CONCLUSION
Nous voici arrivés à la fin de notre
étude portant sur l'organisation comptable interne dans une entreprise
publique, cas de la société commerciale de transport et des
ports.
En effet, ce travail a été réparti en
deux grandes parties, dont l'une est une approche théorique et l'autre
pratique. Nous sommes partis de la problématique suivante :
v Comment la S.C.T.P.l organise sa
comptabilité ?
v Quel est l'importance d'organisé le service comptable
dans une entreprise de portefeuille de l' Etat ?
Après l'analyse et traitement des données qui
ont été mises en notre disposition suivant une demande purement
comptable, les réponses suivantes sont réservées aux
préoccupations posées dans la partie introductive du
travail :
Ø Dans son organisation, la S.C.T.P. utilise le
système centralisateur, la méthode de coût moyen
pondéré pour la valorisation des sorties de stocks et
procède au traitement informatique et manuel quant à
l'exécution des travaux comptables et enfin, dispose d'un plan
comptable ; c'est ce qui lui permet d'être à jour de sa
situation comptable;
Ø Dans son organisation matérielle, elle met
tous les moyens matériels possibles à sa disposition et par
conséquent, la circulation des pièces justificatives est
très fluide ;
Ø Dans son organisation humaine, elle définit
les postes, les tâches et les relations réciproques entre
postes ;
Ø Son importance réside sur le fait qu'elle
permet de produire les informations comptables susceptibles d'aider ses
gestionnaires de à la prise de certaines décisions pour sa bonne
marche.
Par ailleurs, nous avons relevé le manque
d'organisation de la comptabilité budgétaire au sein de la
direction de comptabilité et des recettes mais également la
publication tardive des états des synthèses, qui du reste, ne
permet pas à la comptabilité de jouer pleinement son rôle
d'aide efficace dans la prise de décisions rationnelles .
Pour assurer un bon fonctionnement du service comptable de
la S.C.T.P, nous leur suggérons de préparer la
relève en formant les jeunes cadres en la matière et adapter
leur comptabilité aux innovations actuelles notamment adopter le plan
OHADA pour la compétitivité de
celle-ci.BIBLIOGRAPHIE
1. Ouvrages
1. Henry MAHE, Dictionnaire de gestion, éd.
économie, Paris 1998
2. KINZONZI et PEROCHON, Comptabilité
générale élémentaire, éd. Touche, Paris
1979
3. CAUSIN E, Droit comptable des entreprises,
Bruxelles, Larcier 2002
4. C.P.C.C, Plan comptable général
congolais, éd. Comptable et financier 1978
5. Chalon L et Rolly L, Organisation et document du
commerce extérieur, 17e éd.des grandes cornes,
Bruxelles 1972
6. FAYEL et Daniel PERNOT, Comptabilité
générale à l'entreprise, éd.Dunod, Paris
2002
7. A VEMULSTI, Comptabilité analytique
d'exploitation, Kinshasa, éd.CPP
8. MG MATRADIS, Le dictionnaire du savoir moderne,
Paris, éd.1974
9. VANCIER, Economie, éd.CRP, Kinshasa
10. F ROUSSE, pratique, paris, éd. Faucher
11. ESNAULT et Christian HOARAU, Comptabilité
financière, Paris, éd.PUF, 1994
2. Notes de cours
1. Carole MBAYA, Organisation comptable, Collège Sola
gratia, Kananga 2009
2. KANGODIE Emery, Initiation à la pratique comptable
3e graduat, I.S.C/Kinshasa 2004
3. KUDIANGELA KOSSEMBE, Organisation comptable, 2e
graduat, I.S.C/Kinshasa 2005
4. NTUMBA LUSE, Comptabilité générale,
I.S.C/Kinshasa, 2010
5. MUKALARYA, Comptabilité générale,
I.S.C/Kinshasa, 2007
6. MPERE BOYE MPERE, Séminaire de gestion
financière et comptable, 2e Licence, I.S.C/Kinshasa
3. Autres publications
1. MUNYEKE M, Organisation comptable, TFC, Inédit,
I.S.C/Kinshasa
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