4. METHODOLOGIE
Tout travail scientifique doit répondre à un
objet et obéir à une certaine méthodologie. Aussi est-il
question d'énumérer ici les différentes méthodes
que nous avons suivies pour mener à bon port notre étude et les
techniques auxquelles nous avons recouru pour mieux en saisir l'objet.
Cela étant, deux méthodes ont été
utilisées pour la rédaction de ce travail, à savoir la
méthode juridique et la méthode sociologique.
La première nous a servi dans l'analyse ou
l'exégèse de différents textes légaux et
réglementaires qui sont en rapport avec notre sujet ainsi que dans
l'étude de la doctrine y relative.
Tandis que la seconde nous a permis de faire une juste
appréciation de la situation qui prévaut sur terrain, mieux de
confronter les dispositions légales au vécu quotidien.
Par ailleurs, dans le but de récolter les
données qui ont émaillé cette étude, la technique
documentaire et l'interview nous ont été d'un grand apport.
Du reste, toutes les analyses par nous menées se
doivent d'être consignées dans un plan dont voici la teneur.
5. DIVISION DU TRAVAIL
Pour mieux savourer la substance qui se dégagera de ce
travail, nous l'aborderons en deux chapitres.
Le premier, consacré aux considérations
générales, aura pour mission d'apporter une lumière sur
les notions du contrat de travail et de la capacité et sur la
problématique de l'égalité des sexes.
Il sera ensuite question, dans le second chapitre, de
procéder à une analyse croisée des législations
française et congolaise sur la capacité professionnelle de la
femme mariée afin de découvrir les différents
paramètres auxquels est soumise cette capacité.
Il s'agira précisément d'une analyse comparative
de ces deux législations avant d'apporter une appréciation
critique sur la situation de la femme mariée dans le code du travail
congolais en vigueur.
Enfin, une conclusion mettra un terme à notre
réflexion.
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