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Mise en place d'un système d'évaluation des performances et de satisfaction des collaborateurs


par Mohamed SFAR GANDOURA
ISCAE Mannouba - Mastère professionnel en ingénierie des ressources humaines 2019
  

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Conclusion :

Dans ce chapitre, nous avons étudié l'évaluation de la performance du personnel tout en citant les objectifs de cette évaluation et ses apports vis-à-vis de l'entreprise et de la direction des ressources humaines. Ensuite, nous avons présenté les différents types de performances où nous avons choisi de mettre l'accent sur la performance sociale. Après, nous avons défini les différents indicateurs de performance, et par la suite nous avons décidé d'analyser une ces indicateurs.

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Chapitre 2 : L'évaluation de la satisfaction du personnel :

Introduction :

A la base du chapitre précédent et du choix fait pour évaluer la satisfaction des personnels, dans ce chapitre, nous présenterons de quoi s'agit l'évaluation de la satisfaction, s'il s'agit uniquement d'une satisfaction salariale ou pour d'autres raisons. Nous nous intéressons aussi aux outils que nous pouvons les utiliser pour mesurer la satisfaction des collaborateurs et les différentes méthodes de l'évaluation de la satisfaction des collaborateurs.

Section 1 : Définitions, approches et Objectifs de l'évaluation de la satisfaction :

1. Définitions de l'évaluation de la satisfaction :

La satisfaction au travail est un terme utilisé depuis le début du 20e siècle. Une des premières utilisations de ce terme, tel qu'on l'utilise aujourd'hui, se trouve dans les études Hawthorne (fait par E. Mayo). Mayo et son équipe ont fait quatre études débutant en 1923 dans une usine de textile à Philadelphie. La plus connue des études de Mayo est celle de l'usine de la Western Company en Illinois qui a donné de nouvelles façons de voir le travail. On a commencé, avec ces études, à voir l'individu au travail comme un humain et non seulement comme une variable économique. On a découvert que les employés sont motivés et satisfaits par bien plus que des récompenses économiques. Ce fut le début des études modernes sur la satisfaction au travail. On s'intéresse maintenant aux sentiments et aux conditions de travail des individus.

Il existe un grand nombre de définitions de la satisfaction au travail. Cependant les trois définitions citées englobent la majorité des éléments utilisés dans toutes les définitions de la satisfaction au travail:

? L'importance de l'émotion, l'analyse d'attentes et de besoins dans la satisfaction au travail (Cranny, Smith et Stone 1992)

? Les conséquences de la satisfaction au travail sur la santé mentale et physique de l'individu (département de la main-d'oeuvre et immigration 1975)

? La dualité entre la satisfaction au travail et l'insatisfaction au travail (Spector 1997)

Les définitions à elles seules ne nous permettent pas de connaître toutes les variables de la satisfaction au travail. Afin de saisir tous les éléments, examinons l'évolution et les perspectives des théories de la satisfaction au travail.

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2. Les approches de la satisfaction :

Quoiqu'il existe différentes perspectives de la satisfaction au travail, il est important de souligner la classification de Mumford puisqu'elle offre un aperçu de l'évolution des théories dans le domaine et des influences qu'ont subies les études. Mumford (1972) souligne cinq perspectives qui, selon lui, sont à la base de la majorité des études. La première perspective est celle qui relève de la psychologie avec comme auteurs principaux Herzberg et Maslow. Selon ces auteurs, la notion centrale de la satisfaction au travail est la motivation. La deuxième perspective (toujours selon Mumford 1972) est celle qui s'intéresse au leadership comme notion principale de la satisfaction au travail. Les grands noms de cette école sont Blake et Mouton ainsi que Fidler. La troisième perspective présente une direction différente des deux premières en s'intéressant au concept de « effort-reward ». Les théoriciens de cette école sont principalement dans le domaine de l'administration. La quatrième perspective est aussi différente dans son idéologie, on s'intéresse dans celle-ci, à la culture organisationnelle du milieu du travail. Tandis que la cinquième perspective soulignée par Mumford (1972) est celle des psychologues qui s'intéressent à la science du comportement. Il est intéressant de noter que trois des cinq perspectives sont du domaine de la psychologie tandis que les deux autres sont du domaine de l'administration.

Nous citons maintenant les différentes théories qui ont évoqué le sujet de la satisfaction du personnel. Nous commençons par :

a) La théorie de MASLOW (1908-1970)

Maslow développe dans les années 1940 une théorie de hiérarchie des besoins à partir d'observation cliniques, a l'origine était une théorie de la motivation humaine, elle trouvera par la suite des applications dans le domaine de la motivation de l'homme au travail. La théorie de Maslow a comme un véritable retentissement au milieu industriel, Ses recherches en particulier sa fameuse pyramide des besoins humaines, Maslow distingue cinq catégories de besoins hiérarchisés :

- Les besoins physiologiques (se nourrir, se désaltérer, etc.)

- Les besoins de sécurité (se protéger, être protégé...etc.)

- Les besoins d'appartenance et d'affection (être accepté, écouté par les autres...)

- Les besoins d'estime et de prestige (être reconnu, valorisé, ...etc.)

- Les besoins de réalisations ou d'accomplissement (utiliser et développer ses

capacités...etc.).

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L'hypothèse centrale de Malsow est qu'une fois que besoins physiologique et de sécurité fondamentaux d'un individu sont satisfaits, les besoins sociaux ou supérieurs pourront l'être à leur tour aussi un besoin de niveau supérieur ne peut être perçu que lorsque les besoins de niveau inférieur sont suffisamment satisfaits.

b) La théorie ERD de C Alderfer (ERG, ESC)

Cette théorie propose la théorie de ERD (Existence, Relatedness and Growth) l'existence, rapports sociaux et développement personnel qui a été basé sur une étude auprès de 110 employés de banque, Alderfer propose que la motivation et la satisfaction se base sur trois catégories de besoins qui sont comme suit :

? Les besoins d'existence : ils expriment les désirs d'ordre physiologique et matériel et correspondant aux besoins d'ordre inférieur chez Malsow, c'est-à-dire les besoins physiologiques et de sécurité. Il en est de même pour le désir d'améliorer ses conditions de travail, son salaire ou ses avantages divers au milieu organisationnel.

? Les besoins de rapport sociaux : il s'agit des besoins qui poussent un individu à des relations avec d'autres personnes. Ces relations sont des échanges amicaux et conflictuels entre l'individu et les personnes qu'il côtoie, ces besoins s'expriment par le partage avec autrui des sentiments, des émotions...etc., Ce besoin d'échange est un facteur de motivation qui pousse l'individu à chercher à se satisfaire.

? Les besoins de développement : ce type de besoins s'apparente aux besoins d'ordre supérieur d'estime de soi et de réalisation de soi tel qu'ils ont été défini par Maslow. Cependant, il faut relever une nuance.1 Pour Maslow l'actualisation de son potentiel inné, chez Alderfer, le développement personnel correspond au désir d'interagir avec succès avec son environnement afin de l'examiner, de l'explorer et de le maitriser.

c) La théorie de Mc Gregor (théorie x et y) 1906-1964 :

Selon Gregor les dirigeants changent leur mentalité, leur comportement et leur style de management non pas en fonction du contenu de la formation, mais de la conception qu'ils se font des hypothèses implicites sur la nature humaine au travail qui guident leur conception du management, Gregor propose deux conceptions de l'homme au travail qu'ils appellent la théorie x et y.

? Théorie X :

Cette conception de l'homme au travail est pour lui largement dominante aux États-Unis et repose sur trois hypothèses implicites :

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? L'individu moyen éprouve une aversion innée pour le travail qu'il fera tout pour éviter ;

? À cause de cette aversion à l'égard du travail, les individus doivent être contraints, contrôlés, dirigés, menacés de sanction, si l'on veut qu'ils fournissent les efforts nécessaires à la réalisation des objectifs organisationnels ;

? L'individu moyen préfère être dirigé, désire éviter les responsabilités, a peu d'ambition et recherche la sécurité avant tout. A travers la théorie X, Mc Gregor montre que ces hypothèses sont en réalité de véritables postulats pour les dirigeants et constituent une idéologie dominante.

La théorie x est basée sur les postulats suivants :

- L'homme est paresseux, il n'aime pas le travail, il doit donc être contrôlé, dirigé soumis à des sanctions. Dans la mesure où le travail est nécessaire, seul le salaire peut compenser la désutilité du travail.

- L'homme préfère être dirigé, il évite toute responsabilité.

- Il a peu d'ambition et il préfère la sécurité, il n'aime pas le changement, il préfère les tâches routinières parce qu'il les connait bien.

? Théorie Y :

Elle repose sur quatre principes :

- La dépense physique est aussi naturelle que le jeu ou le repos pour l'homme. Elle peut s'auto diriger et s'autocontrôler.

- L'engagement personnel est en fait le résultat d'une recherche de satisfaction de besoins sociaux ; l'homme apprend à rechercher les responsabilités ;

- La capacité d'exercer son imagination, sa créativité au service d'une organisation est largement répandue parmi les hommes ;

- Dans beaucoup de conditions de travail, les possibilités intellectuelles des hommes sont largement inutilisées.

Pour Mc Gregor, ces deux approches induisent deux styles de gestion et de management différenciés. Il développe la thèse suivant laquelle la théorie Y et le style de gestion qui en résulte sont plus adaptés à la nature humaine car ils reposent sur la motivation plus profondes.

3. 27

Les objectifs de l'évaluation de la satisfaction du personnel :

Dans un environnement concurrentiel au niveau du capital humain et l'indisponibilité des talents dans plusieurs domaines, les entreprises ont tendance de mesurer l'évaluation de la satisfaction de leurs employés pour des objectifs bien définis, on cite :

- La fidélisation des employés.

- Augmenter le sens d'engagement et d'appartenance ressentie par le personnel.

- Diminuer le turnover.

- Détecter les lacunes au niveau de la communication entre les supérieurs hiérarchiques et les employés

Dans le milieu du travail, il existe une forte corrélation entre la satisfaction et l'absentéisme, turnover et climat. En premier lieu, l'absentéisme dans le travail est un indicateur important car la baisse de son faux a des effets immédiats sur la productivité, ensuite on trouve la baisse de turnover évite les coûts remplaçants et permet à l'entreprise de conserver ses compétences. La plupart des recherches qui ont été faites sur la satisfaction déclarent que cette dernière a une grande importance à savoir les résultats qui naissent tel que l'absentéisme, turnover et le stress. Le sujet de la satisfaction au travail est alors un impact sur l'épanouissement de la réussite au travail et la réalisation de soi tout cela pousse les spécialistes à bien gérer les relations et le climat de travail.

L'analyse de la satisfaction au travail est un outil de connaissance des effets du travail et de ses caractéristiques sur le bien-être et la satisfaction des aspirations des salariés. L'analyse des facteurs qui contribuent le plus à rendre satisfait ou insatisfait est un point de départ pour permettre l'adaptation du travail aux personnes. Cette démarche, et cela fait le lien avec la question du comment mesurer la satisfaction / insatisfaction, situe donc l'analyse au niveau des déterminants, guidée par la recherche d'améliorations opérationnelles. En d'autres termes, et cela conditionnera le choix des outils, l'analyse de la satisfaction au travail doit nous permettre de répondre à la question : sur quoi agir prioritairement pour que le travail convienne mieux aux aspirations de celles et ceux qui l'exercent.

4. Les enjeux de l'évaluation de la satisfaction du personnel :

La mesure de la satisfaction du personnel comporte plusieurs enjeux. Nous citons à titre d'exemples :

- Garantir l'attraction des employés.

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- Améliorer la performance des employés ce qui engendre la satisfaction des clientèles - Assurer la mobilisation face aux objectifs organisationnels.

Le plus grand enjeu c'est d'assurer la motivation chez les employés. Le concept de motivation représente le constituent hypothétique utilisé afin de décrire les forces internes et externes produisant le déclanchement, l'intensité et la pertinence d'un comportement. La satisfaction est l'état d'un esprit de quelqu'un dont les besoins et les désirs sont satisfaits. Elle suppose une confrontation des attentes avec les résultats affectivement obtenus. L'idée, le plus attendu, dépasse plus ce qui est obtenu. La satisfaction est grande. Il parait qu'un individu ne peut être satisfait de son travail si les valeurs sont petites, ce que signifie à l'employé qu'il n'attend aucun résultat (meilleur rémunération plus de considération) ; En revanche, il peut être motivé sans être satisfait si les résultats obtenus ne sont pas à la mesure des attentes, il est insatisfait mais cherche encore à les atteindre car y attendre une grande valence inversement. La satisfaction peut être élevée parce que l'on obtient ce qu'on attend après plusieurs déceptions mais n'y tient plus car l'on a trop attendu des résultats enfin obtenus pour la motivation elle est une force qui pousse l'individu à chercher à satisfaire ses besoins, ses désirs et pulsions et qui détermine un comportement visant à réduire un état de tension et donc établir un état d'équilibre.

Section 2 : Les méthodes de mesure de la satisfaction des employés :

Les méthodes de recherches sont différentes, et l'utilisation de la méthode est indispensable dans la recherche scientifique, et la recherche sur le terrain consiste à recueillir les informations. Le mot méthode n'est pas un terme univoque en science on peut vouloir l'éviter mais on ne peut l'ignorer tant il est utilisé qui spécifié de quelle méthode il s'agit : méthode quantitative, qualitatives, méthode scientifique, expérimentale, historique ou encore d'enquête.

Dans notre recherche, nous avons opté pour la méthode quantitative en référence à notre thème de recherche selon Maurice Angers4 cette méthode vise d'abord à mesurer le phénomène à l'étude, les mesures peuvent être ordinales de genre « plus grand ou plus petit que » ou numériques avec usage de calculs. La plupart des recherches en science humaine utilisent la mesure, il en est ainsi quand on fait usage d'indice de taux, de moyennes ou plus généralement d'outils que fournit la statistique.

4 MAURICE Angers, initiation pratique a la méthodologie des sciences humaines, éd casbah, Alger, 1997, p58.

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1. Méthode Quantitative :

Les méthodes quantitatives sont des méthodes de recherche, utilisant des outils d'analyse mathématiques et statistiques, en vue de décrire, d'expliquer et prédire des phénomènes par le biais de données historiques sous forme de variables mesurables. Elles se distinguent ainsi des méthodes dites qualitatives. Elles se fondent sur une épistémologie positiviste ou post-positiviste.

Le comptage et la mesure sont des méthodes quantitatives banales. Le résultat de la recherche est un nombre ou un ensemble de nombres. On les présente souvent sous forme de tables, de graphiques.

Dans la plupart des sciences physiques et biologiques, l'utilisation de méthodes quantitatives ou qualitatives n'est pas contestée et sont mises en oeuvre à bon escient. En sciences sociales et en particulier en sociologie, en anthropologie et en psychologie, cette utilisation est une source de controverses voire de controverses idéologiques. On trouve dans chaque discipline des écoles de pensée qui ont argumenté en faveur ou en défaveur de l'utilisation de ces méthodes. Les tenants de l'usage des méthodes quantitatives ont soutenu que c'est l'unique moyen pour les sciences sociales d'accéder à un statut scientifique ; les tenants des méthodes qualitatives soutiennent au contraire que les méthodes quantitatives tendent à voiler la réalité du phénomène social étudié. Selon Claude Javeau, les méthodes quantitatives sont loin d'être une observation empirique de la réalité. La détermination des hypothèses induit en bonne partie le résultat. "La théorie, qu'elle soit explicite ou implicite, préexiste toujours."

Phénoménologie quantitative: est une méthode fiable et systématique pour identifier les thèmes dans les données linguistiques qualitatives. Sur la base de l'hypothèse lexique, les calculs identifient à quel point certains mots et thèmes sont associés à la question, aux stimuli ou au sujet de la population échantillonnée.

La tendance moderne (et en fait la tendance majoritaire dans l'histoire des sciences sociales) est à une démarche éclectique. Les méthodes quantitatives et qualitatives sont utilisées conjointement. L'usage de méthodes qualitatives est souvent possible pour interpréter les nombres fournis par les méthodes quantitatives; l'utilisation de méthodes quantitatives permet d'exprimer avec précision et de rendre vérifiables les idées qualitatives.

Les méthodes quantitatives font partie d'un des cinq angles de collecte de données dans la méthodologie plus générale dite de percolation de données, qui couvre aussi conjointement les méthodes qualitatives, la revue des écrits (y compris les écrits scientifiques), les interviews

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d'experts, et la simulation par ordinateur. À ce chapitre, la percolation des données offre une vision et une méthodologie plus complètes que la triangulation des données lors de l'analyse des phénomènes sous observation.

2. Méthode Qualitative :

En sciences sociales, les méthodes qualitatives regroupent un ensemble de méthodes de recherche utilisées dans les études qualitatives. Elles trouvent leur utilité notamment en Sciences humaines et sociales. Elles laissent délibérément de côté l'aspect quantitatif pour gagner en profondeur dans l'analyse de l'objet d'étude. Pour cela, diverses techniques, fondées sur l'administration de questions ouvertes et l'exploration du langage, sont mises en oeuvre : les entretiens (notamment de type semi-directifs), les observations participantes et les « focus groupes » (ou entretien collectif), sont les plus utilisés. D'autres outils de recueil de données existent, moins utilisés : le récit de vie, les entretiens répétés, les observations directes et indirectes. Les méthodes d'analyse des données sont multiples et appartiennent généralement à des disciplines précises et à des traditions intellectuelles, parmi elles, nous pouvons citer : l'analyse thématique, l'analyse du contenu, la grounded theory, ou encore le desk research.

Les méthodes qualitatives sont parfois utilisées conjointement aux méthodes quantitatives notamment dans la méthodologie Q ou les méthodologies mixtes.

3. Les Avantages et les inconvénients des deux méthodes :

Les deux méthodes se différent l'un à l'autre, donc pour choisir la méthode adéquate avec chaque organisation, nous allons énumérer les avantages et les inconvénients de ces deux méthodes.

Méthodes

 

Avantages

 

Inconvénients

 

?

Un grand nombre

 
 
 
 

d'interrogés

?

Problème de collecte

 

?

Questions fermées aves

 

des mégas donnés

Méthode Quantitative

 
 
 
 
 
 

des réponses à échelles

?

Néglige les causes

 

?

Questionnement plus superficiel

 

intrinsèques.

Tableau 9: Les avantages et les inconvénients de la méthode quantitative

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·


·


·

Peu d'interrogés (faible échantillon)

Questions "pourquoi" et "comment" Questions sur les freins, les motivations

 
 
 
 

d'achat, les besoins, les attentes...


·

Prend beaucoup de
temps.

Méthode Qualitative

 
 
 
 
 


·

Questionnement en profondeur pour connaître les raisons de tel ou tel choix


·

Les réponses peuvent être non précises.

 


·

Questions ouvertes pour récolter plus d'informations

 
 

Tableau 10 : Les avantages et les inconvénients de la méthode qualitative

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"Qui vit sans folie n'est pas si sage qu'il croit."   La Rochefoucault