L'étude comparative de la repression de la cybercriminalité en droits congolais et français( Télécharger le fichier original )par Edmond Maitre MBOKOLO ELIMA Université de Mbandaka - Licence en droit privé et judiciaire 2014 |
1.2. La méthode comparativeLa méthode comparative est définie par REUCHELIN comme : « une démarche cognitive par laquelle on s'efforce à comprendre un phénomène par la confrontation des situations différentes »46(*). A en croire Madeleine GRAWITZ, la méthode comparative est « l'opération par laquelle on relie plusieurs objets dans un même acte de penser pour en dégager les ressemblances et les différences »47(*). Cette méthode nous a permis de comparer la législation congolaise et française quant à leur système de répression de la cybercriminalité. Elle nous a aidé d'identifier les similitudes et les différences qui existent par rapport à la règlementation des nouvelles technologies de l'information et de la communication et de la délinquance qui en découle. 1.3. La méthode sociologiqueCette méthode « consiste à fait appel à l'observation pure et simple. Elle est tributaire des faits et se propose moins de les apprécier que de les expliquer »48(*). Cela étant, elle nous a permis de confronter les textes juridiques et les faits sociaux, c'est-à-dire faits actuels en rapport avec a cybercriminalité en vue d'avoir la compréhension effective de notre sujet de recherche. * 46 M. REUCHELIN, Les méthodes en psychologie, 3ème éd., P.U.F., Paris, 1973, p.25. * 47 M. GRAWITZ, Méthode de recherche en sciences sociales, Dalloz, Paris, 1987, p.101. * 48KITETE KEKIMBA, Autonomie politique et constitutionnel du Zaïre, Essai de solution d'inadéquation institutionnel, Thèse de doctorat t d'Etat, Paris II Sorbonne, 1990, p.3. |
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