I.3. Question de départ
Mes situations d'appel m'ont permis de m'interroger sur la
place du corps du patient et de son consentement dans l'apprentissage ou
l'exercice de la médecine. J'ai donc émis l'hypothèse
selon laquelle dans le cadre d'un soin, le patient cesse d'être
objectivé dès lors que le consentement recueilli par le soignant
est libre et éclairé.
Ainsi la question que j'étudierai est la suivante : en
quoi le recueil du consentement permet de faire du patient un sujet et non un
objet ?
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