considérable de l'instruction au
préjudice de l'ajustement aperçu pour une expérience
négligeable.
La gestion des connaissances consiste, pour une organisation,
à identifier et à développer des connaissances collectives
pouvant l'aider à faire face à la concurrence. Ce sont
généralement des procédures visant à créer,
acquérir, partager et utiliser des connaissances nouvelles comme
ressource primordiale d'acquérir et de sauvegarder l'avantage
concurrentiel. Rey et al. (1996) stipulent que dans un environnement des
affaires en mouvement rapide, le seul avantage compétitif est
d'apprendre plus vite que les autres. Son choix accroîtrait
l'efficacité et la performance organisationnelle(PO) et aiderait non
seulement les avocats à être beaucoup plus innovants mais
également à développer leurs aptitudes entrepreneuriales.
Adama (2017) a constaté que la création de nouvelles
connaissances est désormais une étape importante dans le
processus de la mise en place de la capacité d'innovation et de
performance.
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