2. Des la question des libertés provisoires et des
classements sans suite
Certains partis politiques ont souvent leur milice
composée des « Kuluna » qu'ils envoient pour
agresser des diamantaires, des hommes d'affaires, des étrangers, des
touristes afin de les dépouiller. Si le Ministère Public met la
main sur des telles personnes, il est l'objet d'immense pression venant des
hommes politiques et finit par relâcher ces délinquants, et
classer sans suite le dossier.
Ces genres des faits surprennent les responsables de la police
qui déploient des efforts titanesques pour nettoyer la ville, exposant
leurs hommes à la vendetta de ces marginaux, ne comprennent pas comment
ces hors la loi peuvent bénéficier de « circonstance
atténuantes », alors que leurs agressions sont doublés
de meurtre et de cas d'amputations des membres inférieure de leur
victimes. Et souvent après leur libération ces
« kulunas » rentrent aux différents poste de police
pour signaler leur remise en liberté, quelque fois pour
« insuffisance des preuves » alors que leurs dossiers
étaient transférés aux parquets avec des pièces
à conviction, telles que des machettes, de gourdins, des barres de fer
et d'autres objets tranchants au contondants (36)
(36) J.R.T, Congo-Kinshasa : des bandes des Kuluna
s'attaquent aux policiers et aux expatrié
24/01/2012
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