Conclusion :
La gouvernance correspondant au paradigme d'autorité
révèle d'importantes difficultés dans les situations de
complexités et de perte de confiance. Evidemment,
interprété précédemment, l'employeur prend seule la
décision en se prononçant comme un expert sur ce qu'il convient
de faire. Dans le cadre des parties prenantes, la société est une
dimension de confiance essentielle. Ce mode de gouvernance à des fortes
chances de conduire à l'échec des relations. Il provoquent des
effets tout a fait contre productif, en réduisant la cohérence
stratégique de la firme et en inhibant les procédures de
coopération, à la source des gains et d'anticipation des demandes
des parties prenantes.
En revanche, la gouvernance reposant sur la confiance mutuelle
permettra de réaliser les objectifs dans le temps. Elle suppose,
neamoins, la mise en place des procédures de participation
financière et de gestion, basés sur la discussion et la
négociation. Le problème n'est plus en effet de convaincre les
parties prenantes, mais de réussir à les réunir
malgré leurs intérêts différents. La mise en place
de modalités de gouvernance fondée sur la confiance mutuelle est
certainement un enjeu crucial.
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