3.2.2-La prévalence 12 derniers mois
Nous ne présenterons des tableaux que pour les
comportements déviants qui ont une relation statistique avec notre
variable indépendante lien affectif avec le quartier.
Tableau 4 : lien entre le lien affectif et les
comportements déviants (prévalence derniere année)
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Lien affectif en deux catégories
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Fort lien (N=2493)
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Faible lien (N=1097)
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Vandalisme
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Jamais commis
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2316
92.9%
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995
90.7%
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X²= 4.799
p-value=0.028
G=0.142
Phi=0.037
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Commis une fois
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177
7.1%
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102
9.3%
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Total
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100%
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100%
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Vol à l'étalage
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Jamais commis
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2286
91.7%
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980
89.3%
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X²= 5.202
p-value=0.023
G=0.138
Phi=0.038
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Commis une fois
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207
8.3%
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117
10.7%
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Total
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100%
|
100%
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Hacking
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Jamais commis
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2378
95.4%
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1027
93.6%
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X²= 5.034
p-value=0.025
G=0.173
Phi=0.38
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Commis une fois
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115
4.6%
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70
6.4%
|
Total
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100%
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100%
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Vente de drogues
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Jamais commis
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2433
97.6%
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1057
96.4%
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X²= 4.419
p-value=0.036
G=0.216
Phi=0.35
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Commis une fois
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60
2.4%
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40
3.6%
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Total
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100%
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100%
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A la lecture de ce tableau, nous constatons pour le vandalisme
que 9.3% des jeunes estimant avoir un faible lien affectif avec leur lieu de
résidence ont commis au moins un acte de vandalisme durant les 12
derniers mois qui ont précédé l'établissement du
sondage contre 7.1% en ce qui concerne ceux qui ont un lien affectif avec leur
quartier. Cependant, la force de la relation est faible.
Pour ce qui est du vol à l'étalage, nous
constatons que 10.7% des jeunes qui ont un faible lien affectif avec leur
quartier ont durant la dernière année commis au moins une fois ce
délit contre 8.3% des jeunes qui ont un lien affectif avec leur
quartier. La force de la relation est faible dans ce cas aussi.
Il existe aussi une relation statistique entre le hacking et
le lien affectif liant un jeune à son quartier en ce qui concerne la
prévalence 12 derniers mois. En effet, 6.4% des jeunes qui ont un faible
lien affectif avec leur quartier ont commis ce délit contre 4.6% des
jeunes qui ont un fort lien affectif. La force de la relation est faible
Concernant la vente de drogues, 3.6% des jeunes qui ont un
faible lien affectif avec leur lieu de résidence ont vendu au moins une
fois de la drogue durant la dernière année contre 2.4% des jeunes
qui ont un fort lien affectif. Comme dans les autres cas, la force de la
relation est faible.
En ce qui concerne la prévalence douze derniers mois,
nous remarquons que seuls ont une relation statistique avec notre variable
indépendante le vandalisme, le vol à l'étalage, le hacking
et la vente de drogues.
Les comportements déviants violents, les comportements
violents rares et les délits rares contre la propriété
n'ont quant à eux pas de relation statistique significative avec notre
variable indépendante.
Nous constatons une différence en ce sens que
concernant la prévalence vie, les délits rares contre la
propriété ont une relation statistique avec notre variable
indépendante et pas avec la prévalence douze derniers mois.
Pareil pour le hacking qui lui n'a pas de relation statistique avec la variable
indépendante avec la prévalence vie, mais en a une avec la
prévalence douze derniers mois.
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