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Problematic of economic

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par Jean Jacques BASKAN
Universitad Militar Nueva Granada - Graduat 2008
  

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SECTION 2 : CADRE THEORIQUE SUR LES CHOIX DU MODE DE FINANCEMENT

a- Les choix du financement à long terme (financement stable)

· L'autofinancement : permet de financer des investissements risqués, de maintenir l'indépendance financière, et de conserver intact la possibilité d'emprunt externe. L'analyse de l'effet de levier financier peut cependant justifier du recours à l'endettement bancaire.

· L'apport en capital : garantit l'autonomie financière de la firme mais entraîne une dilution du pouvoir et un partage du résultat entre des mains plus nombreuses.

· L'endettement bancaire : dont le choix d'endettement dépend de la prise en compte de trois contraintes : le prix de l'autonomie financière; le coût de l'emprunt; le degré de risque du projet. Ce choix dépend souvent de l'analyse de l'effet de levier1, c'est-à-dire du mécanisme quiconsiste, pour l'entreprise, à accroître la rentabilité de ses capitaux propres en recourant partiellement à l'emprunt pour financer ses investissements. La firme bénéficie d'un effet de levier positif si le coût de l'emprunt (taux d'intérêt et coûts annexes) est inférieur à la rentabilité des capitaux, et d'un effet de levier négatif dans le cas inverse.

· Le crédit bail : est un mode de financement rapide et souple qui n'entraîne pas d'immobilisation de fond, avantageux dans le cas des technologies à renouvellement rapide (informatique). Cependant son coût est généralement élevé (sauf possibilité de déduction fiscale partielle).

b- Les choix du financement à court terme

· Le crédit interentreprises : dont l'importance varie avec la taille et le secteur d'activité de l'entreprise (important dans le cas de la grande distribution) n'induit pas de charges fixes, échappe au système bancaire, mais peut poser des problèmes de trésorerie (aux PME et TPE notamment).

· Les crédits de trésorerie : comme les autorisations de découverts bancaires sont souples et rapides mais leurs coûts sont généralement élevés.

· L'affacturage : reporte pour l'entreprise le risque d'insolvabilité du client sur le factor, mais le coût de cette technique est relativement élevé.

· L'escompte et le CMCC : sont répandus car moins risqués pour la banque (qui se retourne vers l'entreprise en cas de défaillance du débiteur) mais le volume escomptable est limité par un plafond.

SECTION 3 : CADRE THEORIQUE SUR LA TRESORERIE DE L'ENTREPRISE

La trésorerie d'une entreprise, est la somme de tous les avoirs et dettes à court terme. La trésorerie permet de :

· contrôler les entrées et sorties de fonds ;

· optimiser la gestion de trésorerie, dans un sens de sécurité et de rentabilité ;

· s'assurer de la bonne application des conditions bancaires : jours de valeur, frais appliqués sur flux de trésorerie.

La gestion de trésorerie consiste à veiller, à maintenir une liquidité suffisante pour faire face aux échéances, tout en optimisant la rentabilité des fonds.

Le cadre théorique évoquée dans ce chapitre permet de le comparer avec la pratique exercée à l'OCI. CHAPITRE II : LA GESTION DE TRESORERIE DE L'OCI

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"Je ne pense pas qu'un écrivain puisse avoir de profondes assises s'il n'a pas ressenti avec amertume les injustices de la société ou il vit"   Thomas Lanier dit Tennessie Williams