D Manque de
coordination des programmes dédiés à la résorption
phonique
Nous avons pu constater dans cette première partie que les
différents organes publics concernés par la résorption et
la prévention des nuisances d'origine terrestre sont pour la plupart des
organisme sous tutelle de l'Etat et ont le plus souvent un rôle
restrictif de consultation et de recollement de l'information en sa
direction.
On constate également que la plupart des programmes sont
proposés par le Ministère de l'Environnement et mis en
exécution par celui de l'Equipement sans qu'il ne semble y avoir une
réeelle coordination en amont et d'évaluation des effets en aval.
Cette problématique est encore plus accentuée lorsque sont
impliqués dans ces programmes des acteurs semi publics ou privés
, relevant de maîtrises d'ouvrage différentes et pas
forcément volontaires à s'engager dans des projets de
réduction de nuisance sonore s'ils ne sont couplés avec d'autres
résorptions (thermiques, sanitaires, électriques...)
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