CONCLUSION GENERALE
Le travail que nous avons l'honneur de conclure sur ce point
constitue la preuve de toute les réalités de notre
préoccupation, parce que conclure un travail scientifique ne signifie
pas avoir abordé tous les aspects qu'il contient mais plutôt
donner des vu d'ensemble de ce qu'on a fait.
Cette étude intitulé « l'étude
praxéologique de la destruction irrémédiable comme cause
de divorce en Droit Congolais » nous avons étudier non
seulement de la dissolution du mariage mais aussi des circonstances donnant
droits à demander le divorce et leur conséquence, et nous avons
constaté que les code de la famille a éclairer en signifiant que
les causes de tous les mariages ainsi que les effets de cette dissolution sont
les même quel que soit la forme selon laquelle le mariage a était
célébré.
Les raison justifiant cette dissolution sont nombreuses et
parmi lesquels nous citons la mort de l'un des époux, par le nouveau
mariage du conjoint de l'absence et après le jugement déclarant
le décès de l'absence.
La méthode fonctionnaliste grâce à ces
postulas dont l'unité fonctionnelle de la société, le
fonctionnalisme nous aide à relever certains problèmes de base
en vue de donner quelques suggestions pouvant aider le législateur.
En effet, le législateur nous a dit « la mort
ne met pas fait aux obligations relatives à l'alliance crée par
le mariage » la fonction de législateur est de
légiférer la loi c'est ainsi que, nous tirons l'article 549 du
code de la famille qui précise que la destruction doit être
irrémédiable cette condition est essentielle.
Notre problématique cet article au tour de questions
suivantes :
· Quel est l'état de législateur sur la
pratique du divorce ;
· Quel sont les circonstances d'un mariage
célébré en famille mais non enregistré.
A ces questions nous avons tenté de donner des
tentatives de réponses, lesquelles ont constitués les
hypothèses de travail qui se structure de termes suivants :
· La publication officielle qui se fait dans les journaux
officiels ou par affichage sur l'établissement publics na guerre de
chance de toucher les intéressés l'adage « nul est
censé d'ignoré la loi» est une fiction peut être
nécessaire mais absurde.
L'administration pour faire connaitre la loi, elle devrait
utiliser les formes modernes de communications et devrait également
formuler les textes plus claires et aux besoins, les lois
édictées est promulgué non seulement en français
mais aussi dans les langues nationales.
Dès lors notre hypothèse serait que, lorsqu'il y
a le divorce, quel que soit sa nature le divorce résultera d'une
décision judiciaire prononçant la dissolution du mariage à
la demande des époux.
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