Conclusion partielle
Notre enquête a été effectuée dans
les installations de la SNCC, plus précisément dans la ville de
Lubumbashi.
Nous n'étions pas en mesure d'atteindre tous les agents
SNCC, sur ce, nous avons retenu notre échantillon de 39 personnes avec
qui nous avons eu des interviews libres, dirigées, des entretiens
individuels et collectifs pour un questionnaire. Après avoir eu toutes
les informations sur le reclassement et rendement des ressources humaines au
sein d'une entreprise publique, cas de la SNCC, nous avons effectué une
analyse systématique du contenu, des propos tenus pour des sujets
enquêtés.
Nous avons classé notre échantillon en
catégories sociologiques à savoir : tranches d'âge,
par sexe, l'état civil et le niveau d'études, sans oublier deux
catégories d'élite intellectuelle et la classe dirigeante.
A chaque catégorie sociologique, nous avons posé
des questions d'identification et celles d'opinion tout en misant sur la
spécificité et la sélection objective des réponses
qui nous ont permis d'élaborer les tableaux quantifiant les faits
réels chiffrés et interprétés.
SECTION 4. DIFFICULTES RENCONTREES
Lors de la rédaction de ce mémoire, nous avons
rencontré maintes difficultés :
La méfiance à nous accueillir qu'ont
affiché certains de nos enquêtés pour répondre
à nos questions et la résistance d'autres pour accéder
à notre enquête, pour nous retourner le questionnaire leur
déposé.
SECTION 5. CRITIQUES ET SUGGESTIONS
Il y a lieu de relever l'hostilité des agents de la
SNCC à accueillir et à fournir les données aux chercheurs
qui y arrivent. Ce faisant, nous conseillerons aux responsables et personnel de
cette société d'être hospitaliers vis-à-vis des
chercheurs et leur livrer toutes les informations dont ils ont besoin dans
leurs diverses enquêtes.
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