La part de l'humain dans les problemes ecologiques selon Michel Serrespar Faustin MBUYU Université de Lubumbashi - Licence 2023 |
II.1.2. LE DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE : LE CAPITALISMEAu point précédent, nous avons décrit le progrès technique et son impact dans la nature. Cependant, signifions que certains problèmes écologiques ont pour source dans la croissance économique due au système capitaliste. Certains chercheurs proposent d'atténuer ou stopper ce système qui met en péril l'avenir de l'humanité en général. C'est pourquoi, le capitalisme comme système économique sera analysé ici pour voir comment celui-ci objective, privatise, instrumentalise la nature et constitue un mal écologique. Ainsi, il importe de bien préciser le sens du terme usité ici. Qu'est-ce que le capitalisme ? Quelle est son origine et en quoi il est un problème écologique ? Dans le dictionnaire Larousse, le capitalisme est défini comme un « système économique et social fondé sur la propriété privée de moyens de production et d'échange156(*) » où les fondements sont l'entreprise privée et la liberté du marché. Ce système est beaucoup plus connu en économie que dans d'autres domaines de la vie. Il y des auteurs philosophes (Karl Marx, Frédéric Engels, etc.) qui ont condamné et critiqué le capitalisme sous toutes ces formes, puisqu'il s'agit d'une idéologie basée sur l'intérêt individuel. C'est une conception de l'humain basée sur les mécanismes et systèmes économiques de la production. Ce système domine le monde aujourd'hui surtout dans le domaine des affaires. Il faut signaler que tout part du travail. Autrement dit, le travail est le point de départ du capitalisme. Car c'est lui qui enrichit et rend indépendant l'individu. Le livre de Michel Beaud157(*) trace l'histoire du capitalisme de 1500 à nos jours. A le lire, celui-ci souligne que l'histoire du capitalisme commence déjà avec la société féodale où s'effectue l'organisation de la production et l'extorsion du capital que bénéficiait le seigneur, qui par ailleurs est propriétaire éminent et détenteur des prérogatives politiques et juridictionnelles158(*). En fait, l'époque féodale a donnée naissance au système capitaliste dans un aspect de conservation des intérêts mercantiles. De plus, après celle-là (la société féodale) vient ensuite le « siècle des trois révolutions » (les lumières, l'esprit français, le despotisme éclairé). Ce siècle a permis « l'élargissement des échanges marchands, notamment du commerce mondial159(*) ». D'après cet auteur, ce siècle est une période de renforcement du capitalisme, mais surtout celui des Anglais, puisqu'il s'agit déjà de l'émergence de l'industrialisation. Enfin, l'histoire s'achève sur l'impérialisme où il y a une explosion du capitalisme du fait, il y a maintenant « ni une personne ni une institution, [le capitalisme] est une logique aveugle, obstinée, d'accumulation160(*) ». C'est cette dernière forme qui se vit aujourd'hui. En s'interrogeant sur la question du capitalisme, Adrien Lentiampa souligne que le capitalisme est « un système économique dans lequel les moyens de production sont propriété privée, et donc, individuelle161(*) » qu'on pourrait dire en termes de mode de vie par son caractère de vouloir privatiser certaines choses. Parlant de son origine, Frédéric London estime que le « capitalisme commence par l'argent162(*) ». Et à ce sujet, pour Karl Marx, l'argent est « la première forme d'apparition du capital... [il est par ailleurs] le produit final de la circulation163(*) » capitaliste. En d'autres termes, le commencement et la fin du capitalisme est l'argent. Voilà pourquoi il aboutit à la théorie selon laquelle : A-M-A : tout part de l'argent vers la marchandise et de la marchandise vers l'argent. Sur ce, nous comprenons qu'en tant que système économique, le capitalisme est lié au gain, c'est-à-dire à la croissance économique. Le marché, le commerce, l'économie sont des ordresque l'humain capitaliste ne peut pas s'en passer. Poursuivant l'article d'Adrien Lentiampa, souligne que le capitalisme est une conséquence politico-économique de la nature même de l'homme.164(*) Par la mauvaise gestion des ressources et de politique, ce système a pris naissance. Pour sa part, Karl Marx dans son livre Le capital a essayé d'étudier le mode de production du capitalisme et le rapport qu'a cette production. Sur ce, il souligne que « l'histoire moderne du capital date de la création du commerce et du marché des deux mondes au XVIème siècle165(*) ». La création du commerce a donné le coup d'envoi au progrès économique. Par l'échange des marchandises, on voit apparaitre une sorte d'économie qui vise la régulation du commerce sur la politique du commerce. Cela étant, dans le régime capitaliste, il y a deux classes sociales qu'il faudrait souligner : des prolétaires et des bourgeois. La première est considérée comme une classe de machine d'exploitation, des moyens de production. Autrement dit, une classe de ressource, de matière de production (instrument du travail). La seconde, (la classe des bourgeois) celle qui tisse les ficelles de la société. Par leur moyen et pouvoir financier les bourgeois vendent leur force au prolétaire. Une politique qui envisage la valeur d'usage. C'est pour cette raison que Karl Marx évoque la notion du profit et de la plus-value.166(*) De plus, le capitalisme est devenu presque une nouvelle religion du monde que Karl Marx combattait déjà à son époque. Celle qui voulait en fait le profit du bourgeois à l'égard du prolétaire et aujourd'hui, il s'étend même dans la relation humain-nature. En d'autres termes, il est fondé sur l'individualité comme valeur suprême dans le domaine économique. Soulignons que le système capitaliste est fils de l'anthropocentrisme. Dans le contexte où l'individualisme, philosophie qui met l'intérêt individuel au centre est devenue une valeur. Relativement, l'être humain se prend pour un bourgeois et considère la nature comme inférieure, sans valeur et qu'il peut acheter, c'est-à-dire un prolétaire. Il sied de noter que c'est l'exploitation qui s'annonce parce que l'être l'individu pense être dominant par rapport à la nature. C'est pour cette raison d'ailleurs, Karl Marx estimait que le capitalisme n'était rien d'autre qu'une domination des forces du capital sur les forces du travail.167(*) En d'autres termes, la nature travaille sous le contrôle du capitaliste. Celui-ci en retour surveille la nature. La nature est surveillée par le capitaliste dans le seul but que la production poursuivit « soit proprement fait et les moyens de production employée » suivent son intérêt. En ce sens, la nature est la marchandise, puisse qu'elle procure la richesse. Raison pour laquelle la marchandise est l'élément fondamental du système capitaliste. Karl Marx définissait la marchandise comme « un objet extérieur, une chose qui par ses propriétés satisfait des besoins humains de n'importe quelle espèce168(*) ». Pourtant, prendre les éléments de la nature comme des marchandises, c'est-à-dire des objets ou choses extérieures au vendeur destinées uniquement à satisfaire des besoins est en danger dans la relation qu'entretiennent l'humain et le monde. L'esprit capitaliste qui pense que la nature est une marchandise pousse aux humains de maltraiter la nature et de la surexploiter dans l'objectif d'accumuler beaucoup d'argent. Selon, Friedrich Engels, le capital(isme) est ce travail emmagasiné169(*). Il est une source de toute richesse. Cette dernière provient de la multiplication des productions selon la force du travail appliqué pour la réclamation du profit ou gain. Engels soulève le problème du déséquilibre. Pour lui, ce système crée en effet un déséquilibre entre les possesseurs du capital et les producteurs. Ce déséquilibre fait en sorte que « les profits du travail mort emmagasiné deviennent toujours plus immenses, les capitaux des capitalistes toujours plus énormes tandis que le salaire du travail vivant devient toujours plus petit, la masse des travailleurs vivant uniquement de leur salaire toujours plus nombreuse et plus pauvre170(*) ». Une telle attitude appauvrisse davantage les prolétaires parce qu'ils doivent vivre sur base de ce qu'il produit. Leurs vies dépendent de leurs forces de travail. C'est que Joseph Schumpeter défend lorsqu'il dit que le mal du capitalisme est le « fait que les riches deviendraient toujours plus riches et les pauvres toujours plus pauvres171(*) ». Ceci, c'est dans le sens où les plus fort pense anéantir les faibles. Le deuxième aspect a relevé comme problème du capitalisme et comme source de la crise écologique est l'intérêt. Ce dernier est le mobile qui alimente et fonde la toile du système économique capitaliste. Il est le saut qui active la politique capitaliste. Pour le dire autrement, pour un capitaliste, l'intérêt est la chose qui le motive. Sans celui-ci, il y n'y a pas de système capitaliste. C'est pourquoi, Adrien Lentiampa souligne à ce sujet que « le capitaliste voit d'abord en l'autre le client ou partenaire potentiel, donc une source de profit172(*) ». Ce profit est la base même de sa motivation. Ainsi, placé l'intérêt dans la nature revient à supprimer sa valeur en tant que lieu et cadre de vie. L'intérêt du capital dans la nature, réduit cette dernière à une entreprise de production dans laquelle l'humain producteur et se croit propriétaire, et est guidé par la recherche du profit peu importe les moyens. En un mot, la finalité du système capitaliste dans le monde est la recherche du profit qui conduit à l'accumulation des gains. La recherche de ce qui est intéressant dans l'individu ou l'objet, d'autant plus que, celui-ci peut rapporter une production, un gain. Ce qui amène à vouloir produire davantage sans tenir compte des conséquences que cela peut engendrer. Dans ce système, le capital n'appartient pas à celui qui rend la production effective par le son travail, mais à celui qui profite de l'effort de l'autre par intérêt. L'objectif est « la recherche effrénée du profit et dont le but se trouve dans la consommation173(*) ». La logique de l'intérêt est celle où le capitaliste analyse la relation qu'a l'individu par rapport à son environnement. La relation entre les besoins de l'humain et ce que son environnement peut lui fournir comme service pour satisfaire ses besoins. C'est pour cette raison, il y a une transformation de la nature pour aider l'humain à satisfaire ses besoins ultimes. Aussi la vie économique s'écoule dans un cadre social et naturel qui finit par une transformation incessamment et dont les transformations que ce système amène modifie les données de la nature.174(*) Mais, les conséquences de cette transformation de la nature produisent des effets tels que : les rejets toxiques, la surexploitation, etc. Tout ceci parce qu'il y a la non-insertion du capitalisme comme solution aux problèmes écologiques mais, comme perturbateur du fonctionnement de la nature par le souci de prélèvements de matières premières considérées comme marchandises extérieures à l'être humain. L'humain capitaliste se fait l'idée selon laquelle les ressources naturelles prises comme marchandises, « se présentent comme une quantité maximale de matières que l'on peut utiliser175(*) » sans fin. En plus, l'utilité que vise le capitalisme conduit à la production ou surproduction de la nature. Cette production est une transformation la nature. Or, la question de l'écologie est liée à la gestion du stock, c'est-à-dire de l'épuisement, de la sauvegarde de ce qui nous reste. Pourtant, le capitalisme moderne produit sans tenir compte de cet aspect. Le capitalisme semble franchir la barre, c'est-à-dire les limites écologiques. Ces limites sont les mécanismes de protection au niveau global et local que le capitaliste n'essaye pas d'observer. Son seul souci est de produire pour amasser plus de capital. C'est pourquoi Karl Marx affirme que « la production capitaliste engendre elle-même sa propre négation avec la fatalité qui préside aux métamorphoses de la nature176(*) ». Un autre fait à relever comme la source et le mal écologique est la propriété privée au sein de l'idéologie capitaliste. Selon Karl Marx : « la première condition de la production capitaliste, c'est que la propriété du sol soit déjà arrachée d'entre les mains de la masse177(*) ». D'après lui, cette condition était une mauvaise politique car, affirme-t-il : « l'essence de toute colonie libre consiste, au contraire, en ce que la masse du sol y est encore la propriété du peuple178(*) ». La nature n'est pas une propriété privée de l'être humain, car ce dernier l'a trouvée, et peut la laisser. Il n'appartient pas aux humains de croire que la nature dépend d'eux, mais le contraire. Nous vivons d'après les révélations de la physique quantique une co-dépendance, une corrélation où tout est lié. L'erreur capitaliste serait celle de vouloir privatiser la nature à la seule jouissance de l'humain et pour ses besoins économiques sans tenir compte des phénomènes écologiques ou naturelles des choses. Il est vrai que la recherche sans cesse et accumulation de capital est le point central de la mise en oeuvre par le système économique capitaliste pour maintenir l'équilibre. Mais il en va de la survie de tout le monde. Cela dit, Gael Giraud considère ce système comme une utopie mortifère qui veut plonger le monde dans une société des propriétés privées, comme une finalité à laquelle tout le monde veut tendre en termes d'une « eschatologie ». Le système « nous enferme dans une dichotomie qui parait tellement aller de soi qu'elle est rarement interrogée [puisqu'il y a] d'un côté, les biens privés, qui relèveraient de la sphère marchande, de l'autre, les biens publics179(*) ». Pourtant, la nature est un bien public qui règle la santé de l'humanité. La privation de ce bien public est une utopie mortifère. En effet, pour la cause commune, le mieux serait de prendre soin des biens que nous avons tous en commun pour le bien de toute l'humanité. Cependant, soulignions aussi que le mal capitaliste serait celui de vouloir rendre la nature esclave de l'économie. Or, nous connaissons bien qu'être esclave, c'est justement être la propriété privée de quelqu'un. L'esclave est privé de sa liberté et dépend de son maître. Celui-ci le considère comme une personne n'ayant pas ses droits. A l'époque de l'esclavagisme en Afrique par exemple, l'africain esclave était marchandé de la même manière qu'on peut marchander du cuivre. Ceci pour dire l'économie a rendu la nature en un objet n'ayant pas des droits. En outre, pour Michel Serres, l'humanité est embarquée dans un nouveau navire. Ce dernier est l'économie moderne qui associe l'argent. C'est pourquoi, selon notre maître à penser, le système économique nous précipite dans une fin collective qui contraint le fonctionnement de la nature. L'auteur ne souligne pas seulement le capitalisme, plutôt tout système économique qui se mettrait au centre avec comme intérêt l'exploitation du monde. Car exploiter irrationnellement le monde renvoi à l'extinction des êtres. Exploiter les êtres du monde est une source de la crise et une idée mortifère. Par capitalisme, notre auteur emploi le terme Quirinus180(*). Il s'agit du dieu de l'économie qui nous écarte de toutes les lois dictées par Jupiter, par soif d'accumulation des gains. Ce terme signifie, pour lui, une économie à visage capitaliste qui a « séparé les humains en des classes181(*) ». Séparer les humains en des classes sociales n'a qu'une mission. D'après lui, la mission est celle d'exploiter de manière rationnelle et technique la nature.182(*) Par ailleurs, ce système né de la liberté de l'humain le met en danger. Michel Serres le considère comme une idée mortifère pour notre avenir. Nous critiquons aujourd'hui la politique capitalise et la considérons comme un mal écologique, c'est parce que celle-ci veut rendre le monde (nature) comme un bien privé dépendant seulement à l'humain qui a le pouvoir de le transformer. En revanche, le monde est un ensemble, un bien public qui appartient à tout être vivant dont les relations sont symétriques. Il n'appartient pas uniquement à l'« homo-economicus », lequel humain est susceptible à le transformer et accaparer comme une entité privée. En analysant ce point, l'objet est celui de fonder avec la nature une symbiose et non un utilitarisme avec elle. De plus, le secteur de l'économie, souligne Michel Serres, est destructeur de ce monde contemporain et laisse les humains affamés. Il ne s'intéresse que de l'intérêt particulier. Dans le contrat naturel, le philosophe français souligne que « dans l'économie [...] gisent des raisons immédiates que tout le monde connaît sans pour autant pouvoir agir183(*) ». Autrement dit, le système économique vise le court terme. Ayant la politique du court terme, il renforce les causes des problèmes écologiques. Raymond Matand souligne que la terre est considérée « comme gisement de ressources minérales, végétales et animales qu'il fit piller sans modération184(*) ». C'est pourquoi Michel Serres défend cette pratique économique qui considéré comme socle du développement des techniques. A la suite de ce que nous venons de dire sur le capitalisme, il sied de noter que la production capitalise s'accompagne du développement des techniques appropriées pour maximiser le rendement. En retour, celui-ci réalise les soucis de la limite humaine en termes des besoins. Sans technique, il n'aurait aucune productivité rentable. Ceci nous permet de dire que la montée du capitalisme a également provoqué le progrès technique qui, aujourd'hui, est la cause majeure de la crise et des problèmes écologiques qui s'abattent un peu partout dans le monde. Par le seul souci d'un profit abusif qui engendre la surexploitation de la nature. Cette dernière se voit être détruite par une civilisation mercantile. Le système capitaliste crée en effet une certaine dépendance entre l'économie et la technique. Le capitalisme par son vouloir, privatise, surexploite et transforme le monde, rend notre planète pauvre et plonge l'humanité en général dans une dépendance totale. Avec sa philosophie de l'intérêt, tout devient argent, objet de production. Les choses du monde sont surexploitées par la technique dans le seul profit du capitaliste. En somme, nous sommes en face de deux ordres : l'un est l'association entre science et technique et l'autre est marchand. Ceux-ci transforment notre manière de vivre dans le monde et face au rapport que nous avons avec les choses du monde. Ils révolutionnent et transforment le monde en introduisant des ruptures entre humain et le non-humain. Au point où les choses de la nature comme dit Michel Serres se voient transformées et aujourd'hui sont en réaction contre les actes humains accumulés. La symbiose entre capitalisme et technologies est une nouvelle manière d'interpréter le monde. Malheureusement, cette interprétation est à l'origine de beaucoup de problèmes écologiques où l'humain est lui-même esclave de sa propre invention ou création. Le progrès technique et le développement économique sont devenus chefs du monde et de la nature. Leurs résultats décident sur l'humain et son avenir. La symbiose de l'accumulation des biens et le consumérisme technoscientifiques imposent une nouvelle loi qui nous plonge dans une guerre et une violence. * 156 Dictionnaire LAROUSSE, Le Larousse illustré, Paris, Éd. Larousse, 2009, p. 157. * 157 Michel BEAUD, Histoire du capitalisme. De 1500 à nos jours, Paris, Éd. Seuil, 1981. * 158Ibidem, p. 16. * 159Michel BEAUD, Histoire du capitalisme. De 1500 à nos jours, Paris, Éd. Seuil, p. 57. * 160Ibidem, p. 171. * 161 Adrien LENTIAMPA, « De l'ère de l'individu à l'ère de la personne. Pour une économie à visage humain », in Gregorianum, Roma, Éd. P.U.G, 2013, N° 94/4, p. 833. * 162 Frédéric LONDON, Capitalisme, désir et servitude. Marx et Spinoza, Paris, Éd. La fabrique, 2010, p. 24. * 163 Karl MARX, Le capital, Paris, Éd. Garnier-Flammarion, 1969, p. 115. * 164 Adrien LENTIAMPA, Art. Cit., p. 832. * 165 Karl MARX, Op. Cit., p. 115. * 166Sylvain AUROUX, et André JACOB, Les notions philosophiques. Encyclopédie philosophique Universelle, Tome 1, Paris, Éd. P.U.F., 1990, p. 263. * 167 [En ligne] https://www.larousse.fr/encyclopédie/images/Rosa_Luxemburg_en_1912/1310796 (page consulté le 10/06/2023 à 12h 21). * 168 Karl MARX, Op. Cit., p. 41. * 169 Frédéric ENGELS, « Le capital »,in le Demokratisches wochenblantt (LEIPZIG des 21 et 28 Mars). Article qu'on peut trouver annexer dans le livre de Karl MARX, Op. Cit., p. 697. * 170Ibidem, p. 697. * 171 Joseph SCHUMPETER, Capitalisme, Socialisme et Démocratie, La doctrine marxiste. Le capitalisme peut-il survivre ? socialisme et démocratie, Paris, Éd. Payot, 1963, p. 98. * 172 Adrien LENTIAMPA, Art. Cit., p. 838. * 173Raymond MATAND MAKASHUNG, l'homme et la nature. Perspectives africaines de l'écologie profonde. Paris, Éd. L'Harmattan, 2019, p. 87. * 174 Joseph SCHUMPETER, Op. Cit., p. 121. * 175 Antonin POTTIER, « Le capitalisme est-il compatible avec les limites écologiques ? », in Centre d'économie de la Sorbonne Université Paris 1, Paris, Éd. CNRS, 2O17, p. 2. * 176 Karl MARX, Op. Cit., p. 567. * 177Ibidem, p. 570. * 178Karl MARX, Le capital, Paris, Éd. Garnier-Flammarion, 1969,p. 570. * 179 Gael GIRAUD, « le capitalisme financiarisé et transition écologique. De la "société de propriétaire" vers une "société des communs" ? »,in Gregorianum, Roma, Éd. P.U.G, 2013, 94/1, N° 695-706, p. 695. * 180 Dans le contrat naturel Michel Serres parle de Quirinus : dieu de l'économie, p. 31. Il a emprunté ce terme dans la mythologie grec. * 181 Michel SERRES, Op. Cit., p. 32. * 182Ibidem, p. 32. * 183 IDEM, Op. Cit, p. 20. * 184 Raymond MATAND, Op. Cit., p. 90. |
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