0.5. HYPOTHESE DU
TRAVAIL
Notre première préoccupation consiste à
nous interroger sur la part de l'humain dans les problèmes
écologiques. Ilappert queles différentes crises qui s'annoncent
un peu partout dans le mondemontrent quel'humain n'estpas en bonne relation
avec la nature en général et l'environnement en particulier.Sur
ce, il est important de repenser notre relation avec les autres êtres de
la nature. Bien plus, étant donné que l'humain est victime de ses
propres actions cela signifie qu'il est à l'origine de sa propre
destruction, alors il lui revient de prendre conscience de ses actes. Sans
cette conscience, il sera toujours en difficulté ou danger. Les
conséquences écologiques n'épargnent aucun vivant. Tous
sont cernés, voilà pourquoi il serait important d'être
conscient de la réaction de la nature. La conscience est le mobile de la
responsabilité vis-à-visde nous-mêmes et de l'autre.
Du coup, il serait important de préconiser des
mécanismes permettant à l'humain d'être en bonne relation
avec la nature. Bien des auteurs ont proposédes théories quant
à cela. Il apparaît que dans la postérité hansienne
la théorie pour sauver la nature et les vivants serait celle du principe
responsabilité, cette expressionpermet à notre auteur de penser
et de donner à comprendre la dimension complexede l'humain la
théorie qui permettrait d'atténuer les problèmes
écologiques serait le contrat naturel. Par contrat naturel, les humains
sont partenaires avec le reste de la nature. Ce contrat permettrait à
l'humain d'entretenir un nouveau rapport avec la nature. Ce rapport portrait
à l'humain de sauver son espèce et celle des autres. Ainsi, les
problèmes écologiques seraient résolus. Mais si les
rapports entre l'humain et la nature restenttendus, alors les
différentes catastrophes ou conséquences écologiques
continueraient. C'est pourquoi, il est important que les humains sachent quoi
faire pour être en sécurité.
En par rapport à notre problématique, voici
comment se formule notre hypothèse : Si l'humain est la
solution par laquelle la crise écologique pourrait
s'atténuer,alors, il doit être conscient et responsable des actes
qu'il pose vis-à-vis de cette la planète.Pour sauver la nature,
l'humain doit la considérer comme un sujet ayant des droits. Et face
à ces effets inhabituels que nous enregistrons partout dans le
monde ; le contrat avec la nature est notre chance pour survivre, quoi
qu'il reste vrai que la part de l'humain est de revenir vers la nature
comme partenaire fiable.
0.6. DELIMITATION DU
SUJET
Le présent travail est orienté en philosophie
des sciences, mais spécialement en écologie. A cet effet, la
part de l'humain dans les problèmes de la crise écologique selon
Michel Serres ne se limite pas seulement en philosophie, mais aussi dans
les domaines des sciences de l'environnement comme l'agronomie, zoologie, la
géologie, etc. Pour le délimiter, le nôtre s'inscrit dans
la perspective épistémologique, c'est-à-dire discourir sur
l'écologie, mais au second degré ou langage. Ce qui veut dire
réfléchir et discourir autrement sur ce que les autres ont dit en
matière de la protection de notre maison commune (nature).
Cependant, en ce qui nous concerne le nôtre se
démarque des autres travaux en ce sens qu'il analyse la partie
assignée à l'humain dans les problèmes écologiques.
Autrement dit, il reproche l'humain en tant que responsable, à l'instar
des autres actions non-humaines considérées parfois naturelles.
Cette démarcation, nous la tirons dans les ouvrages de notre
maître à penser.
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