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Perception des parents face à  l'oxygénothérapie chez les enfants malades


par Fabrice MAKELELE
Institut supérieur des techniques médicales de Béni - Graduat 2022
  

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CHAP PREMIER REVUE DE LA LITTERATURE

I.1. DEFINITION DE CONCEPTS

1. PERCEPTION

· C'est une prise de connaissance, réception d'une sensation, d'une information par !es organes de sens ou par l'esprit (Bernard et Geneviève 2019)

· C'est le fait de percevoir par le sens, par l'esprit (petit LAROUSSE 2011)

2. OXYGÉNOTHERAPIE (Oxygène, thérapie)

· c'est l'emploi thérapeutique de l'oxygène, consistant à faire respirer à un malade de l'oxygène pur où de l'air plus riche en oxygène que l'air atmosphérique en cas d'asphyxie, d'état: de choc hémorragique, d'anémie de malade pulmonaire, au cours de l'accompagnement (Bernard et Geneviève 2019)

· c'est le traitement par administration d'oxygène gazeux (petit LAROUSSE 2011) par exemple en cas d'insuffisance respiratoire.

3. PARENT : C'est toute personne avec qui l'on à un lien de parenté (petit LAROUSSE 2011)

4. ENFANT : Garçon ou une fille dans l'âge de l'enfance, personne considérée comme rattachée par ses origines à un être, à une chose. (petit LAROUSSE 2011)

5. MALADE : Qui souffre des troubles organiques ou fonctionnels ; qui est à mauvaise santé (Dictionnaire Robert 2011)

I.2. GENERALITES SUR L'OXYGENOTHERAPIE

I.2.1 Sources et modes de délivrance et d'administration de l'oxygène

Les sources d'oxygène et ses modes de délivrance dépendent des établissements et des ressources disponibles

I.2.2 Source

Les sources d'oxygène les plus épurâtes sont les bouteilles et le réseau de conduites des établissements.

Bouteilles d'oxygène : l'oxygène est produit en usine par refroidissement de l'air jusqu'à ce que ce dernier se liquéfie, puis distillation du liquide pour en séparer l'oxygène pur, l'oxygène pur est ensuite envoyé a travers une pompe à oxygène liquide dans des bouteilles C'est une technique qui consomme de l'énergie; les bouteilles aux grossistes pour les recharge périodiquement, puis de ce dépôt au point d utilisation, ce qui est logistiquement difficile, coûteux et souvent incertain pour les petits hôpitaux Ce processus peut entraîner des approvisionnements en oxygène irréguliers.

I.2.3 Concentrateurs d'oxygène 

Les concentrateurs captent l'air de l'environnement, qui contient habituellement 21% d'oxygène, 78% d'azote et 1% d'autres gaz et en extraient l'azote pour laisser oxygène pratiquement pur. La plupart des concentrateurs fournissent de l'oxygène à une concentration de 90 - 96% Ils constituent une source d'oxygène sûre, moins coûteuse, fiable, et d'un bon rapport coût efficacité, qui est plus commode que les bouteilles d'oxygène, notamment pour les structures à ressources h mitées. Ils permettent, avec un seul appareil, d'assurer une alimentation continue en oxygène pour jusqu'à quatre patients en même temps lorsqu'ils sont utilisés avec des répartiteurs de débit ou des débitmètres. Les concentrateurs exigent néanmoins ; être régulièrement entretenus pour bien fonctionner, et nécessitent une source l'alimentation continue en électricité. Les concentrateurs peuvent fonctionner en courant alternatif provenant du secteur, avec un groupe électrogène ou à l'énergie solaire. Il est important d'avoir en réserve une source d'oxygène indépendante, comme par exemple une bouteille.

I.2.4 Méthodes d'administration

Cette section décru les interfaces qui relient la source d'oxygène (bouteille, concentrateur, réseau de conduites) au patient, les méthodes et le matériel décrits peuvent être utilises quelle que soit la source d'oxygène utilisée. Les méthodes employées pour amener l'oxygène au malade doivent être sûres, simples, efficaces et peu coûteuses. Les différentes méthodes d'administration ont été passées en revue ces méthodes sont non invasives (via un masque facial, une cloche, un incubateur ou une tente à oxygène ou un tuyau de maintien ou semi-invasive (introduction de lunettes
ou de sondes dans les voies aériennes nés supérieures), les méthodes d'administration débit d'oxygène et reviennent moins cher que les méthodes non invasives, qui nécessitent un débit d'oxygène élevé. Les sondes nasales et naso-pharyngien ont un effet bénéfique sur la fonction pulmonaire, car elles produisent une pression expiratoire positive (PEP)1(*) pouvant atteindre 5cm H2O pour améliorer l'oxygénation (Frey B, Frezeer N. 2001) La production d'une PEP peut également être efficace dans la prise en charge de I apnée associée à la prématurité ou a la bronchiolite (Sreenan C, Lemke RP 2001).

Les principales complications associées aux méthodes d'administration d'oxygène ont l'hypercapnie (à partir des cloches et les masques faciaux quand on utilise un débit insuffisant), le déplacement dunettes nasales) et l'obstruction de la sonde ou des voies aériennes supérieures ou le saignement nasal (Muhe L, eber M 2001) Une PEP élevée incontrôlée due à un débit d'oxygène exagérément élevé à travers les lunettes ou les vides nasales peut entraîner une distension gastrique ou un pneumothorax.

I.2.5 Recommandations sur les méthodes d'administration d'oxygène

RECOMMANDATION

QUALITE DES DONEES PROBANTES

1

Les lunettes nasales constituent la méthode de choix pour administrer de l'oxygène aux nourrissons et aux enfants de moins de 5 ans présentant une hypoxémie

Recommandation forte (données probantes de qualité moyenne)

2

Les sondes nasales ou naso-pharyngien peuvent être utilisées en remplacement lorsque les lunettes ne sont pas disponibles. Les masques faciaux et les cloches ne sont pas recommandés.

Recommandation forte (données probantes de qualité moyenne)

3

Les débits standards d'oxygène dans les lunettes nasales ou les sondes nasales sont de 0,5 - 1L/min pour les nouveaux - nés, 1 - 2L/min pour les nourrissons, 1 - 4L/min pour les enfants plus âgés.

Recommandation forte (données probantes de qualité moyenne)

Les masques faciaux, les cloche à oxygène, les incubateurs (couveuses) et les tentes à oxygène ne sont pas recommandés car ces appareils gaspi lent l'oxygène et sont potentiellement dangereux. Les méthodes recommandées pour les nouveau-nés, les nourrissons et les enfants sont les lunettes nasales, les sondes nasales et les sondes naso -pharyngien. Les patients porteurs d'une sonde naso-pharyngien doivent être étroitement surveillés car ils peuvent développer des graves complications si la sonde se déplace et pénètre dans l'oesophage. Dans la plupart de situations, les lunettes nasales constituent la méthode de choix pour administrer de l'oxygène, car elles offrent un équilibre idéal entre sécurité, efficacité et rentabilité. Un des inconvénients des lunettes nasales est leur coût, qui est actuellement plus élevé que celui des sondes (Muhe L, Degefu H 1998). C'est la raison pour laquelle on utilise souvent des sondes nasales dans les pays en développement. Si elles ne sont pas disponibles, un tuyau naso-gastrique dont on a réduit la longueur peut même suffire comme sonde nasale, a travers laquelle de l'oxygène pourra être administré. Il s'agit de la meilleure méthode pour administrer de l'oxygène aux nourrissons et aux enfants atteints de croup ou de coqueluche pour éviter de provoquer îles quintes de toux paroxystique.

· Lunettes nasales

Il s'agit d'un appareil qui se termine par deux courts tuyaux effilés (d'environ 1cm de long) conçus pour être places juste à l'intérieur ces narines. Ce système est également appelé canules nasales, ou moustaches. Les débits standards dans es lunettes nasales ont de 0.5 - 1L/min pour les nouveau-nés, 1 - 2L min pour les nourrissons. 1-4L/mm pour les enfants plus âgés.

Il n'y a pas de risque de distension gastrique aux débits standards, car ces lunettes ne peuvent pas être insérées trop loin dans le conduit nasal, l'nt humidification n'est pas nécessaire avec des débits d'oxygène standards car les mécanismes naturels à l'intérieur du nez chauffent et humidifient l'oxygène inspiré.

Lunettes nasales mises en place et fixées correctement.

Il y a un léger risque que les voies aériennes se retrouvent bouchées par des mucosités notamment si l'on utilise un débit élevé sans humidification. La fraction inspirée en oxygène (FiO2) dépend du débit d'oxygène, de la relation entre le diamètre nasal est le diamètre des lunettes et du poids corporel du patient, qui détermine en partie le volume délivre par minute Chez les nourrissons pesant jusqu'à 10kg, les débits d'oxygène de 0,5L/min, 1L/mm et 2L/min donnent respectivement des valeurs de FiO2d'environ 35 % 45% et55%La production de PEP avec les lunettes nasales est incertaine.

L'obtention d'une PEP dépend du diamètre distal des lunettes, du débit d'oxygène et du poids corporel. Alors que 1L/min d'oxygène peut produire une pression de fin d'expiration positive d'environ 5cm H2O chez tes prématurés, il n'y a aucune production de PEP avec ce même débit chez les nourrissons pesant jusqu'à 10 kg (Frey B et shan, 2003).

· SONDE NASOPHARYNGEES

Ce type de sonde passe par la narine jusqu'au pharynx juste au-dessous du niveau de la lunette. L'administration d'oxygène au moyen d'une sonde nasopharyngée est la méthode la plus économique de toutes celles décrites ici. Elle permet d'obtenir, à un débit d'oxygène intérieur, une meilleure oxygénation qu'avec des lunettes nasales, à cause du relativisme élevée dans la trachée, et d'une production de Pression Expiratoire Positive significative chez les nourrissons, 1L/min d'oxygène par voie nasopharyngée administre par une sonde de calibre 8 CH produit une PEP de 2,8cm H2O.

· Chez le nouveau - né

L'oxygénothérapie chez les nourrissons qui viennent de naître notamment quand ils sont prématurés, doit refléter le fait que dans les premières heures de vie, ils ont une saturation en oxygène normale plus basse que les nouveau nés plus âges (7,42). Il faut utiliser l'oxymétrie de pouls pour surveiller la SpO2, qui doit être maintenue 88 %, mais sans dépasser 95% chez les bébés prématurés afin d'éviter tout dommage oculaire

Un certain nombre d'affections susceptibles d'entraîner une hypoxémie surviennent plus fréquemment chez les nouveau-nés, notamment l'asphyxie à la naissance, le syndrome de détresse respiratoire et la tachypnée transitoire du nouveau-né ; les pneumonies sont également fréquentes. Les nouveau-nés en grande souffrance pour cause de prématurité, de septicémie, de convulsions ou d'hypoglycémie, par exemple, sont également sujets aux apnées. Des épisodes d'apnées et d'hypoventilation surviennent également chez les nourrissons, par ailleurs bien portants, qui ont un très faible poids de naissance 1,5 kg ou âge gestationnel <32 semaines) en raison de l'immaturité de la commande respiratoire (apnée de la prématurité). L'apnée peut entraîner une hypoxémie et un ralentissement du rythme cardiaque bradycardie), réduisant encore la distribution d'oxygène aux tissus.

Dépression respiratoire au moment de la naissance : réanimation néonatale

L'asphyxie périnatale se manifeste par une respiration lente ou une absence de respiration, une hypotonie (spasticité), une cyanose ou pâleur et une bradycardie pulsations lentes au non palpables) au moment de la naissance. Quand des nourrissons nés a terme ou avant terme (>32 semaines d'âge gestationne1) nécessitent une ventilation en pression positive, la réanimation au ballon et au masque avec de l'air a M % d'oxygène est efficace. Dans le cas des nourrissons prématurés (32 semaines d'âge gestationnel), il faut utiliser la réanimation au ballon et au masque avec de l'air à 30 % d'oxygène Le principal problème respiratoire dan- la majorité des cas d'asphyxie périnatale est ; absence de ventilation ou une ventilation inefficace, donc l'intervention la plus importante est d'aider le nouveau-né a respiré plus efficacement. Il arrive que l'asphyxie périnatale soit une complication d'une pneumonie néonatale, d'une inhalation (de méconium, de sang maternel ou de liquide amniotique) ou d'un syndrome de détresse respiratoire sévère. Dans les cas de pneumonie néonatale sévère ou d'inhalation, il est impératif de mettre en route une ventilation efficace et d'apporter un supplément d'oxygène pour assurer une oxygénation acceptable.

La première priorité de la réanimation des nourrissons qui présentent une asphyxie est un gonflement correct des poumons, remplis de liquide. Il est essentiel d'être attentif à la concentration d'oxygène inspiré à administrer. La réanimation des nouveaux - nés est décrite dans le Mémento de soins hospitaliers publié par l'OMS.

Il peut se produire une dépression respiratoire au moment de la naissance si des placés (morphine ou péthidine) ont été administrés à la mère pendant le travail. Dans ce cas, la naloxone en injection intramusculaire a une concentration de 0,1mg/kg de poids corporel, avec une ventilation au ballon et au masque et souvent efficace.

Si un nouveau - né reste hypoxique malgré l'administration d'oxygène, vérifier que les efforts de ce nourrisson pour respirer sont suffisants et que sa poitrine se soulève et s'abaisse. Si ce n'est pas le cas, procéder à une ventilation au ballon et au masque, vérifier que l'oxygène arrive bien au nourrisson : vérifier l'étanchéité des raccords des tuyaux, ou essayer une autre source d'oxygène. La cyanose chez le nouveau - né sera parfois due à des problèmes cardiaques ou des problèmes pulmonaires structurels. Un nourrisson qui reste cyanose ou qui a un SpO2 faible malgré l'administration d'oxygène, et qui tient des efforts corrects pour respirer, doit être examiné par un médecin expérimenté afin d'identifier une autre raison à l'hypoxémie, telle qu'une hernie diaphragmatique, une cardiopathie congénitale, un pneumothorax ou une anomalie pulmonaire congénitale.

L'exposition de nourrissons de très faible poids de naissance à une quantité excessive peut provoquer des dommages oculaires appelés rétinopathie du prématuré. Les nourrissons les plus à risque sont ceux sont nés à 32 semaines de gestation ou pesant 1250g ; plus l'enfant est petit, plus le risque est élevé. Si l'oxymétrie de pouls est disponible, la SpO2 doit être maintenue au-dessus de 88%, mais sans dépasser 95% afin d'éviter les dommages oculaires (41). La rétinopathie du prématuré peut se développer même avec une surveillance méticuleuse chez des très grands prématurés, qui présentent des problèmes multiples.

La plupart de ces cas se résolvent d'eux-mêmes. Tous les nourrissons nés à 32 semaines de gestation ou pesant 1250g et les plus grands prématurés ayant reçu de l'oxygène doivent subir un dépistage de la rétinopathie du prématuré à l'âge de 4 - 6 semaines (ARCANGELA L.2022 )

I.2.6 METHODES D'ADMINISTRATION D'OXYGENE CHEZ L'ENFANT ET LE NOURRISSON

METHODE

DEBIT O2 MAXIMAL (L/MIN)2

FRANCTION O2 REELLEMENT INSPIRE (%) a 1L/MIN PAR NOURRISSON DE 5Kg

REP

HUMIDIFICATION

RISQUE D'HYPERCAPNIE

RISQUE D'OBSTRUCTION DES VOIES AERIENNE

MATERIEL NECESSAIRE

DEMANDE EN SOINS INFIRMIERS

Lunettes nasales

Nouveau - nés 0,5 - 1

45

Minime

Pas nécessaire

Non

Minime

Lunettes nasales

+

Nourrissions

Age préscolaire :4

Age scolaire : 6

Sonde nasale

Nouveau - nés 0,5

50

+

Pas nécessaire

Non

+

Sonde 8 CH

++

Nourrissions 1

Sonde nasopharyngée

Nouveau - nés 0,5

55

++

Nécessaire

Non

++

Sonde 8 CH humidificateur

+++

Nourrissions1

Cloche à oxygène, masque facial, incubateur, tente à oxygène. Non recommandé car l'oxygène est utilisé de façon inefficace

Cloche : 2 - 3L/Kg par min

 

Néant

Pas nécessaire

Oui

Non

Cloche, masque facial

+++

CH : Système charrière ; PEP : Pression expiratoire positive· CHEZ L'ENFANT

Tous les enfants vivant à <2500 m au-dessus du niveau de la mer doivent recevoir une oxygénothérapie si leur saturation en oxygène est <90%mesurée par oxymétrie de pouls. Chez les enfants vivant à haute altitude (>2500m au-dessus du niveau de la mer), la saturation en oxygène normale est plus basse et un taux de SpO2de <87 % pourrait être utilise comme seuil pour l'administration d'oxygène.

Si 1'oxymétrie de pouls n'est pas disponible, les signes cliniques peuvent être utilisés pour guider l'utilisation d'oxygène Les enfants présentant l'un des signes suivants sont susceptibles d'avoir une hypoxémie :

§ Cyanose centrale

§ Battement des ailes du nez ;

§ incapacité a boue ou à s'alimenter (lorsqu'elle est due à une détresse respiratoire) ;

§ Saignement à chaque respiration ; et

§ baisse des onctions mentales à savoir : léthargie, état somnolent ou inconscient.

Dans certaines situations et selon leur état clinique général, les enfants qui présentant les signes respiratoires moins spécifiques suivants peuvent également avoir une hypoxémie :

§ tirage sous-costal marqué ;

§ fréquence respiratoire 70/min ; ou

§ coups de tête inspiratoires (hochement de la tête, synchrone avec la respiration indiquant une détresse respiratoire sévère).

D'autres affections cliniques, comme les convulsions prolongées, le coma soudain ou es problèmes neurologiques aigus, peuvent également être associées à une hypoxémie mite à une obstruction des voies aériennes ou d'un travail vantillatoire déficient.

Quand l'approvisionnement en oxygène est très limité, il faut donner de l'oxygène aux enfants âgés de plus de deux mois en suivant un ordre de priorité proposé dans le tableau des méthodes d'administration d'oxygène chez les enfants et les nourrissons. Les nourrissons âges de moins de deux mois montrant les signes de détresse respiratoire sévère (tachypnée, tirage sous-costal marqué, coups de tête ou geignements doivent systématiquement recevoir de l'oxygène, car l'hypoxémie augmente leurs risques d'apnée et de décès.

L'oxygène doit toujours être donné en continu jusqu'au maintien d'une saturation normale sans oxygène d'appoint.

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