3.9. La pisciculture
D'après nos observations sur le terrain, la
localité de Dibwangui ne dispose pas d'une station piscicole digne de ce
nom. En effet, entre les villages de Dibwanguiet de Mandji, il y a un
étang où les poissons se développent naturellement. Les
enfants vont y pécher de temps en temps. Il ne s'agit pas d'une
activité de pisciculture bien élaborée, comme il en
existait durant la période ou les missionnaires avaient construit un
réseau d'étangs qui permettaient de fournir la localité en
poisson.
Photo 3 : Etang entre les deux villages
(Dibwangui-Mandji)
Cliché:We Need (samedi 08 Août
2021)
La photo 3 ci-dessous nous montre la limite entre les deux
villages, notamment Dibwangui et Mandji ; et nous pouvons observer une
partie de l'endroit où est pratiquée la pisciculture.
Conclusion de la
première partie
La mise en place d'un modèle de maraîchage
biologique exige la connaissance du territoire dans lequel sera
pratiquée cette activité. Il était donc nécessaire
pour nous de faire un diagnostic général du maraîchage sur
le site. Pour établir ce diagnostic, l'accent a été mis
sur l'environnement physique avec un accent particulier sur le climat et
l'hydrologie, le relief et la morphologie du site, la pédologie et la
géologie ainsi que la biodiversité, les déchets et la
qualité de l'air. Le diagnostic a aussi concerné les aspects
humains en particulier la gouvernance, les infrastructures, les aspects
économiques et le volet culturel. Il s'est achevé par l'examen
des aspects environnementaux qui s'est appesanti sur la biodiversité,
les déchets et la qualité de l'air.
DEUXIEME PARTIE
AMENAGEMENT D'UNE STATION DE MARAICHAGE BIOLOGIQUE A
DIBWANGUI
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