B. Causes de mortalité
V' Le paludisme
V' Les infections respiratoires inférieures
V' Le Sida
V' Les maladies métaboliques
V' Les affections gynéco-obstétriques
24
CHAPITRE III. PRESENTATION DES RESULTATS III.1.
CARACTERISTIQUES DES REPONDANTS
Il est important de dégager les caractéristiques
des enquêtés, puisque c'est grâce à celles-ci que
l'on se présente qui est concerné. Si non,
l'interprétation et discussion des résultats peuvent avoir des
significations différentes pour plusieurs interprétations.
III.1.1 Age, sexe
Ces deux éléments sont utiles dans l'analyse des
données comme le montre le tableau suivant: Tableau n°1:
Répartition des enquêtés selon l'âge et le
sexe
AGE
|
SEXE
|
TOTAL
|
|
Féminin
|
Masculin
|
9
|
3
|
12
|
26-30
|
4
|
2
|
6
|
31-35
|
1
|
5
|
6
|
36-40
|
4
|
2
|
6
|
41-45
|
7
|
4
|
11
|
46-50
|
9
|
5
|
14
|
51-55
|
25
1
|
4
|
5
|
Plus de 55
|
|
4
|
6
|
10
|
TOTAL
|
|
39
|
31
|
70
|
|
|
Source : Résultats de notre travail, Juiellet
2020
Pour notre cas, l'âge et le sexe ont retenu notre attention
car l'une de ces caractéristiques peut influencer le degré
d'adhérence au ARV.
L'âge est une caractéristique importante d'une
population car, il renseigne dans notre cas la capacité de prendre une
décision d'adhérer librement ou non à un traitement
quelconque.
La majorité de nos enquêtés sont
âgés de plus de 40ans, c'est-à-dire 40 sur 70 soit 57,1%
dont 15 dépassent 50 ans y compris 5 hommes et 10 femmes. Le reste de
nos enquêtés sont âgés de moins de 40 ans.
C'est-à-dire qu'ils ont entre 20 et 40 ans dont 18 cas de moins de 30
ans.
III.1.2 Instruction
Le niveau d'instruction renseigne sur la capacité de
lire les instructions médicales et de respecter l'heure de prise des
comprimés. Le tableau suivant nous donne les détails.
Tableau n°2 : Répartition des participants
selon le niveau d'instruction
Niveau d'étude
|
Féminin
|
Masculin
|
Total
|
Pourcentage
|
Primaire
|
12
|
8
|
20
|
28,6
|
Post-primaire
|
7
|
9
|
16
|
22,9
|
Secondaire
|
4
|
5
|
9
|
12,8
|
Supérieur
|
1
|
3
|
4
|
5,7
|
Jamais à l'école
|
12
|
9
|
21
|
30
|
Total
|
26
SOURCE: Résultats de notre travail, septambre
2020
Il ressort de ce tableau comme nous le constatons que la
majorité de nos répondants n'ont pas été à
l'école soit 30% suivi de personnes ayant fait seulement l'école
primaire soit 28,6%, 22,9 ont fait 2 à 3ans post primaire en formation
des métiers, 12,9% ont été à l'école
secondaire, au cours de notre enquête que 4 personnes seulement soit 5,7%
ont fait les études supérieures
Partant de ces données, nos répondant ont la
difficulté de capter facilement les informations sur le service `ARV.
III.1.3 Profession
C'est à partir de ce tableau que nous avons compris la
capacité de nos enquêtés. Tableau n°3:
Répartition des participants selon la profession
Profession
|
Féminin
|
Masculin
|
Total
|
Pourcentage
|
Cultivateur
|
30
|
26
|
56
|
80
|
Commerçant
|
3
|
4
|
7
|
10
|
Etudiant
|
0
|
0
|
0
|
0
|
Employé du secteur public
|
0
|
7
|
7
|
10
|
Employé du secteur privé
|
0
|
0
|
0
|
0
|
Total
|
37
|
33
|
70
|
100
|
|
SOURCE: Résultats de notre travail, septambre
2020
27
Nos enquêtés aux service d' ARV ont besoins
d'améliorer le régime alimentaire et les conditions de
santé dont le souci de se faire soigner à temps. Au cours de
notre travail, la profession nous a renseigné sur le pouvoir
économique permettant au patient de répondre à ces besoins
ci-haut cités.
Au moment où une personne infectée doit
améliorer ses conditions de vie liées à l'infection 80% de
nos enquêtés aux service d' ARV al'Hopitatal sont des
cultivateurs, les employeurs du secteur public représentent 10% tandis
que 10% sont des commerçants.
III.2 PRESENTATION DES RESULTATS DE L'ENQUETE PROPREMENT
DIT
Cette partie nous donne des résultats ressortis dans
notre enquête. Les données chiffrées recueillies au cours
de notre recherche sont présentées en chiffres bruts et en
pourcentage sous forme des tableaux.
III.2.1. Attentes des patients avant le début du
traitement ARV
Les attentes nous renseignent sur le niveau de confiance des
patients en rapport avec le traitement antirétroviral. Sur ce point une
personne
avait droit de donner plusieurs réponses. Le tableau
suivant donne la proportion des avis des patients vis-à-vis des
antirétroviraux.
Tableau n° 4 : Répartition des participants
suivant les attentes
Attentes
|
Féminin
|
Masculin
|
Total
|
Pourcentage
|
Vivre plus long temps
|
25
|
20
|
45
|
64,2
|
Guérir le SIDA
|
3
|
2
|
5
|
7,2
|
Reprendre la force
|
7
|
13
|
20
|
28,6
|
Autres
|
0
|
0
|
0
|
0
|
Total
|
35
|
35
|
70
|
100
|
|
28
Source : Résultats de notre travail, Aout
2020
L'attente citée principalement par les
enquêtés rencontrés est que le traitement ARV devrait aider
à vivre plus long temps et à mener une meilleure vie comme les
autres non infectés comme le montre ce tableau, 64,2% de nos
répondants avaient l'espoir qu'en prenant le traitement ARV, la vie
serait prolongée.
C'est dans ce sens que nos répondants à 28,6%
pensaient qu'avec les antirétroviraux, vont reprendre de la force et 7,2
croient sans doute qu'ils seront guéris grâce aux
antirétroviraux.
Actuellement, surtout les femmes pensent que le ARV
guérira du SIDA comme le témoigne une femme de 35 ans qui est
sous traitement depuis janvier 2010 : «Nkurikije uko narimeze
mbere yogufata imiti, nihebye, mbese ngiye gupfa ; none ubu ubuzima nibwiza pee
!mbona iyi miti izadukiza SIDA ndabyizeye = Me référant sur mon
état avant le traitement, désespérée, sur le point
de mourir ; actuellement ma vie est bonne, pleine de force ! Je pense que ces
médicaments nous guérirons le SIDA, je l'espère.
»
Contrairement aux autres, une femme de 38 ans sous ARV
al'Hopital de KIZIGURO dans son témoignage, a dit : «
je ne voulais pas prendre ce traitement. Vraiment avaler les
comprimés chaque jour à vie; ce n'est pas facile. Même si
je sais que ledit traitement aide pas mal des personnes infectées ;
quant à moi je devrais le prendre dans les 5 ans à venir ou non
».
III.2.2 Défis de mauvaise adherence aux
ARV
Les défis face de mauvaise adherence
aux ARV ont été soulignés par nos repondants dans
le tableau suivant. Au cours d'entretien sur ce point une personne avait droit
de donner plusieurs réponses.
Tableau n° 5 : Répartition des
répondants par défis rencontrés
Défis
|
Féminin
|
Masculin
|
Total
|
Pourcentage
|
Effets secondaires
|
Le facteur primordial souligné par la majorité
des participants dans notre enquête, c'est la conservation de
l'appétit soit 31,4%. Le traitement antirétroviral donne des
résultats
29
25
|
22
|
47
|
67,2
|
Augmentation du désire
|
|
|
|
|
|
Sexuel
|
|
8
|
4
|
12
|
17,2
|
Appétit exagéré
|
|
2
|
1
|
3
|
4,2
|
Stigmate
|
|
4
|
1
|
5
|
7,2
|
Interdiction aux certaines
habitudes dans la vie
quotidienne
|
|
2
|
1
|
3
|
4,2
|
Total
|
|
41
|
29
|
70
|
100
|
|
|
Source: Résultats de notre travail, juiellet
2020
Comme nous le constatons dans le tableau ci-dessus, 67,2% de
nos enquêtés accusent les effets secondaires indésirables
au traitement ARV, parmi nos enquêtés 12, soit 17,2% ont
déclaré avoir eu une augmentation de désire sexuel et que
seulement 4,2% ont déclaré l'appétit exagéré
; ainsi que 7,2% qui ont accusé le stigmate comme contrainte
rencontré au cours du traitement ARV. Un autre défis, nos
enquêtés à 4,2% nous ont parlé de l'interdiction aux
certaines habitudes dans la vie quotidienne comme l'alcool et le tabac,
utilisation du condom au sein du couple concordant positif ou avec discordance
des résultats etc.
En parlant des défis rencontrés au cours du
traitement ARV, nos répondants nous ont donné certaines
particularités pour le femmes et pour les hommes.
Une femme de 28 ans nous a revelé le grand défis
pour les femmes en général : « narimfite amaguru
meza nakundwaga n'abagabo bakayankundira, mbese
30
nicyocyiza nagiraga ; none kubera imiti amaguru
yaranyunyutse wagirango n'imirishyo y'ingoma. Ubu nsigaye nambara ibigera
kubirenge, kandi ubundi nikundiraga mini jupe yaramberaga. Mubyukuri iyonjya
kumenya ko bizagenda kuriya, ntabwo narikunywa ARV. Narikureka nkapfa, nugupfa
no gupfa nubundi. Erega umugore arangwa na taille ndetse n'amaguru meza=
j'avais des très belles jambes que les hommes aimaient, donc
c'était ma seule caractéristique de beauté; mais avec le
traitement, elles sont atrophiées, cachectiques, on dirait des
bâtonnés de tambour et je suis obligée de porter une longue
jupe jusqu'au talon. Si j'avais su, je devrais laisser ce traitement;
après tout c'est la mort».
Quant aux hommes, l'arrêt d'alcool et de tabac est une
grande barrière pour eux. Les hommes enquêtés, à
100% ont affirmé qu'ils continuent de prendre d'alcool voir même
impossible pour certains d'arrêter complètement cette habitude.
III.2.3. Motivations à l'adhérence aux
ARVs
Plusieurs facteurs d'adhérence ont été
indiqués par nos répondants dans le tableau suivant. Sur ce sujet
une personne peut avoir plusieurs motivations d'où des réponses
multiples.
Tableau n°6: Répartition des participants
selon la motivation à l'adhérence au traitement
Motivation
|
Féminin
|
Masculin
|
Total
|
Pourcentage
|
Reprise de poids
|
11
|
9
|
20
|
28,6
|
Reprise de la force
|
3
|
2
|
5
|
7,1
|
Disparition des infections Opportunists
|
4
|
5
|
9
|
12,9
|
ARV=Vie
|
8
|
6
|
14
|
20
|
Conservation de l'appétit
|
10
|
12
|
22
|
31,4
|
TOTAL
|
36
|
34
|
70
|
100
|
|
31
Source : Résultats de notre travail, Juiellet
2020
Miraculeux dont l'amélioration de la vie ainsi la
reprise de poids prend la deuxième place comme c'est bien
détaillé dans le tableau soit 28,6%, et certains croient que les
ARV sont égaux à la vie soit 20% ce qui stimule les patients sous
ARV à adhérer rigoureusement au traitement. Nous remarquons que
les ARV contribuent à la disparition des infections opportunistes
à 12,9% tandis que la reprise de la force est constatée à
7,1%.
III.2.4 Causes de mauvaise adherence aux ARV.
Pour les cas de mauvaise adhérence, la
responsabilité est partagée par plusieurs parties. Il existe des
causes liées aux médicaments, les autres liées aux
prestataires des services de prises en charges des PVVIH et enfin les autres
sont intimement liées aux patients eux-mêmes. Le tableau suivant
nous donne les détails. Comme ci haut signalé, les causes de
mauvaise adherence peuvent être variées pour une seule
personne.
Tableau n°7 : Répartition des participants
selon les causes de mauvaise adhérence ARV
Causes
|
Féminin
|
Masculin
|
Total
|
Pourcentage
|
Effets secondaires
|
7
|
8
|
15
|
21,4
|
Durée du traitement
|
10
|
6
|
16
|
22,9
|
Qualité d'accueil
|
8
|
12
|
20
|
28,5
|
Croyance religieuse
|
4
|
9
|
13
|
18,6
|
Patients indisciplinés
|
2
|
4
|
6
|
8,6
|
TOTAL
|
31
|
39
|
70
|
100
|
|
Source: Résultats de notre travail,juiellet
2020
32
Le mauvais accueil a été relaté à
28,5% par nos enquêtés comme facteur prépondérant
à la mauvaise adhérence ou abandon total au traitement
antirétroviral al'Hopital de KIZIGURO.
Comme nous témoigne cet homme de 49ans sous ARV en ces
termes : « le personnel d'ici nous traite comme des animaux, parmi les
femmes qui sont attachées à ce service nous harcèlent avec
des projections des paroles discriminatoires, malheureusement elles ne savent
pas que la vie est vis versa. Elles nous accueillent avec méfiance et
mépris de façon qu'on peut laisser le traitement; seulement on
n'a pas de choix pour sauver notre vie ».
Nous avons recueilli le même témoignage
auprès d'un cas mauvause adherance dans les mots ci-en septembre 2012 ;
le jour d'approvisionnement en médicaments j'étais malade et j'ai
envoyé mon mari, on l'a refusé ces médicaments. Quelques
jours après, j'ai repris la forme et je suis retournée au centre
de santé, malgré les explications le médecin et son
assistante sociale m'ont refusé également le traitement et voir
même suivie par des insultes provenant de l'assistante sociale qui m'a
dit que je n'aurai plus de traitement al'hopital de Kiziguro au si long temps
qu'elle serai encore au service. Alors ça fait une année que je
n'ai pas eu le traitement, c'est pourquoi je me suis décidé
d'aller prendre le traitement ailleurs. Comme nous constatons dans le tableau,
prendreles comprimés chaque jour à vie n'est pas aussi facile
c'est pourquoi 22,9% de nos répondants ont soulevé ce point comme
étant à la base de l'abandon du traitement. Les effets
secondaires ont été cités parmi les défis
rencontrés au cours du traitement. C'est pourquoi nos
enquêtés ont souligné encore une fois les effets
secondaires sévères parmi les causes d'abandon comme le
confirment 21,4% de nos répondants.
Un homme de 36ans nous confirme qu'il a
développé une nécrose de la tête fémorale
à cause du traitement ARV, aujourd'hui il marche sur les
béquilles.
La croyance religieuse a été soulignée
par nos enquêtés à 18,6% comme motif de mauvaise
adhérence pour certains. Une personne séropositive rencontre
plusieurs problèmes tels que : le désespoir pour l'avenir,
l'isolement pour certains, la stigmatisation et les effets des
médicaments qui ne sont pas moindre ; par conséquent cette
personne est obligé à s'abriter à Dieu à travers
les religions.
33
L'indiscipline de PVVIH est aussi signalée à
8,6% de nos répondants comme facteur de mauvaise adhésion au
traitement antirétroviral. La plupart des hommes séropositifs ont
difficultés d'arrêter l'alcool pendant le traitement à vie
; ils préfèrent en prendre en petite quantité à
table, par contre les femmes séropositives se trouvent confronter aux
problèmes liés à l'arrêt de consommation du tabac
à sucer où à croquer.
III.2.5 Expériences alimentaires liées au
traitement antirétroviral
Au cours d'entretien mené avec os enquêtés
qui sont sous traitement ARV, ils nous ont partagé plusieurs
problèmes liés au régime alimentaire conseillé par
l'équipe traitant.
Tableau n°8: Répartition des participants
selon le nombre des repas
Nombre des repas par
jour
|
Féminin
|
Masculin
|
Total
|
Pourcentage
|
3 fois par
jour
|
0
|
1
|
1
|
1,4
|
2fois par jour
|
4
|
8
|
12
|
17,1
|
1 fois par jour
|
18
|
20
|
38
|
54,3
|
Jeûne à maintes
reprises
|
7
|
12
|
19
|
27,2
|
TOTAL
|
29
|
41
|
70
|
100
|
|
Source: Résultats de notre travail, Juillet
2020
Les aliments pauvres et insuffisants en qualité et en
quantité sont mis en cause pour une mauvaise adhérence au
traitement, comme le tableau ci-dessus le montre 54,3% des
enquêtés ne mangent qu'une seule fois par jour; 27% restent en
maintes reprises sans manger. Cette situation est accusée de contraindre
une bonne adhésion au traitement ARV. Seulement 17,1% y parviennent deux
fois par jour et 1,4% mange trois fois par jour.
34
La plupart des patients sont cultivateurs, soit 80% de nos
répondants. Quant à eux trouver de quoi manger, ils doivent se
donner aux travaux ardus alors que leur état de santé
nécessite un repas équilibré et un repos.
III.2.6. Dépenses occasionnées par le
traitement antirétroviral
Après avoir causé avec nos enquêtés
sous ARV al'Hopital de KIZIGURO, ils ont évoqué les coûts
additionnels au traitement souvent qui gênent voire même entravent
l'adhérence et la réussite du traitement
antirétroviral.
Tableau n°9 : Présentation des
dépenses occasionnelles aux ARV par mois
Dépenses
|
Féminin
|
Masculin
|
Total
|
Pourcentage
|
Transports (900-
7000Frw) par mois
|
5
|
8
|
13
|
18,6
|
A pied
|
2
|
6
|
8
|
11,4
|
Achat des fruits (3000-10000Frw) par mois
|
2
|
4
|
6
|
8,5
|
Sans moyen
|
18
|
22
|
40
|
57,2
|
Autres régimes exigés par le
médecin (2500-9000)par mois
|
2
|
1
|
3
|
4,3
|
TOTAL
|
29
|
41
|
70
|
100
|
|
Les patients sous ARV souvent sont obligés de
s'acquiter de l'argent soit de transport pour les consultations
médicales programmés par le médecin pour le suivi et la
réquisition des ARV, soit pour acheter des fruits et autres
régimes exigés par le médecin.
35
Dans le tableau IX ci-dessus 8,5% de nos enquêtés
utilisent entre 3000 et 10000Frw par mois pour l'achat des fruits afin de
redonner la force à leur corps, 18,6% de nos répondants ont
affirmés avoir dépensé entre 9000 et 7000Frw pour le
transport par mois soit pour l'approvisionnement en médicaments soit
pour les consultations médicales, tandis que 57,2% ont
déclaré n'avoir pas de moyen pour effectuer des dépenses ;
par contre 4,3% affirment que les régimes exigés par le
médecin leur coûte facilement entre 2500 et 9000Frw par mois. Les
piétons parmi nos enquêtés représentent 11,4%.
|