la théorie de la
hiérarchisation des besoins d'Abraham Maslow (1954)
Cette théorie est appelée aussi le pyramide des
besoins, elle dit que plus on « monte » de niveau et plus
la motivation est important, mais on ne peut atteindre le niveau
supérieur que si le niveau primaires sont satisfaites
.
La théorie de deux
facteurs d' Herzberg (1959)
Les grands apports de cette théorie sont qu'elle
montre que la motivation peut être influencée par des facteurs
internes appelés intrinsèques.
Pour Herzberg, la motivation varie selon des facteurs internes
mais la démotivation influe selon les facteurs externes qu'il appelle
facteurs hygiène, ainsi, la motivation n'est possible qu'en cas de la
hausse des facteurs internes appelés aussi intrinsèques.
La théorie des
besoins de réalisation de Mc Clelland
Cette théorie est construite à partir de la
mesure des besoins qui ressort trois types des besoins faisant la motivation du
travail :
Ø Les besoins de réalisation qui renvoie
à l'envie de réussir (accomplissement
Ø Les besoins de pouvoir, qui renvoie à vouloir
avoir de l'influence sur autrui
Ø Les besoins d'affiliations qui renvoient au besoin de
relation sociales satisfaisantes
Ainsi ses trois facteurs semblent avoir comme objectif de
montrer que « la volonté de réussir est une
auto-motivation puissante ».
4. La théorie des
caractéristiques de la tache(1968)
Cette théorie prévoie cinq facteurs qui
influençant la motivation :
Ø La variété des tâches (v)
Ø Les taches pouvant être réalisées
entièrement (I pour identité)
Ø La signification des tâches (s)
Ø L'autonomie individuelle (A)
Ø Un retour sur les activités (F pour le feed
back)
Ainsi le score de motivation est calculé par :
Score= ((V+I+S)*A*F)/3
5. Les théories
Behavioristes
Le Behaviorisme tenant par principe pour négligeable
les caractéristiques individuelles internes,
Le Behaviorisme prêtant que la motivation résulte
toujours en premier lieu des facteurs liés plus au moins
étroitement au conditionnement et plus précisément des
différents renforcements extrinsèques exercés sur les
comportements considèrent comme positifs.
6. La théorie V.I.E
de VROOM (1964)
Cette théorie cogniviste, appelée aussi
« la théorie du résultat escompté »
qui repose sur trois concepts :
Ø La valence (V)
C'est la valeur positive ou négative que l'on attribue
au résultat de se actions ou de sa performance
La valence consiste à répondre à la
question « ce que j'obtiens en retour pour ma performance accomplie,
c'est important ou pas pour moi ?
Dans le cadre du travail, l'important pour certains peut
être le niveau de salaire, pour d'autre avoir le temps libre, ses
préférences sont durable sur une échelle de -10 à
+10.
Ø L'instrumentalité (I)
Elle consiste à se poser la question de savoir est-ce
que corrèle avec le résultat ?
C'est la probabilité perçue du lien entre la
performance à atteindre et que l'escompte en retour c'est
répondre à la question, si je fais cela, alors, est ce que
j'obtiendrai cela en retour ? Mesurable sur l'échelle de
0à1.
Ø L'attente (E)
Est-ce l'effort aboutit à une performance ?c'est
répondre à la question, si je me mobilise pour faire cela, est-ce
que j'arriverai à cette performance ? Mesurable sur une
échelle de 0 à 1.
Ainsi VROOM propose une formule calculant la force de la
motivation (F)
F=e*(somme V*I)
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