1.7 IMPACT SOCIO-ECONOMIQUE
DES ACTIVITES DE LA BRALIMA
La bralima participe à sa manière à la
relance des activités économiques dans la région du Kivu.
A titre illustratif:
v Elle participe à la formation des futurs cadres du
pays par l'encadrement des stagiaires qui viennent des plusieurs institutions
universitaires de la place ;
v Elle contribue au développement économique par
la collaboration qui est établie entre elle et ses partenaires
(fournisseurs, sous-traitants, etc.)
v Elle ouvre la distribution de ses produits aux
intermédiaires qui lui proposent un support logistique
acceptable ;
v Elle participe au renflouement de la caisse de l'état
par le versement des impôts et taxes dans le compte du trésor
public ;
v Elle participe aux activités socio-culturelles et
sanitaires par:
-la construction d'une salle de pédiatrie et son
équipement à l'hôpital général de
référence de panzi ;
-la contribution à la construction de la salle
d'attente de l'aérogare de KAVUMU ;
-la participation à l'élection de miss ;
-le sponsoring de toute sorte dans les activités
universitaires, etc.
Actuellement, la bralima prévoit implanter une usine de
traitement des eaux usées provenant de ses installations car elle est
trop acculée par le ministère de la santé et de
l'environnement disant qu'elle pollue les eaux du lac Kivu. C'est pourquoi ici
2015, elle compte implanter cette usine de traitement de ces eaux usées
provenant de ses installations pour pouvoir être en règle avec
l'environnement.
La bralima siège de Bukavu tire ses ressources humaines
au niveau local et elle effectue un système de mutation de ses agents
d'un siège à un autre. Elle applique aussi une politique
d'externalisation dans le cadre de l'engagement de certains agents. Cette
tâche est assumée par la GEAC qui est une entreprise de gestion,
étude, audit et conseil basé dans la ville de Bukavu. Ainsi donc,
certains personnels ne sont pas directement engagés par la bralima, ils
sont engagés par la GEAC et la bralima achète ses services de
renforcement de sous-traitance. La bralima paie ce service et c'est à la
GEAC de payer ses agents bien que travaillant pour la bralima.
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