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Le développement des activités pré commerciales et marketing des produits innovants de Cavalex vers les pays de Maghreb

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par Hassen Karim HAMDI
Université du Littoral Côte d'opale - DESS 2002
  

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Partie préliminaire : L'entrepreneur innovateur 

Selon l'OCDE, l'innovation est «la transformation d'une idée en un produit nouveau ou améliore lancé sur le marché, ou en un procédé opérationnel nouveau ou amélioré utilisé dans l'industrie et le commerce, ou en une nouvelle approche d'un service social»1(*). Cette description utile exprime bien que l'innovation est plus que la Recherche Développement puisqu'elle fait entrer en jeu les forces du marché. En outre, l'innovation peut toucher toute la gamme des activités humaines, bien que le contexte de la production industrielle soit la principale source d'innovations.

I- J.B. SAY: LE MÉTIER D'ENTREPRENEUR

Replaçant l'entrepreneur dans le contexte d'une économie industrielle de marché libre tel que A. Smith la décrit, Jean-Baptiste Say (1767-1832) rejoint certains points de l'analyse de l'entrepreneur par R. Cantillon. Cependant, J.B. Say approfondit certaines questions

i) l'identité de l'entrepreneur : un agriculteur, mais aussi un commerçant et un industriel

ii) J.B. Say précise les différentes tâches réalisées par l'entrepreneur industriel ce véritable métier ne permet plus de le considérer comme un parasite. Le profit perçu par l'entrepreneur rémunère ce dernier pour les tâches ainsi accomplies et les risques encourus. Plus généralement, l'entrepreneur est à l'origine de la création d'un surcroît de richesses dans le système économique;

iii) enfin, comme condition de l'efficacité de l'action de l'entrepreneur, l'État ne doit pas intervenir, sauf pour permettre aux travailleurs de s'instruire gratuitement, car ils ne peuvent payer les frais de leur éducation, alors qu'elle leur est nécessaire pour lire les instructions qui leur sont données, dans le cadre de la généralisation des méthodes industrielles de production. Pour le reste, J.B. Say reprend la définition de l»État-minimal» donnée par A. Smith.

1- Qui est l'entrepreneur ?

*Un producteur?

L'entrepreneur est un agent économique dont la mission principale consiste à produire, quel que soit le secteur d'activité l'agriculture, l'industrie ou le commerce. Or, qu'est ceque produire pour J.B. Say, sinon créer de la valeur ? L'industrie retient l'attention de l'auteur, dans la mesure où le processus de création de la valeur y est le plus évident et y fait exclusivement appel à l'action de l'homme «C'est en donnant aux produits d'une autre industrie, une valeur plus grande par les nouvelles façons qu'on y ajoute, par les transformations qu'on leur fait subir»2(*) Pour J.B. Say, nobles sont les «industrieux», c'est-à-dire les personnes travaillant dans l'industrie de manufacture et faisant appel à leurs «facultés industrielles». Dans ce groupe, on trouve aussi bien ceux qui travaillent pour le compte et sous la direction d'autres personnes, que les entrepreneurs travaillant pour leur propre compte et dirigeant, le cas échéant, d'autres «industrieux». L'entrepreneur d'industrie est celui qui se charge de trouver les moyens d'exécution humains et matériels, en les employant à ses frais. À l'exemple de R. Cantillon, J.B. Say souligne l'aléa attaché aux revenus des entrepreneurs, «variables et incertains parce qu'ils dépendent de la valeur des produits, et qu'on ne peut pas savoir d'avance avec exactitude, quels seront les besoins des hommes et le prix des produits qui leur sont destinés». En cas de succès, les entrepreneurs «peuvent prétendre aux plus hauts profits. Si plusieurs d'entre eux se ruinent, c'est aussi parmi eux que se font presque toutes les grandes fortunes»3(*)

*Un chef d'entreprise?

Par ailleurs, qu'importe la taille de l'entreprise dirigée par l'entrepreneur, car elle peut aller, selon J.B. Say, de la grande usine de production de masse, au petit atelier de production artisanale. Est entrepreneur aussi bien l'homme qui réunit un grand nombre d'ouvriers en ateliers, que tous les types d'artisans (maçon, charpentier, peintre en bâtiments). L'entrepreneur ne provient pas d'un groupe social en particulier, autrement dit, on ne naît pas entrepreneur, on le devient grâce à son activité. L'activité entrepreneuriale n'a rien à voir, selon J.B. Say, avec le statut social ou même le capital dont on dispose dès le départ.

J.B. Say propose ainsi la définition d'une «élite» nouvelle qui transcende les clivages de la société traditionnelle organisée autour de trois groupes distincts -l'aristocratie, le clergé et le tiers-état-, car elle n'est pas fonction de la naissance, mais du rôle tenu par les individus dans la production.

* Un individu exceptionnel?

Les qualités d'entrepreneur sont rarement réunies chez un même individu l'entrepreneur est plutôt l'exception que la règle. Il est d'autant plus nécessaire de n'exclure aucun candidat en prenant comme prétexte son origine sociale. Et même, l'individu bien né, détenteur de capitaux susceptibles d'être investis dans l'industrie, mais dépourvu de talent industriel, n'aura aucune idée du moyen lui permettant d'entretenir et d'augmenter son capital de départ.

L'entrepreneur doit consacrer une part importante de son profit aux investissements, sous l'aiguillon de la concurrence. Le système des valeurs aristocrates est mis à mal par l'entrepreneur le travail et le commerce supplante l'élégance indolente. Chez J.B. Say, la frustration devient un aiguillon, La satiété entraîne la paresse, incompatible avec les activités de l'entrepreneur.

La création d'une entreprise nouvelle nécessite de pouvoir disposer d'une certaine quantité de capital que l'on possède en propre ou bien que l'on a empruntée. Dans ce dernier cas, il faut être en mesure d'inspirer une confiance suffisante aux prêteurs d'argent afin d'emporter leur décision. En outre, l'entrepreneur doit bénéficier de qualités exceptionnelles : un jugement sûr, un grand dynamisme, une certaine connaissance des hommes et des choses.

2- Le rôle macro-économique de l'entrepreneur : produire et innover

* Le travail productif de l'entrepreneur :

L'entrepreneur contribue à accroître la richesse de la nation : son travail est productif, conduisant à la reproduction de la valeur des intrants productifs, plus un surcroît de valeur. Les deux valeurs additionnées, celle des intrants productifs et celle ajoutée par l'entrepreneur, sont égales à la valeur du bien final tel qu'il est mis sur le marché. Pour J.B. Say, les matières premières et le travail fourni par la main d'oeuvre, en vue de fabriquer un bien, sont consommées «reproductivement» par l'entrepreneur : «on consomme reproductivement le service d'un ouvrier, par exemple, lorsqu'on dirige son travail de manière que la consommation de la valeur de sa journée, reproduise dans le verre qu'il a soufflé, une autre valeur qui rembourse, avec profit, à l'entrepreneur l'avance qu'il a faite du prix de la journée»4(*)

Alors que A.R.J. Turgot affirme que seul l'agriculteur est susceptible de créer de la valeur, en reproduisant plus que la seule valeur des avances reçues, J.B. Say pense que l'industriel (et le commerçant) sont susceptibles aussi de créer de la valeur, dans la mesure où leur entreprise se révèle profitable au-delà des sommes nécessaires pour le paiement des fournitures, la location des bâtiments et du matériel, l'acquittement des salaires à la main d'oeuvre, y compris le salaire de l'entrepreneur lui-même. Même dans le cas où le profit est nul, l'entrepreneur, s'il ne crée pas de valeur supplémentaire, contribue à créer de l'activité économique. Ainsi, dans le cas où les avances sont tout juste remboursées par le produit de la vente du bien qu'elles ont servi à fabriquer, alors «la société n'en est pas plus riche si la valeur consommée a égalé la valeur produite ; mais elle n'en est pas plus pauvre, quoique les producteurs aient vécu par cette consommation» Finalement, l'entrepreneur est l'agent économique grâce auquel la société maintient sa cohérence et se soutient matériellement : «c'est sur des valeurs incessamment produites et consommées, que subsiste la société».5(*)

* Un innovateur

La dynamique de l'économie est aussi impulsée par l'introduction d'innovations par l'entrepreneur. N'oublions pas que «l'entrepreneur, écrit J.B. Say, se situe de ce point de vue entre le travail d'exécution de l'ouvrier et le travail de recherche du savant», inaugurant de cette façon, la pensée de J. Schumpeter. L'image de révolutionnaire de l'économie, au coeur de la réflexion de J. Schumpeter, est déjà présente chez J.B. Say «pour surmonter les obstacles, l'entrepreneur ne peut s'en remettre à la routine ; il doit sans cesse innover»6(*)

C'est donc à l'entrepreneur que l'on doit l'introduction et l'usage de machines toujours plus perfectionnées dans la mesure où elles permettent d'accroître la production, en quantité comme en qualité, tout en diminuant le nombre de bras nécessaires, et tout en diminuant la peine des ouvriers travaillant sur ces machines. Si bien que, de même que l'entrepreneur mérite la plus haute considération pour les services qu'il rend à la société en lui assurant sa subsistance, de même, le progrès technique et l'introduction de machines nouvelles dans le processus de production par l'entrepreneur doit être considéré comme un bienfait. L'emploi de machines perfectionnées reflète «la perfection de notre espèce». Surtout, ce progrès dans les techniques employées pour produire les biens permet d'accroître les richesses produites : «l'effet le plus important, quoique peut-être le moins aperçu, qui provient de l'emploi des machines et en général de tout procédé expéditif, est l'augmentation de revenu qui en résulte pour les consommateurs de leurs produits»7(*)

En effet, le progrès des techniques de production introduites par l'entrepreneur permet d'avilir le prix des biens produits, diminuant les dépenses de consommation des ménages, et donc augmentant la quantité d'autres biens qu'ils peuvent acheter. «Les progrès qui se font dans un genre en particulier, sont favorables à l'industrie en général. L'augmentation de revenus qui est résultée par la société d'une épargne sur ses dépenses, se porte vers d'autres objets» À ceux qui accusent l'entrepreneur innovateur de causer des pertes d'emplois, puisque les machines plus perfectionnées se substituent aux travailleurs humains, J.B. Say répond que le progrès technique supprime les travaux les plus pénibles, de même qu'il libère de la main d'oeuvre qui peut se consacrer à d'autres travaux. Si bien que l'auteur établit un parallèle entre le déplacement des dépenses de consommation vers d'autres secteurs de production et le déplacement de la main d'oeuvre qui va se faire employer dans les secteurs qui bénéficient du déplacement de la demande de consommation.

L'accroissement de richesse, fruit des opérations réalisées par l'entrepreneur et de l'introduction de nouvelles techniques de production, permet à J.B. Say de poser sa «loi des débouchés». La loi de l'offre décrit «un effet d'entraînement qui s'exerce entre les acteurs de l'industrie qui, en devenant de plus en plus nombreux, nourrissent un mouvement autonome de création de richesses, car ` dans tout État, écrit J.B. Say plus les producteurs sont nombreux et plus les productions multipliées, et plus les débouchés sont faciles, variés et vastes» Le fonctionnement de ce mécanisme provient du comportement dynamique de l'entrepreneur. Autrement dit, J.B. Say affirme qu'il revient à l'entrepreneur de déplacer les ressources économiques d'un niveau d'activité et de rendement à un niveau supérieur.

II- J. SCHUMPETER : L'ENTREPRENEUR ET L'INNOVATION

J. Schumpeter (1883-1950) critique le modèle statique walrasien, dont la principale limite consiste à percevoir tous les prix et les quantités en un même point du temps. L. Walras se réfère à un contexte économique statique. Au contraire, J. Schumpeter, pense que les environnements, tout comme les gens, ont une descendance, ce qui implique de prendre en compte les valeurs passées et futures des variables économiques, des délais, des séquences, des taux de variation, des grandeurs cumulées, des prévisions, etc. Seule une méthode dynamique est à même d'expliquer l'évolution économique. Selon la méthode statique, les changements du système sont le résultat de chocs externes. Ces changements sont en fait les réponses du système confronté à des chocs externes, que J. Schumpeter assimile à un processus d'adaptation passive, c'est-à-dire d'adaptation à l'intérieur des données fondamentales du système. J. Schumpeter rejette le modèle de l'équilibre stationnaire, revenant toujours à son état initial après avoir absorbé un choc externe.

Pour J. Schumpeter, l'équilibre économique est essentiellement instable, c'est-à-dire que les perturbations amènent des changements fondamentaux du système, l'éloignant de son état initial, définitivement. C'est précisément ce qui engendre la dynamique. Après un processus de déséquilibre, on s'achemine vers des transformations majeures impossibles à comprendre avec la méthode statique. Par son analyse, J. Schumpeter cherche à sortir du modèle d'économie pure.

1- La définition schumpetérienne de l'innovation

Pour J. Schumpeter, l'évolution économique se compose en «ruptures» successives. Ces dernières sont endogènes, car elles sont le résultat des innovations entrepreneuriales. Ces dernières sont indispensables non seulement à l'évolution économique, mais également au fonctionnement du capitalisme. Sans entrepreneur, pas d'innovation ; sans innovation, pas de propulsion capitaliste. J. Schumpeter souligne l'incompatibilité entre l'état stationnaire et la dynamique du capitalisme. L'état stationnaire, amenant une destruction avancée du système capitaliste, provoquerait des «désajustements, le chômage et la sous-utilisation des ressources», au sein d'un équilibre «neutre, instable et sous-optimal»8(*)

L'entrepreneur schumpeterien met fin à l'état d'équilibre, entraînant le reste du système économique derrière lui, grâce à l'innovation. L'innovation ne résulte pas du processus d'adaptation de l'offre aux changements de préférence des consommateurs, comme dans le modèle walrasien. Au contraire, l'innovation est le résultat de l'initiative des entrepreneurs, à laquelle les consommateurs n'ont plus qu'à s'adapter. En conséquence, on ne peut plus parler de processus de tâtonnement et de recherche de l'équilibre entre une demande et une offre indépendantes l'une de l'autre, comme expliqué par L. Walras : pour J. Schumpeter l'offre prime sur la demande. À l'image des tenants de l'école autrichienne qui attribuent à l'entrepreneur une subjectivité, J. Schumpeter donne à l'entrepreneur un rôle actif dans l'évolution économique, remettant en cause la conception mécaniste de l'économie néo classique.

Alors que, pour L. Walras, produire revient à combiner des ressources existantes selon une logique économique éprouvée, pour J. Schumpeter, produire autrement c'est combiner autrement les choses et les forces présentes. L'analyse de J. Schumpeter se rapproche de celle de J.B. Say dans la mesure où il considère l'entrepreneur comme le moteur de l'économie. Au contraire, pour L. Walras, l'économie n'a pas besoin de moteur, car elle est mû par des mécanismes spontanés le commissaire-priseur a dans ce modèle un rôle beaucoup plus important que l'entrepreneur, dont le rôle peut se résumer à combiner les facteurs de production.

Le concept de l'innovation schumpetérienne englobe les cinq cas suivants

i) Fabrication d'un bien nouveau, c'est à dire encore non familier au cercle des consommateurs, ou d'une qualité nouvelle d'un bien.

ii) Introduction d'une méthode de production nouvelle, c'est à dire pratiquement inconnue de la branche intéressée de l'industrie ; il n'est nullement nécessaire qu'elle repose sur une découverte scientifique nouvelle et elle peut aussi résider dans de nouveaux procédés commerciaux pour une marchandise.

iii) Ouverture d'un nouveau débouché, c'est à dire d'un marché où jusqu'à présent la branche intéressée de l'industrie du pays intéressé n'a pas encore été introduite, que ce marché ait existé avant ou non.

iv) Conquête d'une source nouvelle de matières premières ou de produits semi-ouvrés ; à nouveau, peu importe qu'il faille créer cette source ou qu'elle ait existé antérieurement, qu'on ne l'ait pas prise en considération ou qu'elle ait été tenue pour inaccessible.

v) Réalisation d'une nouvelle organisation, comme la création d'une situation de monopole.

2- L `entrepreneur plus qu`un simple chef d'entreprise

J. Schumpeter ne confond pas entrepreneur et simple chef d'entreprise, tout d'abord parce que peu de chefs d'entreprise rassemblent effectivement les qualités particulières de l'entrepreneur, et ensuite parce que l'entrepreneur peut être un salarié d'entreprise, «dépendant, c'est à dire salarié d'une société [tels les directeurs, les membres du comité directeur»9(*) aussi bien qu'un patron «indépendant'. J. Schumpeter précise cependant qu'il faut distinguer travail de direction, routinier10(*), d'une part, et acte entrepreneurial, véritable «force motrice», d'autre part.

De même que l'entrepreneur innovateur ne peut pas être assimilé à un directeur, il ne peut être confondu avec l'inventeur : «La fonction d'inventeur ou de technicien en général, et celle de l'entrepreneur ne coïncident pas. L'entrepreneur peut être aussi un inventeur et réciproquement, mais en principe ce n'est qu'accidentellement»11(*) Le rapport que l'entrepreneur de J. Schumpeter entretient avec l'inventeur peut être rapproché du rapport entretenu par l'entrepreneur de J.B. Say avec le savant t l'entrepreneur se sert de l'invention, du savoir scientifique produits par d'autres pour les transformer en innovations commercialisables.

J. Schumpeter ajoute à la liste des catégories d'entrepreneurs «ceux qui n'ont aucune relation durable avec une exploitation individuelle et n'entrent en action que pour donner de nouvelles formes à des exploitations tels pas mal de `financiers', de `fondateurs', de spécialistes du droit financier ou de techniciens»12(*) L'entrepreneur est davantage une fonction désincarnée qu'un personnage, il peut arriver que certains individus à des moments particuliers deviennent entrepreneurs, mais on ne peut être constamment un entrepreneur.

Conclusion :

Dans cette partie, on a ciblé quelques économistes fondateurs qui ont expliqué les qualités de l'entrepreneur. Ils ont mis l'accent sur l'innovation.

Elle est envisagée dans cette analyse comme les « éclaires de l'intuition géniales » de l'entrepreneur selon la formule de Schumpeter. Or c'est justement le cas dans notre mémoire qui parle de l'entrepreneur innovateur qui a recourt à la NTIC pour développer un produit innovant (logiciel informatique et Internet) dans les pays du Maghreb.

* 1 Conjoncture « où et comment financer l'innovation ? »n°225/ 2003 , p :7

* 2 Extrait du « catéchisme d'économie politique ou instruction familière qui montre de quelle façon les richesses sont produites. Distribuées et consommées dans la société » (1821), in JB.SAY. Cours d'économie politique et autres essais, GF-flammarion, 1996.

* 3 JB.SAY. op, cit ; p : 387

* 4 JB.SAY.op,cit ; p :325

* 5 JB.SAY. op, cit ;p : 336

* 6 J.B.SAY. textes choisis par P.L.Reynaud, Dalloz, Paris, 1953 , p, 118, in S.BOUTILLIER ET D.UZUNIDIS, l'idiologie de l'entrepreneur, problèmes économiques, n°2093, 3/10/1988

* 7 JB.SAY. op, cit, p : 289

* 8 J.Schumpeter, business cycles, A Theorical Historical and Statistcal Analysas of the Capitalist process (1939), porcupine press, Philapelphie ; 1989, P.405

* 9 J.Schumpeter, théorie de l'evolution économique, Recherche sur le profit, le crédit, l'intérêt et le cycle de la conjoncture (1912), Dalloz, 1935, p, 106

* 10 J.Schumpeter , po, cit, p, 120

* 11 Idem, p, 126

* 12 Idem, p, 107

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"La première panacée d'une nation mal gouvernée est l'inflation monétaire, la seconde, c'est la guerre. Tous deux apportent une prospérité temporaire, tous deux apportent une ruine permanente. Mais tous deux sont le refuge des opportunistes politiques et économiques"   Hemingway