III.3.2 LA STRUCTURE DES TROIS
BUDGETS DE TRESORERIE
ANNEE FLUX
|
2008
|
2009
|
2010
|
RECETTES DES ACTIV. ORDIN
|
|
|
|
CHIFFR AFF TTC
|
5629540,27
|
4700751,54
|
2510108,82
|
DEPENSES DES ACTIV. ORDIN
|
|
|
|
MAT ET FOURN CONSO
|
255171,17
|
253148,6
|
137825,48
|
TRANSP. CONSOMME
|
255310,16
|
480594,09
|
99033,7
|
AUTRE SERVICE CONS
|
635423,1
|
274943,71
|
302033,7
|
CHARGE DU PERSONNEL
|
790899,84
|
14467,07
|
666672,87
|
CONTRIBUT ET TAXE
|
6885,9
|
145041,87
|
327,25
|
FOURNISSEUR
|
306142,47
|
125739,95
|
52277,72
|
PERSONNEL
|
750829,22
|
1073062,34
|
1124736,34
|
ETAT
|
1320361,71
|
1454521,08
|
495512,41
|
S/T
|
4321023,57
|
3821518,71
|
2878419,47
|
RECETTES H.A.O
|
|
|
|
TRANSFERTS RECUS
|
3528
|
57576,96
|
205517
|
CREANCES ECHUES
|
462534,91
|
2303585,94
|
1814039,21
|
TRANSFERTS
|
780176
|
0
|
0
|
S/T
|
1246238,91
|
2361162,9
|
2019556,21
|
DEPENSES H.A.O
|
|
|
|
IMMOBILISATIONS
|
949488,41
|
1246715,46
|
24438,8
|
LIKASI
|
0
|
280000
|
482031,81
|
KOLWEZI
|
229606,85
|
320000
|
344308,44
|
DIR.GENERALE
|
535749,32
|
240000
|
550893,44
|
CHRG. ET PERTES DIVER
|
331450,96
|
1050550,59
|
2408,74
|
PRÊT A L.T
|
|
30000
|
46979,87
|
PRÊT A M.T
|
459213,7
|
30000
|
52277,72
|
PRÊT A COURT TERME
|
43544,41
|
32123,72
|
153741,76
|
INTERETS PAYES
|
201
|
748,81
|
293,54
|
S/T
|
2549254,65
|
3230138,58
|
1657374,12
|
FLUX ANN. NET
|
5500,96
|
10257,15
|
-6128,56
|
SITUATION INITIAL TRES
|
2691,99
|
8192,95
|
18450,1
|
SOLDE DE TRESORERIE
|
8192,95
|
18450,1
|
12321,54
|
Source : élaborer par nous même à
partir des données recueillis
De ce fait, les modifications apportées au tableau
ci-haut représentent les trois budgets de trésorerie en termes de
retraitement.
III.3.3 REPRESENTATION GRAPHIQUE
DE L'EVOLUTION DES SOLDES DE TRESORERIE
III.3.4 INTERPRETATION DU
GRAPHIQUE
Nous voyons que, toutes les trois années les soldes de
trésorerie sont positifs, dans ce cas, la situation financière de
l'entreprise est bonne, qu'elle est même en mesure de financer un
surcroît de dépenses sans recourir à un emprunt. Par
contre, le solde de la trésorerie de l'année 2010 est en baisse
comparativement à l'année 2009, ce qui signifie que l'entreprise
doit accroître rapidement ses ressources financières à long
terme ou elle doit limiter ses besoins d'exploitation à court terme.
III.3.5 L'ANALYSE SUR LES TROIS
BUDGETS DE TRESORERIE
L'analyse de ces budgets relève les points
suivants :
Ø En 2008, les encaissements s'élèvent
à 6875779,19 dollars, ce rapport est en baisse par rapport à
celui de l'année dernière. Quant aux décaissements
s'évaluent à 6870278,22 dollars soit un solde de 8192,95
dollars.
Ø En 2009 contrairement à l'année
dernière, les encaissements s'élèvent à 7061914,44
dollars par rapport aux décaissements qui sont de 705167,29 dollars soit
un solde de 18450,10 dollars. Pour cette année, nous voyons que
l'entreprise s'est améliorée davantage avec comme
conséquence la présence d'une trésorerie
pléthorique. D'où l'amélioration de la trésorerie
en 2009 est due à l'augmentation substantielle des encaissements et
à la diminution des décaissements.
Ø En 2010 contrairement à l'année 2009,
les encaissements s'élèvent à 4529665,03 dollars contre
les décaissements de 453793,59 dollars soit un solde de 12321,54
dollars.
Il est à noter qu'il n'existe pas d'autre source de
financement, les dépenses sont effectuées au vue de recettes
encaissées, d'où le solde de la trésorerie toujours
positif et que les décaissements sont tous couverts par les
encaissements pour les deux et de ce fait l'OCC doit tenir une gestion
régulière et permanente qui leur permettront d'avoir de
résultat véridique afin de prévoir la répartition
équitable de leur recette en ce qui concerne partie de l'Etat et ce qui
lui reste pour subvenir à ses besoins.
Parfois dans leur calcul, il s'y trouve trop
d'incohérence et sur le plan d'interprétation, rien n'est
satisfaisante, il s'en tient juste à des calculs de base sans aucune
évolution et de ce fait, il n'y a que des faux résultats, des
fausses pertes ou surplus de résultat etc. Ainsi, les paiements des
dettes internes notamment, salaires des agents, paiement de prime et avantage
divers en temps imparti deviennent hypothétique.
L'office congolais de contrôle règle ses charges
par l'autofinancement provenant de la réalisation des recettes de
contrôle.
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