Reseaux relationnels et construction sociale de l'attractivité des collectivités territoriales en Cote d'Ivoire: cas de la commune de Ouragahiopar Romeo OKOU Université Alassane Ouattara (UAO) - These Unique de Doctorat 2023 |
9.9.5. Définition et adoption des conditions de pérennisation des actionsLes communautés cibles de la commune de Ouragahio verront une amélioration de leurs conditions de vie.L'organisation mise en place, de par son dynamisme favorisera une émulation saine dans les zones environnantes. Cela suppose que les conditions de durabilité des actions sont clairement définies par l'ensemble de la communauté.
L'ensemble des actions que doivent initier la gouvernance locale de Ouragahio dans le cadre de la Marque Ouragahio (MO)et de ses dispositifs, s'articule autour des 4 axes stratégiques du graphique ci-après. A chacun d'entre eux correspond un ensemble d'objectifs et d'actions : · Rendre visible : Développer l'attractivité du territoire via la Marque Partagée Ouragahio(MPO) et ses valeurs, en la rendant plus visible auprès de ses publics cibles. En s'affirmant comme le porte-drapeau du territoire, la marque partagée Ouragahio est l'élément de convergence, fédérateur, qui s'attache au jeu collectif. De nombreuses actions de communication doivent être mises en place en ce sens. Plusieurs dispositifs doivent également être développés dans les 3 axes suivants pour décliner la Marque Ouragahio. · Fédérer et activer : Transformer tous les amoureux de Ouragahio en promoteurs du territoire et les fédérer pour leur donner plus de force et de visibilité. On doit y trouver le réseau des ambassadeurs de Ouragahio et les partenaires de la marque (personne morale). · Qualifier : Apporter de la valeur au territoire et à la Marque Ouragahio en l'associant à des notions de qualité (qualification d'entreprises de Ouragahio et/ou de leurs produits et services). On trouve ici les marques « Ouragahio Excellence », « Artisans de Ouragahio » et prochainement « Marque employeur Ouragahio ». · Faire consommer Ouragahio : Faire consommer Ouragahio et la production de ses acteurs économiques. Faciliter l'accès à leur consommation. Ces démarches de qualifications produites sont « Savourez Ouragahio », « Savourez Ouragahio Produit du Terroir » et hors alimentaire la marque « Fabriqué à Ouragahio ». Conclusion partielle de la troisième partie L'objectif de cette recherche est d'analyser le rôle des réseaux relationnels dans la construction de l'attractivité territoriale de la commune de Ouragahio. On peut conclure à partir des résultats de cette recherche que l'implication effective des acteurs,l'encouragement de la communication de l'écoute, la volonté de servir l'intérêt général et le consensus autour du projet territorial constituent les principales démarches pour adopter une logique d'attractivité territoriale. À cet égard, la coopération, la sensibilisation et la mobilisation de tous les moyens (financiers, techniques, humains, structurels...) constituent des éléments-clefs pour la concrétisation et l'adoption d'une gestion et de décision collective du territoire. De même, les expériences associatives des acteurs, leurs missions et la nature des relations qu'ils entretiennent avec les autres acteurs déterminent leur implication dans le processus de l'attractivité territoriale. De plus, le discours des acteurs territoriaux montre que la coordination desactions et la confiance entre les acteurs sont une source importante d'informations et aider à la prise de décision au niveau territorial. D'un autre côté, notre recherche a montré que la concrétisation de l'attractivité territoriale est loin d'être facile. Ces difficultés trouvent leur origine dans un environnement politico-administratif non favorable dans le discours de la plupart des enquêtés. Et également dans la divergence d'intérêts et l'absence d'une structure responsable de l'échange entre acteurs c'est-à-dire un cadre d'échange. Maisdans les difficultés financières et la complexité du système de gouvernance territoriale. De même, la décision au niveau territorial qui est censée être prise avec un consentement de tous les concitoyens se heurte d'une manière directe à tous ces handicapes. Ce qui peut être déterminant dans la réussite ou le succès d'une démarche d'attractivité territoriale. Par ailleurs, nous avons pu constater au cours de cette recherche, l'imbrication des variables explicatives de l'hypothèse qui stipule que le territoire est une forme particulière de coordination entre acteurs, de création de valeurs et d'émergence de ressources latentes. CONCLUSION GÉNÉRALE En conclusion de la présente étude, il convient d'établir un bilan afin de conclure et d'évaluer la valeur des propositions que le terrain étudié et les manques de la littérature ont amené à énoncer puis parfois à modéliser. Certes, le plus souvent, les propositions ne sont dans ce document que des ébauches qu'il conviendrait à la lumière d'autres auteurs d'améliorer pour les rendre plus pertinentes et parfois opérationnelles. Toutefois, si des recherches complémentaires s'avèrent nécessaires par ce que les différents apports révèlent parfois des limites, ces apports néanmoins ouvrent des perspectives qui ne manqueront pas d'être évoquées ici. Cette partie sera subdivisée en sept (7) sous sections. Dans la première sous section, comme le signifie Jalel Berreeh, il sera question de faire un rappel des grandes étapes de la recherche en présentant les résultats516(*). Ensuite les apports d'ordre théorique et d'une part les apports d'ordre méthodologique. D'autre part les apports concernant le réseau relationnel et enfin les recommandations et propositions pour des recherches futures. 1. Rappel des grandes lignes de la démarche et des résultats La recherche entreprise avait pour ambition d'analyser le rôle des réseaux relationnels territoriaux dans la construction de l'attractivité de la commune de Ouragahio. Elle est subdivisée en trois grandes parties. La première partie est consacrée à clarifier la problématique de recherche. Cela consisted'abord à définir les concepts clés de la recherche pour s'entendre sur la terminologie dans une perspective constructiviste. Puis de préciser le problème de recherche. De même, pour Vincent Gollain, la stratégie d'attractivité territoriale impulsée par les collectivités territoriales se nourrit de la dimension collective des acteurs territoriaux. Cependant force est de constater que les acteurs territoriaux de la commune de Ouragahio ne s'impliquent pas véritablement dans les actions de construction de l'attractivité territoriale de ladite commune. Ils s'abstiennent de toutes les activités communales ou du moins restent passives. Ce phénomène s'observe lors des activités organisées dans la commune, dans les réunions communales et également dans les relations entre les différents acteurs. Même si quelques actions de promotion culturelle existent, cela se fait de manière isolée sans la participation de de tous. Chacun oeuvrant dans son intérêt propre. Ces différentes observations posentle problème des relations interpersonnelles dans la construction de l'attractivité territoriale de la commune de Ouragahio. De ce problème de recherche, émerge la question principale de recherche à savoir : De quelle manière le réseau relationnel territorial permet-il la construction de l'attractivité de la commune de Ouragahio ? Cette question se décline en trois questions spécifiques - Comment se construit l'attractivité de la commune de Ouragahio ? - Quelles sont les interactions qui s'organisent autour du système de gouvernance territoriale pour rendre la commune attractive ? - Quels sont les dispositifs et les outils mobilisés par le réseau relationnel de Ouragahio pour attirer et faciliter l'implantation de structures en son sein ? Et nous partons de l'hypothèse que la construction de l'attractivité de la commune de Ouragahio est intimement liée au réseau relationnel construit par les acteurs locaux. Diverses théories ont été intégrées à notrerecherche pour comprendre l'ensemble des éléments qui permettent aux acteurs de s'inscrire dans un contexte d'attractivité territoriale. Elle s'appuie sur une approche constructiviste social de l'attractivité territoriale. En ce concerne la méthodologie, notre recherche s'inscrit dans une approche qualitative. Dans cette démarche méthodologique, nous avons décrit le milieu de l'étude qui est la commune de Ouragahio et définit l'échantillon de l'étude. Le paradigme constructiviste dans lequel s'inscrit la présente étude suggère que la réalité sociale n'est pas donnée mais construite pas les acteurs territoriaux. Ce qui permet de ne pas définir les critères à l'avance mais de les découvrir progressivement au fil de l'enquête. C'est donc une approche inductive. Pour Loraine Savoie-Zajc, dans une recherche qualitative517(*), il n'y a pas de paramètres statistiques pour dire qu'en bas de tel nombre les tests ne seront pas applicables ou qu'en haut d'un certain nombre, cela ne vaut plus la peine statistiquement parlant. L'échantillon est composé de Trente (30) acteurs ayant des postes responsabilités dans leurs structures respectives. Pour ce qui est du choix de la stratégie de vérification des données, les techniques de recueil des données sont entre autres l'observation directe, la recherche documentaire et l'entretien semi directif. De plus l'analyse des données s'est faite selon l'analyse de contenus sémantiques et thématiquesdont la retranscription s'est faite manuellement. Au terme de cette analyse, on peut conclure que l'attractivité territoriale dépend du passage d'une gouvernance territoriale publique à une gouvernance territoriale mixte impliquant tous les acteurs territoriaux. Ensuite par l'équilibre entre gouvernance formelle et informelle qui contribuera à renforcer les relations interpersonnelles entres eux. Et enfin de l'émergence d'une ressource particulière territoriale d'essences relationnelles propres, source d'attractivité du territoire. Il convient d'affirmer que les objectifs de cette recherche ont été atteints et les hypothèses vérifiées. 2. Les apports d'ordre théorique de la recherche Il s'agit, ici, de préciser les apports nouveaux qui s'ajoutent aux connaissances relatives au phénomène de l'attractivité territoriale. Et de dire en quoi ils éclairent, nuancent ou remettent en question les connaissances établies sur le phénomène en donnant une autre image. Depuis la création en France, de la chaire « Attractivité et Nouveau Marketing Territorial »518(*)en 2009, dont les problématiques sont liées à la capacité des territoires à promouvoir leurs offres culturelles, leurs savoirs dans le domaine de l'attractivité et aux nouvelles pratiques territoriales dans le monde,ont progressé. Selon Laurent Talbot, ces savoirs ont dépassé le cadre pratique pour élargir leurs fondements au monde de la formation des agents des collectivités territoriales, et aux pratiques pédagogiques d'une manière générale519(*). Pour lui leur intérêt ainsi que leur caractère de scientificité ne sont guère discutés520(*). Le marketing territorial peut être qualifié de science puisqu'il surpasse un assemblage de quelques cultures disciplinaires. On peut alors se poser les questions de savoir à quoi peuvent servir ces savoirs produits dans le cadre de cette recherche ? En quoi ils peuventêtre des moyens pour les praticiens dans le domaine du marketing territorial ? Poursuivant son analyse, Laurent Talbot cite Charles Hadji et Jacques Baillé qui contribuent à répondre à ces interrogations en précisant que les ressources du marketing territorial pour les enseignants dans ce domaine sont de trois sortes521(*):ce qui est pour connaître la réalité,savoir ce qui est souhaitable (pour connaître ce qui devrait être) et savoir ce qu'il faut faire (pour atteindre le souhaitable)522(*). Notre travail dans un premier temps à consister à décrire les relations interpersonnelles telles qu'elles se présentent sur le territoire de Ouragahio, ensuite de les comprendre, de les expliquer et enfin de les modéliser. Il dépasse celui du journaliste qui travaille dans la précipitation523(*). Cette recherche est basée sur des constats empiriques fondamentaux qui en assurent la validité. En nous inscrivant dans une perspective constructiviste, qui admet que les résultats auxquels nous avons abouti relèvent de notre approche du phénomène sur la base d'une modélisation théorique implicite. Cette recherche peut alors être considérée comme une pratique qui véhicule ses propres données, même si le phénomène a été observé sans préjugés supposés, en se détachant de toute attitude normative ou militante. Cette recherche contextualisée à la commune de Ouragahio a permis d'analyser le rôle des relations interpersonnelles dans la construction de l'attractivité dudit territoire. Pour le recueil des données, nous avons fait usage principalement de trois techniques de recherche que sont : l'observation, l'entretien, et la recherche documentaire. Certaines données ont été « cachées » lors des entretiens et ne peuvent être toujours l'objet de déclarations de la part des enquêtés. Notre rôle est de rendre accessible les résultats de la recherche aux praticiens. Il vise à faire le lien, à faire le pont, à communiquer, et à élaborer des échanges entre la recherche et les pratiques dans le domaine du marketing territorial. Les développeurs territoriaux peuvent se référer à ces savoirs pour mieux comprendre leurs propres pratiques. Par conséquent ces résultats participent à la théorisation des pratiques pour la formation. Sur la base de données recueillies, nous avons établi un inventaire des éléments qui participent de l'attractivité de la commune de Ouragahio. Ensuite, de connaitre ce qui devrait être des relations interpersonnelles pour permettre une réalisation de l'attractivité territoriale. Cette recherche permet d'élaborer des éléments du savoir qui seront ensuite désignés comme savoir à enseigner524(*). Elle peut aider à rationaliser les objectifs et surtout à informer les décideurs de l'état actuel des savoirs scientifiques, à désigner ce qui semble possible et ce qui l'est moins. Enfin ce travail permet de connaitre ce qu'il faut faire pour atteindre le souhaitable c'est-à-dire l'attractivité territoriale d'une collectivité. Puisqu'il seraamené à adapter un modèle de l'action que les décideurs publics espèrent le plus efficace possible pour atteindre les objectifs fixés. Ce travail offre aux développeurs territoriaux, aux hommes politiques ainsi qu'aux décideurs, un appui théorique et méthodologique, pour renforcer et ensuite modifier peu à peu avec leur expérience du développement local Notre recherche contribue à la définition de conditions de succès ou d'échec de l'attractivité territoriale dans les collectivités. L'explication que nous apportons est locale dans le sens où il se réfère à un rapprochement d'ensemble de caractéristiques de l'attractivité territoriale. Ce qui suppose de faire un rapprochement entre les différentes fonctions de l'attractivité territoriale. Pour résumer, notre travail de recherche vise à connaître, comprendre et expliquer les relations interpersonnelles dans la construction de l'attractivité territoriale en vue d'élaborer des connaissances et des savoirs qui profiteront aux praticiens dans le domaine du marketing territorial quiveulent connaitre la réalité pour agir. Selon Laurent Talbot, c'est un rôle complexe d'accompagnement, de transformation des savoirs scientifiques de la réalité en savoirs pour les praticiens qui doivent viser l'efficacité525(*). 3. Les apports d'ordre méthodologique Les apports méthodologiques de notre recherche ont, d'abord, trait à la mise en oeuvre d'une complémentarité entre les données primaires et les données secondaires, dans l'objectif d'améliorer la fiabilité et la validité des informations. Les données primaires sont vérifiées et complétées par des données en provenance des données secondaires. Les apports méthodologiques de la recherche ont ensuite trait à l'application d'une approche de triangulation au niveau des « données »526(*), avec une collecte des données à des périodes différentes dans le temps qui s'est déroulée en trois phases, faisant appel à la recherche documentaire, à l'observation et à l'entretient semi-directif. Cette approche triangulée a permis de valider les hypothèses de base liées à l'objet de recherche à travers une analyse du contenu thématique et sémantique de différents rapports et notes internes dont nous disposons.Les apports méthodologiques tiennent, en plus, à la particularité de l'enquête menée auprès des acteurs territoriaux de la commune : les acteurs ayant une certaine responsabilité de décider de l'orientation de la structure qu'ils dirigent. Ces apports concernent, en outre, l'introduction d'une investigation sur le phénomène de l'attractivité territoriale à partir de l'étude des relations interpersonnelles entre des acteurs territoriaux. Il s'agit d'une interprétation et d'une confrontation des différents points de vue de tous les acteurs impliqués en se référant aux variables explicatives, définies à la base de la recherche, et en s'appuyant sur les résultats théoriques retenus. Les apports méthodologiques de cette recherche relèvent de la conception et de la vérification de l'ensemble de variables introduites dans la recherche, ayant permis de faire les liens entre les concepts théoriques et les données empiriques, dans un contexte spécifique d'attractivité territoriale. 4. Apports concernant les réseaux relationnels L'une des questions de recherche a permis de comprendre la logique d'intégration à un réseau relationnel. Il n'était pas possible en effet en lisant la littérature sur la question, de se faire une idée des mécanismes qui présidaient au choix, à la cooptation des membres du réseau, ni d'envisager s'il était possible qu'une personne souhaitant intégrer un réseau puisse le faire. L'intégration d'un individu au réseau est généralement réalisée de façon informelle en tenant des liens d'affinité entre les acteurs. Suivant Gaeton Gagnon et Jackie Tremblay, dans le processus d'intégration au réseau relationnel, la dimension affective a une fonction essentielle527(*). Cela est confirmé dans le discours du président des jeunes du village de Mama en ces termes : « Bon ! Il faut dire que ceux qui font partis de mon bureau ont été recrutés sur la base des grandes familles que compte le village. Parce que si tu fais un bureau sans tenir compte des grandes familles, cela va créer des palabres inutiles. Donc tu es obligé de choisir les gens dans chaque grande famille ». Dans le cas de l'individu ou dans celui d'une organisation, le réseau sera utilisé à des fins d'échanges de ressources ou de regroupement pour peser sur des décisions. Il sera mis au service d'une seule personne à savoir le maire de la commune. Le réseau de l'institution territoriale qui est la mairie en revanche, va quant à lui tenter de mutualiser les différents réseaux pour faciliter la cohésion, tant entre les membres que pour les prises de décisions collectives. L'enjeu est collectif et coopératif. Ces différents réseaux renvoient à la façon dont le capital social sera mobilisé selon que les réseaux sont ou non les faits d'une institution. Puis il a été utile de percevoir le rôle des relations interpersonnelles sur les prises de décision. Cette réflexion conduit à nous interroger sur les négociations que les différents acteurs engagent avec l'institution publique territoriale qui est la mairie. Nous avons dégagé trois types de groupes. D'abord, le groupe de ceux qui vont s'associer aux décisions de la gouvernance et que nous nommons les « partisans ». Le plus souvent, s'ils sont partisans, c'est par ce qu'ils veulent avoir accès aux ressources des réseaux de l'institution municipale, ou encore ils s'inscrivent dans une posture partisane pour légitimer leurs actions dans la commune. Ensuite, il y a ceux qui vont négocier et ensuite s'associer ou au contraire rejeter les projets de la gouvernance municipale, nous les désignons sous le terme de « négociateurs »528(*), terme emprunté à Denis Cristol. Il s'agit de ceux qui vont essayer de spolier au maximum des ressources du territoire pourque les projets prennent en compte leurs besoins. Ils se positionnent le plus souvent, en faveur de leur intérêt. Enfin, le dernier groupe est composé de ceux qui vont s'opposer et ne pas se joindre aux propositions de l'institution territoriale. Ils seront désignés sous le terme « opposants ». Ce groupe est constitué d'individus qui s'opposent par principe pour des raisons d'influence de réseau ou qui ne sont pas en accord avec la visée politique du premier responsable de la commune à savoir le maire. Cette opposition est alors un moyen de manifester un mécontentement. 5. L'importance des résultats et la question de leur généralisation La problématique de notre recherche est d'analyser le rôle des réseaux relationnels c'est-à-dire les relations interpersonnelles dans la construction de l'attractivité de la commune de Ouragahio. Nous avons démontré comment, dans la pratique, les acteurs locaux s'organisent autour d'un système de gouvernance territoriale pour rendre le territoire attractif en construisant de la proximité. Par ailleurs, ces travaux ont nécessité des investigations dans des champs disciplinaires très larges, allant de la communication à la sociologie et plus précisément à la sociologie des organisations, des théories de l'organisation à celles du comportement des individus. Cette approche de type qualitatif permet la compréhension de la construction de l'attractivité territoriale en observant la gestion des activités dès la commune. La stabilité, l'équilibre et l'attractivité territoriale de la commune de Ouragahio requiert que la gestion formelle soit en harmonie avec la gestion informelle pour conserver les relations interpersonnelles. En ce sens, les apports managériaux de cette recherche résident dans la mise en lumière du réseau relationnel territorial comme facteur d'attractivité territoriale et a fortiori du rôle des acteurs publics en la matière. Il était important pour nous d'être présent sur le territoire afin d'observer les interactions entre les acteurs. Néanmoins, notre compréhension était nécessairement limitée eu égard au temps relativement court que nous y avons passé ainsi qu'aux filtres que constituent les différents entretiens. Certains éléments ont pu nous échapperà cause des obstacles que nous avons rencontrés sur le terrain de l'étude. L'objet sur lequel la recherche a été menée, constitue pour les structures territoriales un sujet sensible. Dès lors, on conçoit aisément d'une part les réticences des acteurs vis-à-vis d'une étude en profondeur, d'autre part l'expression de ces réticences dans un discours parfois retenu et timoré. En dépit de ces obstacles, nous avons essayé de faire ressortir dans le discours des enquêtés, des faiblesses qui ont permis de faire des relances de certaines questions pour avoir plus de précisions. En outre, cette recherche sur le terrain s'est déroulée sur une période de neuf (9) mois, par conséquent, les observations restent limitées à l'actualité de cette période. Toutes fois, cette recherche a bénéficié de nombreux échanges avec les différents acteurs bien avant de commencer la recherche et ces échanges avaient déjà immergés dans une certaine mesure dans la commune de Ouragahio, quand bien même il n'avait pas été question à l'époque de formaliser chacune des observations ou chacun des recueils d'observations. Les principales limites de cette recherche sont essentiellement dues au choix de la méthodologie. D'abord, on aurait pu grossir la taille de notre échantillon pour couvrir la totalité du réseau relationnel afin d'avoir une carte de ces relations et également connaitre la fréquence de ces relations. L'analyse de ce réseau et l'approfondissement des entretiens, devraient permettre de situer la responsabilité des acteurs et de déterminer leur influence sur les buts à atteindre. Enfin nos résultats doivent être enrichir par des études sociologiques ou anthropologiques. Et cela dans l'objectif d'étudier l'évolution de ce réseau. Et également de comprendre la mise en service du territoire par les acteurs territoriaux et de la manière dont ils se l'approprient. Enfin bien que cette étude s'accorde avec le choix de la démarche qualitative, elle est exposée a de nombreuses critiques fondées sur l'étude de cas et sur l'impossibilité de reproduire la démarche sur une plus grande échelle. Il serait certainement intéressant d'élargir la recherche à un plus grand nombre de situations. Toutefois les résultats, qui s'ils sont fiables dans la forme et le contexte actuel, ne le sont pas forcément dans le contexte de d'autres collectivités territoriales Néanmoins, ces limites ouvrent des voies de recherches futures pour élargir les apports théoriques liés à l'attractivité des territoires. Les résultats escomptés par de nouveaux travaux empiriques seront également l'occasion de développer les apports managériaux de sorte à renseigner et conseiller les acteurs territoriaux de Ouragahio. 6. Valeur théorique des résultats et essaie de théorisation La valeur théorique de la recherche peut s'apprécier à partir des objectifs principaux. En premier lieu, les contributions théoriques tiennent à la définition du concept de l'attractivité territoriale et de son positionnement dans un cadre théorique convenant (la théorie de l'acteur stratégique de Michel Crozier et Erhard Fridberg, la théorie de l'interactionniste systémique de la communication et la théorie des relations humaines). La recherche a montré, grâce aux différents apports théoriques que le concept d'attractivité, malgré les nombreuses définitions qui lui ont été attribuées reste un concept polysémique. Ce n'est donc pas une démarche a imposé aux territoires puisque son application dépend du territoire et de son environnement social. Elle dépend de certaines caractéristiques qui peuvent être analysées et qui peuvent servir à faire des déductions. La méthodologie servant à l'analyser est réaliste, interdisciplinaire, généralisable et opérationnelle. Il était nécessaire de déterminer le cadre théorique relatif au processus de l'attractivité territoriale. Cette dernière s'inscrit dans le cadre de l'approche interrelationnelle et constructiviste de sens, qui associe plusieurs théories que sont la théorie de l'interactionniste systémique de la communication, la théorie de l'acteur stratégique de Michel Crozier et Erhard Fridberget la théorie des relations humaines. En deuxième lieu, les contributions théoriques tiennent à expliquer le rôle des relations interpersonnelles dans la réussite ou l'échec de l'attractivité territoriale. Ce dernier est saisi à partir de trois variables qui ont été retenues pour notre recherche. Le premier groupe concerne la gouvernance territoriale mixte perçue dans l'action des acteurs, il contient : implication politique des acteurs dans l'activité de promotion de la collectivité, Organisation d'action publique territoriale, Raison d'agir des acteurs, La satisfaction des acteurs impliqués, rapport de pouvoir qui favorise le consensus entre les acteurs, le respect des engagements. Le deuxième regroupe l'adéquation entre gouvernance formelle et informelle perçue à travers la qualité des liens entre la mairie de Ouragahio et les acteurs. Il constitue l'implication de tous les acteurs dans les prises de décisions, la planification de stratégie commune et la concertation dans les prises de décision. Ensuite une Interaction continue entre les différents acteurs de la commune, la capacité de la mairie de Ouragahio à formuler et à mettre en place de façon effective des politiques adéquates. D'une part l'appropriation des acteurs des différentes actions de développement du territoire, la satisfaction des acteurs impliqués dans les processus de décision. Et enfin le respect mutuel des acteurs des territoriaux des institutions qui régissent les interactions entre eux et le devoir de rendre compte aux autres acteurs de la commune de Ouragahio. Et le troisième concerne les TIC et le cadre formel des relations territoriales. Cette dernière variable dépend de plusieurs indicateurs qui sont : l'utilisation la radio communale pour informer les administrés, participation des administrés aux émissions radiophoniques grâce au téléphone, aux lois, aux textes, aux règlements, aux actes et aux normes implicites qui régissent le fonctionnement de la collectivité territoriale. Cependant, notre recherche ne prétend pas que ces trois variables pour expliquer le phénomène de l'attractivité territorial. Toutefois, à la lumière des connaissances théoriques dans le domaine, il est possible d'avancer que ces variables, ainsi que leurs attributs constitutifs, sont suffisamment fondatrices du processus de l'attractivité territoriale pour qu'il puisse continuer à apparaître dans une forme ou une autre ultérieurement. En définitive, la valeur théorique de la recherche tient à l'explication des résultats, qui s'inscrit dans une logique d'attractivité territoriale, à travers l'influence des éléments qui le caractérisent. En effet selon les différentes théoriques utilisées dans cetteétude, pour que les acteurs territoriaux participent au processus d'attractivité territoriale, il faut les responsabiliser en leur confiant des postes de responsabilité dans la gestion des affaires de la commune, en les motivant et en les impliquant également. Ensuite réduire la zone d'incertitude entre les acteurs. Et enfin, faciliter la circulation des informations entre eux. Toutes fois ces différentes théories ne suffisent pas pour atteindre les objectifs qui sont la construction de l'attractivité territoriale. Il faut en plus de cela mettre en place un cadre de régulation des relations interpersonnelles qui permet de gérer et prévenir les conflits et les tensions entre les acteurs territoriaux. Le présent document montre l'importance d'intégrer les différents éléments des résultats dans l'étude du rôle des réseaux relationnels dans la construction de l'attractivité territoriale, afin d'obtenir une vue d'ensemble de cette dernière. Elle contribue d'une certaine manière à la définition de conditions de succès ou d'échec de l'attractivité territoriale. L'explication qu'elle apporte est locale, dans le sens où elle se réfère à une combinaison particulière d'un ensemble de l'attractivité territoriale propre au périmètre communal de Ouragahio. Les résultats de la recherche empirique effectuée conduisent à l'établissement de liaisons significatives entre les éléments qui sont propres à l'attractivité territoriale de ladite collectivité. On peut conclure que ;lorsque les relations entre les acteurs territoriaux sont faibles, ces derniers ne se sentent plus appartenir à la collectivité territoriale. Chacun préfère agir pour son intérêt propre. Ces relations faibles se manifestent souvent par une perte de reconnaissance sociale et une infantilisation par les organes dirigeants de la commune que sont les autorités municipales. Au contraire, les relations fortes entre les acteurs, favorisent leur intégration dans les différentes activités de la commune. Ce qui évidemment aboutira à la construction de l'attractivité territoriale de la commune de Ouragahio. Pour cela, il est donc nécessaire de communiquer sur les relations interpersonnelles entre les acteurs pour les faire fonctionner dans les différents réseaux relationnels du territoire. 7. Piste de recherches futures Le présent documentproduit quelques propositions qui peuvent se réduire en certains points. Suivant Marc Hufty, l'attractivité n'est pas un modèle qu'on peut prescrire comme directif529(*). L'attractivité estun fait social c'est-à-dire que ça mise en oeuvre dépend des facteurs du territoire en question. Elle a ses propres critères qu'on peut étudier et expliquer. L'attractivité territoriale fait appel, dans ce sens, à une démarche pluridisciplinaire. Pour ce qui est de notre recherche, elle permet de dégager un certain nombre de modalités et procédures successibles d'aider à la constitution d'un modèle d'attractivité territoriale. En effet, en recensant les différents éléments liés aux comportements des acteurs et à l'environnement politico-administratif, on peut essayer de prévoir la constitution d'un éventuel modèle d'attractivité territoriale. Néanmoins, il serait souhaitable que d'autres études soient faites pour pouvoir ajouter des éléments complémentaires. Pour ce qui est de la commune de Ouragahio, l'étude montre qu'il n'existe pas un seul modèle d'attractivité territoriale, mais une multitude de modèles qui varient d'un territoire à un autre. Cependant, l'étude affirme que tous les modèles d'attractivité territoriale qui peuvent exister font appel aux trois éléments essentiels que sont le consensus social, la coopération et ou coordination et prise de décision dans une vision démocratique. Ensuite, la stratégie des acteurs émerge comme une réponse à l'environnement socio-politique, relativement peu favorable à la construction de l'attractivité territoriale. Cette stratégie est favorisée par un contexte territorial et organisationnel peu formalisé par des règles et procédures écrites et expression faible des rapports de pouvoir entre les acteurs territoriaux. Cette stratégie génère une faible satisfaction auprès des acteurs territoriaux participant à la concrétisation de l'attractivité territoriale à travers leurs décisions. Ce résultat s'explique par le faible degré de participation des acteurs et par la présence des conflits fonciers entre eux. La coopération et la coordination entre les acteurs territoriaux se manifestent dans la concrétisation de leurs intérêts communs. Cette coopération entre acteurs est visible dans les actions entreprises par ces derniers. Elle justifie une réelle volonté de réussir une politique de construction de l'attractivité territoriale. De plus, le présent document montre l'entière volonté d'impliquer tous les acteurs d'une manière ou d'une autre pour arriver aux meilleures solutions en faveur de toutes les parties impliquées. Cette étude démontre qu'il n'existe pas une seule bonne et unique manière d'adopter des décisions, mais que plusieurs sont possibles en fonction d'un ensemble de circonstances qui tiennent compte de la zone d'incertitude entre les acteurs territoriaux. Toutefois, les différentes décisions prises au sein du territoire ne doivent pas être conçues comme concurrentielles par les acteurs territoriaux. Ils peuvent les intégrer comme des comportements alternatifs faisant partie d'un même système complexe décisionnel, ce qui permet d'éviter une logique d'opposition et de divergences entre eux. Enfin, cette recherche place les acteurs territoriaux dans un cadre conventionnel. En effet, dans leurs prises de décision, les acteurs doivent se référer à une organisation sociale c'est-à-dire un cadre de régulation des relations sociales et de partage d'information territoriales, au travers de laquelle ils peuvent se doter d'une référence commune. Il s'agit de placer les actions des acteurs territoriaux dans un dispositif collectif reposant sur un principe de ressource spécifique territoriale d'essence relationnelle, au sens où, on cherche à valoriser les relations interpersonnelles par les TIC ; de sorte à responsabiliser chaque acteur territorial dans un rôle précis dans le processus de construction de l'attractivité territoriale. BIBLIOGRAPHIE 1. Ouvrages et articles de méthodologie BARDIN Laurence, 1977, L'analyse de contenu, Paris, Presses universitaires de France. BEAUD Michel, 1988, L'art de la thèse - Comment préparer et rédiger une thèse de doctorat, un mémoire de DEA ou de maîtrise ou tout autre travail universitaire, Paris, La Découverte. 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Cette discipline est portée par Sciences Po Aix qui est une école référence auprès des collectivités territoriales. * 519 Laurent TALBOT, Op.Cit, p64. * 520Idem * 521Idem * 522 Ibidem * 523 Ibidem * 524Yves CHEVALLARD, 1985, « La transposition didactique : du savoir savant au savoir enseigné ». in la pensée sauvage. [En ligne]. www.persee.fr/doc/rfp_0556-7807_1986_num_76_1_2401_t1_0089_0000_1 Consulté le 23 Juin 2020. * 525 Laurent TALBOT, 2004, « Intérêts et limites des apports de la recherche aux pratiques de l'enseignement », in Éduquer [En ligne]. http://rechercheseducations.revues.org/354 Consulté le 30 S2eptembre 2019. * 526 Norman DEZIN et Yvonnas LINCOLN, Op.cit., p200. * 527 Gaeton GAGNON et Tremblay JACKIE, 2013, « Intégrer la dimension affective dans la formation en pédagogie ». 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