3.25. DISTRIBUTION DES LYCEENNES SELON QUE L'EGLISE
SENSIBILISE
153
élèves disent que leurs églises s'occupent de la
sensibilisation et pour 36autres leurs églises ne s'y intéressent
pas.
Tableau
XXIII Répartition des lycéennes selon que leurs églises
sensibilisent
3.26. DISTRIBUTION DES LYCEENNES SELON LE MOMENT DE
SENSIBILISATION PAR L'EGLISE
Pour
107 l'église sensibilise après le culte,39 disent que c'est
pendant le culte et 7autres pendant les vacances
Tableau
XXIV. Répartition des lycéennes selon le moment cité de
sensibilisation par l'église
3.27. DISTRIBUTION DES LYCEENNES SELON LA MANIERE DE
SENSIBILISATION PAR L'EGLISE
78filles
disent que l'église sensibilise dans des groupes des jeunes, 39 avouent
que c'est dans des recollections, et 36 citent l'exhortation.
Tableau
XXV. Répartition des lycéennes selon la manière
citée de sensibilisation par l'église
3.28. DISTRIBUTION
DES LYCEENNES SELON L'ACCEPTATION DES RELATIONS SEXUELLES SANS
PRESERVATIF
181
filles acceptent l'usage du préservatif pendant les relations sexuelles
pour leur protection, et 8 ne le préfèrent pas pour prouver
à leurs partenaires de l'affection et de l'amour
Tableau XXVI. Répartition des lycéennes
selon l'acceptation des relations sexuelles sans
préservatif
3.29. DISTRIBUTION DES LYCEENNES SELON LA RAISON SOUTENANT
LES RELATIONS SEXUELLES SANS PRESERVATIF.
4,2%
de filles acceptent des relations sexuelles sans préservatif, 95,8% de
filles n'acceptent pas des relations sexuelles lorsqu'il n'a pas usage du
préservatif.
Tableau
XXVII. Répartition des lycéennes selon la raison soutenant des
relations sexuelles sans préservatif
3.30. DISTRIBUTION DES LYCEENNES SELON LA CONNAISANCE DU
SIGNE DE LUTTE CONTRE LE VIH
Nous
constatons qu'en cherchant à croiser la connaissance du signe de lutte
contre le VIH/SIDA des élèves à leurs écoles
respectives, Twendelee présente 47,5% des filles qui ignorent, Wema
33,7% et Tshondo avec 18,8% l'ignorent. Mais Tshondo a 33%, Twendelee avec 59%
alors que Wema a 8% des filles qui connaissent ce signe. Ce qui peut nous
pousser à dire que le niveau de connaissance à Wema est plus bas
que celui de Tshondo et de Twendelee. A ce point, nous pouvons nous permettre
de dire que les filles deTwendelee ont été mieux
sensibilisées que les autres.
Tableau
XXVIII. Répartition des lycéennes selon leur connaissance du
signe de lutte contre le VIH et selon leurs écoles de
provenance
P=
0,001
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