III.3. Aux travailleurs et à la population en
générale
Ceux-ci par le truchement du réseau syndical doivent
réclamer la formation arrière et comprendre que le travail c'est
un droit et non une faveur. Ainsi, ne doivent-ils pas cautionner n'importe
quelle condition de travail. Dans la négociation, ils doivent aussi bien
se positionner par rapport à l'offre :
- Qu'on ait recruté les temporaires directement
après les licenciements montre que l'offre existe, par delà la
tendance des employeurs qui cherchent à camoufler son existence montrant
seulement la présence de la commande qu'ils cherchent à occuper
à vil prix ; d'où l'idée de faveur collée au
travail.
- Il se peu que la demande soit grande par rapport à
l'offre : en principe (économique) on doit comprendre qu'il y ait
baisse du coût au profit de l'offrant ; que la masse salariale soit
revue au rabais.
- Il n'est pas exclu que ça soit les mêmes
licenciés qui ont accru le nombre des temporaires. Or ce qui avantage le
travailleur ce n'est pas le statut exceptionnel, parsemé de beaucoup
d'incertitudes mais celui de régulier ordinaire. Donc, dans le soucis de
préserver la stabilité de l'emploi, on penserait mieux à
la négociation de la modification du contrat quant à l'horaire,
nombre d'heures / jour, changement du lieu ( rotation ou mutation ), mode de
calcule du salaire, que de donner droit de citer au licenciement qui plonge le
travailleur dans l'incertitude soit d'être repris comme temporaire, et
là les chances sont minimes de récupérer le même
poste au même employeur, soit d'être engagé ailleurs pour ne
citer que celles-là. Ce qui intègre le travailleur dans la
gestion : participation à la prise de décision.
Voici pour terminer ce chapitre sur les stratégies,
le tableau synthétique et synergique des rapports entre les
différents intervenants ayant un oeil de regard sur la gestion des
ressources humaines dans les entreprises privées et le contrôle
professionnel dans leurs attributions.
Tableau synthétique et synergique des
rapports entre les différents intervenants dans la gestion de
l'emploi
REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO
REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO
Source : Conception
personnelle.
: Rapport intense marqué par le contrôle et le
suivi presque permanents,
chacun en ce qui le concerne, le Ministère du
Travail et de la
Prévoyance sociale étant le grand arbitre
pour la promotion de l'emploi
et des travailleurs.
: Rapport occasionnel (par nécessité)
: Rapport de vérification et de recherche de promotion
de l'emploi et des
travailleurs possibilité d'extension du
marché d'emploi et
d'affranchissement promotionnel de petites
entreprises)
Et pour ne pas naviguer à vue, toute cette synergie
milite pour le progrès socio-économique de la population du lieu
d'exercice de l'entreprise en R D Congo dans la logique du développement
harmonieux, humain et durable car la possibilité d'affranchissement
promotionnel des entreprises sous-traitantes ouvre sur l'avenir.
CONCLUSION
GENERALE
Partageant la peine de ceux qui, de loin ou
de près, ont été victimes du Binôme :
licenciement (massif) - recrutement (accru des temporaires) dans les
Entreprises privées du Sud-Kivu, notre intérêt était
porté à élucider, tout au long de ce travail, l'opinion
général sur ce qui concerne ce binôme la P.K ;, dans
un effort d'objectivité et de partialité le plus soutenu. Nous
avons en fait montré combien le domaine de l'Emploi était
très délicat en ce sens que quand bien même il fallait
veiller à la situation du travailleur, l'on doit éviter de
préjudicier l'entreprise qui reste d'un grand apport pour le PIB revenu
national.
Ainsi, dans le premier chapitre il a
été question de faire une brève considération
théorique sur les Entreprises, point qui, en remontant dans
l'environnement politico-historique, nous a montré que, c'est dans un
contexte entreprenariat capitaliste et dans une extraversion économique
du régime colonial que le P.K croîtra et évoluera
jusqu'aujourd'hui, via les années de l'indépendance et de la
zaïrianisation. Les régimes se succéderont sous le
néocolonialisme régnera.
Concernant le Binôme en question,
même s'il y a baisse de production de l'activité de l'entreprise,
les licenciements massifs à la P.K, surtout t que les plus values
annuelles nageaient à plus de 50 % en général
après avoir soustrait les maigres dépenses du personnel.
Comparativement à l'année 1986 où, pendant que la
situation sociopolitique était calme, on y avait enregistré 70,6
de résultat brut d'exploitation et 29,4% de dépenses
d'exploitation ; celles-ci même alors ne pourraient changer
grand-chose au coefficient de rentabilité très important de la
PK, « En plus la société sont en position de force
pour cacher la réalité de leur contexte d'exploitation aux
contrôleurs éventuels et la fraude fiscale, sport
préféré de l'ancien colonisateur, cet largement
pratiquée « H. DUPRIEZ, 1987, p.72). Et il faut s'en
convaincre, en accusant l'effectif du personnel par cette diminution massive,
il ne devait pas s'en suivre une montée exponentielle des temporaires.
Ainsi notre hypothèse a été vérifiée et plus
de 80 % des enquêtés l'on soutenu : la politique
entrepreneuriale binominale du Licenciement-Recrutement est une marque de
l'exploitation capitaliste paroxysmique de la main-d'oeuvre bon
marché.
Par ailleurs, la PK, ayant
bénéficié des avantages du code des investissements en
1993, devrait plutôt créer des emplois et former les cadres
nationaux à la prise en charge de tout avoir oublié en accusant
toujours, l'effectif du personnel.
Pourtant, pour peu qu'on puisse le croire,
la baisse de production peut être due à ce malaise de
l'instabilité du circuit social perturbé par ces licenciements
massifs mobilité de temporaires dans l'Entreprise. Cette mobilité
disons mieux - instabilité - non concertée, non justifiée
et donc on comprise, met en cause tout le circuit de socialisation
déjà établi, avec comme conséquence, la
démotivation sinon alors la baise du rendement. Encore que tous, et les
engagés ordinaires restent et les temporaires qui se changent à
tout de rôle, se retrouvent devant un avenir incertain, un lendemain
dans la PK non assuré. Le mauvais rendement devait plutôt
interpeller l'employeur à une bonne sélection, à une
formation, motivation, à l'ordre... bref à une bonne gestion des
ressources humaines pour les encourager, les susciter à relever la
production car, on ne le dira jamais assez : « le succès
d'une entreprise dépend pour une large part des déterminants
internes liés à la qualité du management et à
l'attitude des dirigeants plutôt que des déterminants externes
tels que : les prix, technologies ou tailles, ... » (Guy
Gérard, 1990, p. 79).
Cette interpellation nous a introduits au
chapitre des mesures stratégiques de renforcement, mesures
proposées à la P.K, à l'Etat et aux travailleurs (à
la population en général). En effet, si pour la P.K, il faut, par
delà ce binôme dénoncée, distinguer et bien
définir le job description qui clarifie les rapports verticaux et
horizontaux (hiérarchiques) par le rétablissement de la structure
organisationnelle (organigramme) ; rétablir les outils de
concertation dont les conventions collectives, les statuts et règlements
d'entreprises ; les organes de contrôle réciproque dont le
réseau syndical (FEC et UNTC par exemple) doivent aussi avoir une bonne
base au niveau de l'Entreprise. La formation et le recyclage aussi bien que la
prise de décisions majeures n'interviendront désormais que comme
fruit de la négociation et/ou de la concertation entre le patronat et
le mouvement ouvrier. Cette concertation est intégrative des
travailleurs et leur permettent une participation active à la prise de
décision, ce qui est motivationnel pour libérer le travail et
partant amener à une meilleure production. Ainsi contournerait-on le
recours accru au binôme licenciement recrutement.
Pour la deuxième partie du
binôme, la stratégie de sous-traitance a été choisie
pour élargir le marcher d'emploi. Ici, les propositions de la
théorie de l'agence nous ont été d'un grand apport. C'est
déjà former ses cadres que de se les préparer chez les
herboristes, concurrents potentiels en période de faible conjoncture. Et
quand la théorie pense à recruter chez les concurrents, par
surcroît nous avons pensé à la collaboration de
sous-traitance avec eux ; comme avec les petites maisons de production et
de commercialisation des produits pharma et chimiques, entendez ici les
BIOPHARMA, BIOSADEC, BDOM, SODIPHAR.... Quant aux grands concurrents
(multinationales), la PK doit accepter d'être leur sous-traitant dans la
logique de garder le monopole des produits pharma et de diversifier ces
produits au marché. Sa branche d'Herbakina trouverait là un essor
inouï et la stabilité de ses agents aura été
désormais retrouvée par l'usage réduit du binôme.
Quant à l'Etat, après lui
avoir rappelé qu'il doit être et rester l'Employeur de
référence en matière de paiement du personnel, petits
seraient les émoluments, ce qui l'épargnerait ainsi de la
médiocrité, la mendicité, la corruption dans ses
mutation ; nous lui avons recommandé de veiller au bon placement de
ses agents : mettre chacun à la place qu'il faut en lui assurant
les nécessaires pour sont travail. L'impunité, le
népotisme, la partialité démis, ne devra être promue
que le bon sens (la conscience professionnelle) et la collaboration entre
services étatiques de contrôle professionnel pour qu'ils aient la
politique générale de gestion de l'Emploi qui vise le
progrès générale doivent comprendre que le travail est un
droit, ils ne doivent pas cautionner n'importe quelle condition de travail, par
delà la tendance des Employeurs qui, dans l'esprit capitaliste a
outrance, camouflent l'offre pour faire passer le travail comme une faveur
donnée à la demande très élevée dont on ne
sait quoi faire. Soutenus par le réseau syndical et les bons services de
l'Etat ; ils n'ont plus à craindre dans la négociation et
concertation avec le Patron. Il leur faudra seulement être
réaliste.
Si à l'Etat nous avons pensé
à la collaboration entre services étatiques de contrôle
professionnel, et si la Négociation et la Concertation viennent
d'être évoquées dans le rapport patronat-ouvriers, c'est
dans le sens des théories contractuelles et systématique
intégrative que ces éléments doivent être
perçus. En effet, ils renforcent la participation active de tous les
partenaires, en les acceptant comme acteurs et
bénéficières du progrès socio-économique
tant voulu par chacun d'eux, dans le cadre du développement harmonieux,
humain et durable ; d'où le tableau synthétique et
synergique des rapports qui doivent caractériser les partenaires divers
de gestion des ressources humaines ; la P.K devenant ainsi une
véritable Unité de développement intégré.
Nous estimons que l'hypothèse
vérifiée, la stratégie ou mesures de renforcement prises
en compte, le progrès de l'emploi serait un acquis. Si pour le
travailleur c'est le salaire, si pour l'Employeur c'est son capital à
maximiser, l'homme politique doit être conciliant pour garder en
équilibre son P.I.B. qui se concilie le B.I.B. ou bien être de la
population. (MUGANGU 2002-2003). Mais le grand perdant auquel il faut toujours
veiller c'est cet ouvrier congolais. Ce qui est révoltant chez cet
ouvrier dira BOBOLIKO A. (1966) « est qu'il travaille dans une
Entreprise privée où la discipline est toujours de rigueur, avec
un rendement suffisant, la production constamment en hausse, avec comme
corollaire des bénéfices croissants pour l'Entreprise... Le
travailleur congolais ne comprend pas qu'on le condamne lui à la
misère pendant que la société accorde de trop larges
facilités aux seuls agents étrangers » (KAZADI N'DUBA
wa Dile, 1973, p. 129)
BIBLIOGRAPHIE
I.OUVRAGES
1. BEITONE (2001), Dictionnaire des sciences
économiques, éd. Arman Colin, Paris.
2. R. BORNE (1970) Organisation des Entreprises, Ed.
Foucher, Paris.
3. B. BOVIN (1984), L'Entreprise multinationale et
l'Etat, éd., Etudes vivantes, Montréal
4. M. CAMERLYNCK (1960), Les cours de cassation et le Lock
out, Ed. Foucher, Paris.
5. P. CHABAL & J.P. DALOZ (1999), L'Afrique est
partie ! Du désordre comme instrument politique, Ed.
Economica, Paris.
6. J. CLESSE (1992), Congé et contrat de
travail, éd. Collection scientifique de la faculté de Droit
de Liège, Liège.
7. J. CLESSE (1992), La Notion de motif grave, Idem
8. M. DARBELET & L. LAUGINE (1979), Economie de
l'Entreprise, Tome I, éd. Foucher, Paris.
9. G. DEFOUR (1994) Le développement rural en
Afrique centrale, Théories et essai d'analyse critique, éd.
Bandari, Bukavu.
10. DIMITRI Weis & Ali (1993), La fonction Ressources
humaines, les Ed. d'organisation, Paris
11. H. DUPRIEZ (1987) Bushi asphyxie d'un peuple,
inédit, Bukavu
12. R. EPPICUM (2000), Gérer le personnel d'une
ONG, CEPAS, Kinshasa
13. M. GRAWITZ (1993), Méthodes des sciences
sociales, Ed. Dalloz, Paris
14. J. GUIOT & A. BEAUFILS (1987), Théorie
d'organisation, Ed. Gaëtan Morin, Québec.
15. Guy Gérard (1990), Le Management sans
frontière, Ed. d'organisation, Paris
16. J.M. HENDERSON & R. QUANDT (1972)
Micro-économie, Ed. Dunod, Paris.
17. Journal officiel (1991), Code du travail I et II,
Ed. CADICEC, Kinshasa
18. Journal officiel (2002), Nouveau Code du travail,
Ed. CADICEC, Kinshasa.
19. MK. LAFLAMME (1977) Diagnostic organisationnel et
stratégie de développement, une approche globale,
Gaëtan, Morin, Paris.
20. Larousse (1990), Larousse de poche, Dictionnaire des
noms communs, noms propres et précis de grammaire, Larousse,
Paris
21. Ch. Van LIERDE (1983), Notions de législation
sociale, des finances publiques et du droit fiscal, C.R.P. Kinshasa.
22. Th. LOANGO (1970) , Essai sur la législation
économique du régime Mobutu, Ed. EMPRIDECO, Kinshasa.
23. B. MADELEINE (1966), Service social dans
l'Entreprise,, Ed. Centurion, Paris.
24. T. Ch. NGUYEN & Ali, (1973), Guide juridique de
l'Entreprise, Ed. Université Nationale du Zaïre, Kinshasa.
25. F. REYNTJENS & Ali (2000), L'Afrique des Grands
Lacs, Ed. L'Harmattan, Paris.
26. J. RIVERO é J. SAVATIER (1970), Droit du
travail, Ed. P.U.F, Paris.
27. ROLLE (1972), Introduction à la sociologie du
travail, Libraire Larousse, Paris.
28. I. SACHS (1981), Initiation à
l'écodéveloppement, Privat, Paris.
29. SAMUELSON (1968), L'Economie, T.2, Ed. Armand
Colin, Paris.
30. L. SEKIOU & Ali (1993), Gestion des ressources
humaines, De Boeck, Bruxelles.
31. Th. SUAVET (1975), Dictionnaire Economique et
social, Ed. Economie et humanisme, Paris Cedex.
32. G. THUILLIER (1965), La proportion sociale, les points
de connaissances actuelles, Coll. « Que
sais-je ? », P.U.F., Paris.
33. TSHIMANGA & Ali (1983), La problématique du
développement au Kivu, CERUKI, Bukavu
34. A. VERHULST (1984), Cours d'économie de
l'Entreprise, éd. C.R.P., Kinshasa.
35. J. VERLY (1984), Formation des salaires et concertation
sociale, CIACO, Bruxelles.
36. E. WAAS (1992), Quels emplois et revenus pour les
citadins dans les pays en développement, Ed. DDA Copyright.
II. T.F.C. & MEMOIRES
1. ASSANI MAYALA M (1993-1994), Problématique de
l'instabilité de la main-d'oeuvre... Mémoire inédit,
ISDR/BUKAVU
2. J.E. BAHIZIRE MIZINZI (1995-1996), Problématique
de la diminution du personnel comme arme efficace pour sauver une entreprise de
la faillite : expérience de la PARMAKINA, BUKAVU, de 1995
à 1996, Mémoire, inédit, UNIC/ISGEA-Bukavu.
3. V. BISIMWA RUTEGA (1993-1994), Gestion du personnel dans
une
société agro-industrielle (cas de la
PHARMAKINA-Bukavu), T.F.C., inédit, U.C.B./Bukavu.
4. Fr. CHIDENDE NYAKASANE (1988-1989), La dynamique
entrepreneuriale et l'analyse de l'affectation du revenu issu de la
résiliation de contrat de travail à la PHARMAKINA-Bukavu,
Mémoire, inédit, U.C.B./Bukavu.
5. L. WAND'ARHASIMA MAGAYANE (1993-1994), Structuration des
groupements paysans encadrées par l'A.D.R/MULAMBA : Projet d'appui
à leur autopromotion, T.F.C, inédit, I.S.D.R/Bukavu.
6. KAMBALE KIKWAYA (2001-2002), Impact de l'Entreprise ENRA
sur le développement du territoire de BENI (1992-2001 : une
évaluation socio-économique), Mémoire inédit,
I.S.D.R/Bukavu.
III. REVUES & ARTICLES
1. BOBOLIKO A. (1966), « Quelle est aujourd'hui la
situation sociale des travailleurs ? » in Document
syndical, n° 43, P.U.Z., Kinshasa.
2. ILUNGA LUNKAMBA (1973), « Industrie
minière et finances publiques » in Industrie minière
et développement au Zaïre, vol. 1 WAJENGAJI, P.U.Z.,
Kinshasa
3. J.R. ISSAFO (1990), « La gestion des ressources
humaines » in Nouveau défit pour l'Entreprise
zaïroise, éd. CADICELED-UNINAPAC-Zaire, Kinshasa
IV. RAPPORTS, PROGRAMMES & LOI
1. Alex (2002), Rapport de stage effectué à la
PHARMAKINA-Bukavu à la DRH
2. Arrêté interministériel n°
CAB/PLAN et RN/021/93 du 30/08/1993 portant Agrément du projet
d'investissement de la société « PHARMAKINA »
à Bukavu, Nord et Sud-Kivu.
3. Bulletins de paie de la PHARMAKINA
4. INFOKINA (1990), Bulletin d'information et de contact de la
PK n° 7, 4e édition.
5. Rapport annuels de la Division provinciale du Travail et de
la Prévoyance sociale.
6. Rapports annuels des statistiques des ventes des produits
Pharma et chimique, des évolutions des effectifs du personnel et des
masses salariales.
7. Lucien WAND'ARHASIMA (2004), Rapport de stage
effectué à la Division provinciale de Travail et de la
Prévoyance sociale.
V. SYLLABUS & COURS
1. E. BALOLEBWAMI (2004), Organisation et Gestion des
Petites et Moyennes Entreprises Entrepreneurship et PME, cours L2,
inédit, I.S.D.R/Bukavu
2. J.P. BITUNDU MWANA THANYA, Syllabus du cours de
développement durable, cours G1, inédit, Santé
publique I.S.T.M./Bukavu,
3. V. BUHENDWA WENDO, Gestion des Ressources humaines,
cours L2, idem.
4. Idem (2004), Organisation et gestion des
Entreprises, cours L2, inédit, I.S.D.R/Bukavu
5. Idem (2003), Structure socio-économique et
administrative d'une unité de développement rural
intégré, cours L2, inédit, I.S.D.R/Bukavu
6. R. MUCUKIWA (1990-1991), Méthode de
recherche, cours G1, inédit, I.S.D.R/Bukavu
7. S. MUGANGU (2002-2003), Analyse critique des
théories du développement rural, cours L1, inédit,
I.S.D.R-Bukavu.
8. L. MUMATE, Conception, organisation, management et
évaluation des projets de développement rural, cours L1,
I.S.D.R/Bukavu.
9. MUMBU MUKUNA MUNTU, Techniques administratives et
documentaires, cours L1, I.S.D.R/Bukavu.
10. MURHEGA M. (1994-1995), Gestion des Ressources
humaines, cours L1, inédit, UNIC-ISGEA
11. B.SADIKI (2001-2002), Planification Régional et
Nationale, cours L2, inédit, I.S.D.R./Bukavu
TABLE DE
MATIERES
IN
MEMORIAM...................................................................................I
DEDICACE...................................................................................................................IIREMERCIEMENTS....................................................................................................III
INTRODUCTION
GENERALE..........................................................................1
1. PROBLEMATIQUE DU
TRAVAIL..........................................................2
2. HYPOTHESE DU
TRAVAIL...................................................................2
3. CHOIX ET INTERET DU
SUJET...........................................................3
4. METHODES ET TECHNIQUES
................................................. 3
4.1METHODES...........................................................................3
4.1.1. Méthode descriptive
........................................................3
4.1.2. Méthode
analytique...................................................................3
4.1.3. Méthode
historique.........................................................3
4.2.
TECHNIQUES......................................................................3
4.2.1. L'observation
participative................................................4
4.2.2.
L'interview.....................................................................4
4.2.3. L'analyse
documentaire...................................................4
4.2.4.
Echantillonnage.............................................................4
5. DELIMITATION SPATIO-TEMPORELLE DU
SUJET.....................4
6. PRESENTATION SOMMAIRE DU
TRAVAIL...............................4
PREMIERE PARTIE : CONNAISSANCE DU MILIEU ET ETUDE DU
PROBLEME...5
CHAP.I. MONOGRAPHIE DE LA VILE DE
BUKAVU..........................................5
I.1. ASPECTS
PHYSIQUES......................................................................5
I.1.1. Situation
géographique...............................................................5
I.1.2. Organisation
politico-administrative...............................................5
I.1.3.
Relief......................................................................................6
I.1.4.
Climat.....................................................................................7
I.1.5. Sol et
végétation.......................................................................7
I.1.6.
Température............................................................................7
I.1.7.
Hydrographie...........................................................................7
I.2. ASPECTS
DEMOGRAPHIQUES...........................................................8
I.2.1.Composition ethnique de la
population.....................................................9
I.3. ASPECT
SOCIO-CULTURELS.............................................................9
I.3.1.Education............................................................................................9
I.3.2.
Santé...............................................................................................10
I.4.ASPECTS
ECONOMIQUES....................................................................10
I.4.1. Le
transport............................................................................10
I.4.2. Le commerce et
l'industrie.........................................................10
I.4.3. Les
mines..............................................................................11
I.4.4. La pêche et
l'agriculture............................................................11
I.4.5. Le secteur
informel..................................................................11
CHAP.II.PRESENTATION, ANALYSE ET INTERPRETATION DES RESULTATS
D'ENQUETE..............................................................................12
II.1. PRESENTATION ET
ANALYSE........................................................12
II.1.1.But de
l'enquête........................................................................12
II.1.2.Opérationnalisation
d'enquête.....................................................12
II.1.3.Outils du
travail.........................................................................12
II.2. INTERPRETATION DES RESULTATS
D'ENQUETE..............................12
CONCLUSION
PARTIELLE...............................................................18
DEUXIEME PARTIE : PROJET DE CREATION D'UN CENTRE
D'EDUCATION
FAMILIALE...............................................................19
CHAP.I. INDENTIFICATION ET JUSTIFICATION DU
PROJET...............19
I.1. DEFINITION DU
PROJET.................................................................19
I.2.OBJECTIFS DU
PROJET..............................................................19
I.2.1.Objectif
global...........................................................................19
I.2.2.Objectifs
spécifiques...................................................................19
I.3.BUT DU
PROJET.........................................................................19
I.4.DUREE ET LOCALISATION DU
PROJET.........................................19
I.4.1.Durée du
projet.........................................................................19
I.4.2.Localisation du
projet.................................................................19
I.5.CADRE JURIDIQUE DU
PROJET...................................................20
I.6.FAISABILITE DU
PROJET......................................................... ...20
I.7.EFFETS ATTENDUS DU
PROJET..................................................20
CHAP.II. OPERATIONNALISATION DU
PROJET.................................21
II .1.PLANNIFICATION DES
EXTRANTS..................................................21
II.1.1.Phases du
projet...........................................................................21
II.1.2.Diagramme de
GANT....................................................................25
II.2.PLANNIFICATION DES
INTRANS.....................................................26
II.2.1.Moyens en
personnel....................................................................26
II.2.1.1.Organisation
administrative.........................................................26
II.2.1.2.Organigramme du
projet.............................................................26
II.2.2.Moyens
matériels............................................................... .........28
II.2.3.Apport
local................................................................................28
CHAP.III. EVALUATION DU PROJET
.........................................................29
III.1.BUDJETISATION DU
PROJET...................................................29
III.2.RENTABILITE DU
PROJET.......................................................32
III.3. CADRE
LOGIQUE..................................................................33
CONCLUSION
GENERALE.....................................................................35
ANNEXE.
QUESTIONNAIRE D'ENQUETE
I. IDENTIFICATION :
Etat civil :
.................................................Sexe :
.......................................
Ancienneté :
.............................................Catégorie :
.................................
II. QUESTIONS SPECIFIQUES A LA D.R.H. :
1) EVOLUTION DE L'EFFECTIF DU PERSONNEL PAR CATEGORIE &
SEXE (C/S)
C&S
AM
|
I
|
II
|
III
|
IV
|
V
|
A.M
|
C.D
|
TOTAL
|
Accrois.
|
%
|
H
|
F
|
H
|
F
|
H
|
F
|
H
|
F
|
H
|
F
|
H
|
F
|
H
|
F
|
H
|
F
|
Tot
|
|
|
1995
1996
1997
1998
1999
2000
2001
2002
2003
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
2. EVOLUTION DE LA MASSE SALARIALE PAR CATEGORIE
C&S
AM
|
I
|
II
|
III
|
IV
|
V
|
A.M
|
C.D
|
TOTAL
|
1995
1996
1997
1998
1999
2000
2001
2002
2003
|
|
|
|
|
|
|
|
|
3. LE MOUVEMENT DES TRAVAILLEURS PAR SEXE & CATEGORIE
(C&S)
C&S
AM
|
I
|
II
|
III
|
IV
|
V
|
A.M
|
C.D
|
TOTAL
|
Accrois.
|
%
|
H
|
F
|
H
|
F
|
H
|
F
|
H
|
F
|
H
|
F
|
H
|
F
|
H
|
F
|
H
|
F
|
Tot
|
|
|
1995
1996
1997
1998
1999
2000
2001
2002
2003
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
5. L'EVOLUTION DU CHIFFRE D'AFFAIRES PAR ANNEE & MOIS
+DEPENSE DE PRODUCTION.
AN
Mois
|
1995
|
1996
|
1997
|
1998
|
1999
|
2000
|
2001
|
2002
|
2003
|
TOTAL
|
JANVIER
FEVRIER
MARS
AVRIL
MAI
JUIN
JUILLET
AOUT
SEPTEMBRE
NOVEMBRE
DECEMBRE
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
TOTAL
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
DEPENSE DE PRODUCTION.
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Outre les questions N° 1,2,3,4, et 5, concernant les
tableaux statistiques sur l'évolution des effectifs du personnel par
catégorie et sexe ; sur l'évolution de la masse salariale
par catégorie ; sur le mouvement des travailleurs par sexe et
catégorie ; sur enfin l'évolution du chiffre d'affaire
(statistiques de ventes de production pharma et chimique) et
éventuellement sur les dépenses de production, ajoutons :
6. Quelles sont les raisons de licenciement massif dans votre
Entreprise. ?
R. :............................................................................................................
............................................................................................................
............................................................................................................
7. Quelles en ont été les
modalités ? (Comment ce licenciement se passe dans votre
entreprise.)
R. :............................................................................................................
............................................................................................................
............................................................................................................
............................................................................................................
8. a) Quels sont les coûts extrêmes (le plus et le
moins élevé) des années ou de l'année où le
licenciement était plus marqué ?
R. :............................................................................................................
............................................................................................................
............................................................................................................
............................................................................................................
b) Quels est le coût (base salariale) d'un temporaire
nouvellement engagé (selon les catégories) ?
R. :............................................................................................................
............................................................................................................
............................................................................................................
............................................................................................................
9. Vu la vitesse du recrutement des temporaires et journaliers
et leur nombre croissant, qu'est-ce qui justifie cet intérêt
soutenu pour ces temporaires dans votre Entreprise ?
R. :............................................................................................................
............................................................................................................
............................................................................................................
............................................................................................................
10. Quelles collaborations entretenez-vous avec les
institutions administratives de contrôle professionnel ?
-Division du plan et développement et de
l'économie : ........................................
..................................................................................................................................................................................................................................
-F.P.I et U.P.M.E.A :
....................................................................................
.................................................................................................................
.................................................................................................................
-I.N.S.S. et Contributions :
............................................................
.................................................................................................................
................................................................................................................
- Inspection du travail et O.C.C :
....................................................................
................................................................................................................
...............................................................................................................
II. QUESTIONS GENERALES :
6. Quels sont les motifs révélés
motivant le licenciement massif dans votre entreprise ?
R.
........................................................................................................
............................................................................................................
11. Quels avantages et désavantages tire-t-on du
licenciement massif du personnel dans votre secteur d'activités (ou dans
l'entreprise)
R. :............................................................................................................
............................................................................................................
12. Quels avantages et désavantages tir-t-on du
recrutement des temporaires et journaliers dans votre secteur
d'activités, Ou dans l'entreprise en général ? (Par
rapport à leur mobilité trimestrielle ou semestrielle ;
à leur intégration professionnelle et enfin par rapport à
leur dévouement eau travail)
R. :............................................................................................................
............................................................................................................
13. Comment, selon votre observation, sont -ils occupés
(temporaires et journaliers) après leur contrat en attendant un nouveau
réengagement ?
R. :............................................................................................................
............................................................................................................
14. Quels sont les outils utilisés dans votre
entreprise pour organiser le licenciement massif et recrutement des
temporaires ?
R. :............................................................................................................
............................................................................................................
15. Comment appréciez-vous le travail des syndicats
(s'ils sont opérationnels) dans votre entreprise.
R. :............................................................................................................
............................................................................................................
16. Existe-t-il des entreprises de la sous-traitance dans
votre entreprise ? Si oui, comment fonctionnent-elles ? Si non qu'en
pensez-vous ?
R. :............................................................................................................
............................................................................................................
N.B. / Que votre nom ne soit demandé, vous met en
sécurité et en liberté d'expression. Nous n'avons pas
l'intérêt d'en abuser de votre ouverture. Et si la
réponse déborde la place prévue, vous avez le verso pour
la compléter, pourvu que vous précisiez son numéro.
|