6. La théorie de
l'équilibre d'Adams (1963-1965)
Selon cette théorie, l'individu calculerait un
« score » pour lui-même et un score pour autrui, afin
de déterminer s'il y a de la « justice sociale » la
motivation viendrait donc des représentations mentales (théorie
cognitiviste)
Score=R/A
Sachant que R correspond aux résultats (ex :le
salaire)et A l' apport( ex effort donné).
Ø Si le score du sujet est égal à celui
d'autrui, alors il y a équité et dont il sera motivé
Ø Si les scores sont inégaux, alors il n'y a pas
équité et la motivation baisse même dans le cas où
le sujet serait surestimé, il va perdre de sa motivation non pas par un
changement de comportement mais par un changement de perception.
7. La théorie du
reversement (1982)
Cette théorie se préoccupe moins des
déterminations biologiques ou environnementaux de la motivation que de
sa dynamique dans une approche cybernétique par reversement entre les
Etats relativement stables, dits Etats méta motivationnels, elle
prêtant ainsi rendre compte aussi bien des variations interindividuelles
avec des Etats préférés que des variations intra
-individuelles comme le passage (à l'environnement constant) de l'ennui
à l'euphorie ou de la relaxion de l' anxiété.
Avec la notion de l'Etat méta motivationnel, l'individu
apparaît comme moins foncièrement dépendant de pulsion aux
besoins vitaux puisque leurs satisfaction est l'occasion d'un jeu ou d'une
mise en concurrence renouvelée (multi stabilité), à chaque
moment un point d'équilibre est une forme d'engagement dans l'action
sont en définitives toujours prioritaire sur le résultat pratique
de se comportement.
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