SECTION II: les conséquences de la cherté
Selon un cadre de la banque attijari wafa bank, seulement 72
dossiers de demande pour les produits alternatifs ont été
accepté, et un seule dossier été refusé, et cela
depuis leurs commercialisation en octobre 2007. Donc les résultats sont
décevants alors qu'on attendait le contraire, surtout après le
succès de ces produits dans les autres pays.
Par ailleurs aucune autre banque n'a eu le courage de
concurrencer attijari wafa bank dans ces produits, par ce qu'ils ont
été découragé, dans un premier temps par le flou de
la fiscalité appliqué sur les produits alternatifs, selon une
étude faite par l'économiste, et aussi par le faible
résultat réalisé après leur commercialisation. Il
y'a même des rumeurs qui parlent de mesures, visant à retirer
ces produits du marché marocain.
Cette cherté à engendrer un
mécontentement général au sein de la
société, on parle d'un prix lourde pour faire ce qui est halal en
islam, payer plus chère pour préserver ses conviction
religieuses, et il y'en a même qui parle de complot qui vise les nouveaux
produits islamiques.
Mais malgré tout ça le Maroc, après avoir
introduit ces nouveaux produits bancaires islamiques ne semble pas se
décourager pour autant, bien au contraire il compte continuer à
encourager les modes de financement islamiques qui ont fait le succès
des banques islamiques, notamment dans les pays du golf et en Europe. Mais pour
le faire il est nécessaire de prendre un certains nombre de
dispositions.
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