Le journalisme radiophonique à l'ère du numérique en République du Congopar Grâce Reffina ONDONGO ALLEMBE Université Marien Ngouabi - Master professionnel 2018 |
II-2- Revue de la littératureLa revue de la littérature, également nommée « état de l'art », permet d'inscrire le travail dans un cadre théorique existant. C'est dans ce sens que l'objectif de cette section est de passer en revue dans la mesure du possible, toute la littérature qui existe et qui a trait à notre thème de recherche. Nombreux sont les auteurs et cher- 25 Éditions Larousse, « Définitions : média, médias - Dictionnaire de français Larousse » [archive], sur www.larousse.fr (consulté le 25/09/2019) 26 MÉDIA : Définition de MÉDIA » [archive], sur www.cnrtl.fr (consulté le 25/09/2019) 29 cheurs en communication qui ont abordé les aspects du numérique sur les médias dans leurs ouvrages, articles, mémoires, thèses, etc. Au nombre de ces travaux, on peut retenir : II-2-1- Anne COUTARD (2001), « L'avenir de la radio à l'ère du numérique »27. L'auteur précise dans ce rapport que la numérisation de la radio ne se limite pas à sa diffusion terrestre ou par satellite, qui évolue pour l'instant assez lentement. Elle englobe également sa distribution sur l'internet et la téléphonie mobile, ou elle se développe même plus vite actuellement. En effet, la radio manifeste à la fois un relatif attentisme envers la numérisation de la diffusion terrestre, développée depuis une dizaine d'années en Europe sous la norme DAB 28et un vif intérêt pour l'internet ainsi que pour les futurs services mobiles. En effet, l'univers de concurrence des radios s'élargit, les acteurs changent de stature, les contenus circulent, légalement ou non et les détenteurs de droits s'efforcent de constater directement leur public, en échappant à l'emprise des médias. Avec le numérique, la radio pénètre donc dans un monde nouveau plus ouvert, plus instable aussi. Elle doit se préparer à vivre une mutation majeure. L'auteur poursuit que le succès de la radio analogique rencontre aujourd'hui sa limite. Aussi, les limites du modèle économique de la radio handicapent son développement et donc sa numérisation qui s'explique par la pénurie des fréquences, la fragilité du marché publicitaire. II-2-2- Nozha SMATI (2014) : « Compte rendu du 7e colloque international du Groupe de recherches et d'études sur la radio (GRER) sur le thème : information et journalisme radiophonique à l'ère du numérique.29 ». 27 COUTARD, A. (2000). L'avenir de la radio à l'ère du numérique. Rapport à Madame la ministre de la culture et de la communication de France sur la lettre de mission du 6 décembre, publié le 03/02/2002, lu le 22/09/2019. 28 (Digital audio broadcasting) dans le cadre du programme européen Eureka 147, seule technologie aboutie et en fonctionnement commercial aujourd'hui dans la plupart des pays européens et même dans un certain nombre d'autres (Canada, Taiwan...). Mais les ventes des nouveaux récepteurs de radio numérique tardent à décoller 29 SMATI, N. (2004). Information et journalisme radiophonique à l'ère du numérique. Compte rendu du 7e colloque international du Groupe de recherches et d'études sur la radio (GRER) et Centre universitaire d'enseignement du journalisme de l'Université de Strasbourg avec la collaboration de la Radio France International (RFI) du 20 au 21 mars 2014 à Strasbourg (France), publié dans la revue Le 30 Ce rapport basé sur les termes : « Radio, journalisme et numérique » qui a réuni des chercheurs et praticiens pour débattre sur les changements de la radio dans les pratiques professionnelles, les modes de production et de diffusion de l'information et la rencontre du media avec le web montre que les transformations des pratiques du journalisme radio à l'ère numérique ont été envisagées par les approches qualitatives et quantitatives. A cet effet, le GRER a fourni des éléments statistiques sur le passage du journalisme analogique au numérique. D'autres communications ont analysé les dispositifs d'interactivité numérique et l'importance des réseaux sociaux dans l'écosystème radiophonique ; de même la formation des journalistes radio doit permettre d'acquérir des savoir-faire multimédias spécifiques. La radio doit composer avec le numérique et la pluralité des modalités offertes par le web. Ainsi, sur le continent africain ou le taux de pénétration d'internet est encore faible. Le changement de la radio s'est opéré essentiellement grâce à la téléphonie mobile, en pleine expansion. Les mutations de la radio ont été interrogées en termes de contenus, formats, pratiques, usages et représentations. II-2-3- Etienne DAMOME (2016) : « Vers le tout numérique dans les radios de proximité en Afrique de l'ouest ? Synthèse d'étape et questions30 » Dans la même perspective que le rapport du GRER, cet article explique que le processus de numérisation des médias africains n'est pas uniforme et encore moins un mouvement d'ensemble. Il révèle et reflète une vraie fracture au sein du paysage médiatique mais également entre différents pays d'une même région. Surtout, il risque de créer une autre fracture entre les médias et leurs publics de référence et donc à la clé une dilution de leur identité première. Ainsi, les radiodiffuseurs africains ont pris la mesure de nouvelles possibilités qu'offre le numérique. Plusieurs centaines parmi eux proposent des contenus via des canaux satellitaires alors qu'on note également un intérêt croissant pour internet, la Temps des Médias 2014/2 (N°23) le 22/01/2015, lu le 24/09/2019, disponible sur https://www.cairn.info/revue-le-temps-des-medias-2014-2-page-201.htm 30 DAMOME, E. (2016). Vers le tout numérique dans les radios de proximité en Afrique de l'ouest ? Synthèse d'étape et questions. RadioMorphoses, [En ligne], n°1 -2016, mis en ligne le 18/11/2016, lu le 19/09/2019, URL : http://www.radiomorphoses.fr/index.php/2016/05/04/vers-le-tout-numérique-dans-les-radios-de-proximité-en-afrique-de-louest-synthese-detape-et-questions/ 31 téléphonie mobile et l'équipement en matériel numérique de production. Ce processus n'épargne aucun secteur et aucun pays d'autant que, au-delà de la mode, il semble y avoir une sorte de marché forcée imposée vers la radio, tout numérique31 que Pierre Martinot résume en ces termes : « il faut intégrer les nouvelles technologies à son projet media ou mourir ! ». L'auteur poursuit dans son article en disant qu'il est loin d'être uniforme dans la mesure où certains pays sont très en retard. Les difficultés économiques et le manque d'infrastructures de bases obligent beaucoup à se situer à la marge de ce mouvement. La nécessité d'une formation au numérique s'impose c'est-à-dire que le virage au numérique passe par la formation des journalistes à l'utilisation adéquate des équipements numériques et des logiciels de programmation assisté par ordinateur, de montage de son, de développement et de maintenance de sites web. « Le numérique s'impose à tout le monde et davantage encore au journaliste dans la pratique de son métier : il se doit donc de savoir y faire face », estime Stev de Radio Afram Plains du Ghana en juin 2010. Le numérique en Afrique à un chemin encore long en ce sens que l'analogie survit, il y a la disparité dans l'accès aux satellites, de même il y a des radios inégalement connectées à Internet et aux usages différenciés. II-2-4- Jerémy PIOTRAUT (2006) : « les conséquences de la convergence sur les médias traditionnels32 ». Dans cette thèse, PIOTRAUT définit la convergence comme un fruit de la technologie numérique qui permet de stocker différents types de contenu (audio, vidéo, texte) dans le même format et de le diffuser au moyen de multiples technologies comme l'ordinateur, le mobile, la TV... En effet, il existe la convergence technologique, des médias et du contenu. La convergence a donc une influence sur l'évolution des médias traditionnels. Le média traditionnel et son mode de consommation sont actuellement dans une phase de métamorphose. 31 Lancée aux États-Unis, la radio tout-numérique, Digital Audio Broadcasting (DAB), est plus économe en fréquences et de meilleure qualité sonore que la radio analogique. L'UIT a adopté la Digitale Radio Mondiale (DRM), moins coûteuse, utilisant des fréquences AM nationales ou des ondes courtes internationales, en complément du DAB. 32 PIOTRAUT, J. (2006). Les conséquences de la convergence sur les médias traditionnels. Thèse professionnelle, Euromed Marseille (Ecole de Management) 32 Par ailleurs, le média moderne ne peut plus se contenter d'informer, de décrypter ou de distraire, il doit également provoquer l'échange, favoriser l'écoute, multiplier les points de vue. A l'heure du web 2.0, les blogs deviennent des médias à part entière qui donne aux individus les moyens de s'exprimer sans connaissance technique particulière. Dans le même contexte l'auteur explique que dans le secteur de la radio, on assiste à des mutations. La numérisation, la multiplicité des vecteurs d'images, des textes et de sons brisent la logique des médias traditionnels. Le métier du journaliste entre dans une crise structurelle qui tend à redéfinir la fonction même de cette activité. II-2-S- Quentin LOUBOU (2014) : « Quel journalisme à l'ère de l'internet et des médias sociaux ?33 ». Le thème a été abordé mercredi 4 juin à Brazzaville, par Jean Claude Nkou, manager du portail Congo-site actualité, consultant en communication politique et spécialiste internet, médias sociaux et e-réputation, face à des étudiants en journalisme et communication de l'Université Marien-Ngouabi. Le développement rapide des médias numériques (journaux et TV en ligne) et des réseaux sociaux a bouleversé le circuit classique de l'information. « La profession évolue et fait apparaître de nouveaux métiers comme le journalisme reporter d'Image, le journalisme multimédia ou web journalisme », explique Jean Claude Nkou. Ainsi, grâce à Internet et aux plateformes de communication en ligne, tout le monde ou presque devient journaliste. Attirés par l'aisance que leur apportent les médias numériques et les réseaux sociaux, publier une information devient l'affaire d'un seul clic pour les journalistes. L'expert rappelle que les mutations technologiques en matière de traitement et de diffusion de l'information n'enlèvent pas les règles éthiques et déontologiques que doivent diriger le travail d'un professionnel. Si Internet est une formidable chance pour gagner en temps et en audience, l'information à diffuser doit être fouillée, vérifiée et obtenue de sources sûres, conclut Jean Claude Nkou. 33 LOUBOU, Q. (2014). Quel journalisme à l'ère de l'internet et des médias sociaux ? conférence-débat sur le journalisme à l'ère de l'internet et des médias sociaux, publié le 05 juin, lu le 14/09/2019 33 II-2-6- Idé HAMANI et Séverine EQUOY HUTIN : « Dynamiques (in-ter)médiatiques et Technologies Numériques de l'Information et de la Communication dans les démocraties africaines34 ». Ce document montre que dans les pays en voie de développement, les médias traditionnels constituent des outils privilégiés d'information et de propagande politique (Tudesq, 2002 ; Livingstone et Lunt, 1994 ; Lochard, 1994). Même si leur place et l'attitude des publics à leur égard ont beaucoup évolué vers une forme de méfiance, voire de défiance, ils représentent toujours des acteurs privilégiés de « l'âge de l'information » (Castells, 2000). Qu'on adopte une vision optimiste, fataliste ou relativiste, on ne peut aujourd'hui nier que les technologies numériques de l'information et de la communication (TNIC) sont des instruments de transformation des relations sociales qui bousculent la nature des liens entre acteurs et structures politiques, si bien qu'elles remettent en question les modalités de leurs appropriations et l'effet de leur usage sur les « façons de penser », les « façons de parler » et les « façons d'agir », et plus globalement sur les cultures et les comportements sociaux. Par ailleurs, les réseaux sociaux jouent un rôle particulier : en effet, accessibles depuis des supports de communication personnels (téléphone intelligent), faciles d'appropriation (Stenger et Coutant, 2015), ils permettent « à la manière de ce que font les journalistes reporters d'images, à un individu seul d'assurer production et diffusion de contenus dans des délais extrêmement courts, voire instantanément (Face-book, Twitter, Périscope, etc.) ». Les individus deviennent des médiateurs et entrent dans un système de relations complexes avec les professionnels de l'information, si bien que la frontière de la professionnalisation devient parfois difficilement saisissable. Sous cet angle, c'est la question de la relation aux « systèmes experts » dont font partie les médias qui se pose dans un contexte global de perte de confiance (Giddens, 1994). Les NTIC et les médias sociaux reconfigurent et revitalisent l'espace public médiatique. 34 HAMANI, I. et EQUOY HUTIN, S. (2018). Dynamiques (inter)médiatiques et Technologies Numériques de l'Information et de la Communication dans les démocraties africaines. Communication [En ligne], vol. 35/2 | 2018, en ligne depuis le 07 Décembre 2018, lu le 17 Septembre 2019. URL : http://journals.openedition.org/communication/8765/ ; DOI : 10.4000/communication.8765 34 II-2-7- Aude JIMINEZ : « Étudier la radio communautaire d'Afrique de l'Ouest à l'ère du numérique : instrumentalisation développementaliste, carences théoriques et apport des Community media studies35 ». Abordant dans le même sens que les travaux précédents, l'auteur précise que les recherches consacrées au lien entre radio et technologies numériques en Afrique se multiplient dans la littérature depuis le début des années 2000. Pourtant, peu d'études portent spécifiquement sur les évolutions technologiques de la radio communautaire du continent. En effet, les usages des « médias à l'heure du numérique », radio en tête, sont alors associés à ceux d'Internet et du téléphone portable. L'arrivée de ces deux technologies a ainsi transformé le monde médiatique de l'ouest africain ; concernant plus particulièrement la radio, Mary Myers décrit même l'apparition d'Internet comme une véritable révolution, la plus grande depuis l'arrivée du transistor sur le continent (Myers, 2011 : 6). Pourtant, on trouve très peu d'écrits sur les évolutions numériques de la radio de type communautaire du continent africain. Plus spécifiquement, alors que dans le cadre du contexte médiatique « web 2.0 » actuel les aspects « communautaire », « participatif » des médias n'ont jamais été autant d'actualité dans les études (Bruns, 2007; Carpentier et Scifo, 2010), on ne sait à peu près rien des nouvelles formes de communauté à l'oeuvre au sein de la RC (radio communautaire) afri-caine36 à l'ère du numérique. Dans son étude sur la radio burkinabè, Sylvie Capitant est la première à dénoncer cette instrumentalisation dans laquelle les médias, radio en tête, sont abordés comme : « ...des outils de développement, des outils de domination culturelle ou de domination politique, des outils de démocratie et, plus récemment, comme des outils de résolution de conflits. /.../ » (Capitant, 2008 : 57). Ainsi, depuis les études média- 35 JIMINEZ, A. (2016). Étudier la radio communautaire d'Afrique de l'Ouest à l'ère du numérique : ins-trumentalisation développementaliste, carences théoriques et apport des Community media studies. RadioMorphoses, [En ligne], n°1 - 2016, mis en ligne le « 18/11/2016 », lu le 27/09/2019 ; URL : http://www.radiomorphoses.fr/index.php/2016/10/01/etudier-la-radio-communautaire-dafrique-de-louest-a-lere-du-numerique-instrumentalisation-developpementaliste-carrences-theoriques-et-apport-des-community-media-studies/ 36 Ici c'est l'Afrique de l'Ouest qui nous intéresse, en référence au texte de Capitant et Frère sur les « deux Afrique médiatiques ». 35 tiques sur la radio de Shramm et Lerner37 pour l'UNESCO dans les années 60, « traditionnellement » la radio représente un outil privilégié de communication pour le développement en Afrique, et les chercheurs du domaine de la radio ont souvent un pied dans une organisation non gouvernementale (ONG) et un pied dans le domaine de la recherche. II-2-8- Fall NGAGNE (2017) : « Médias classiques face aux numériques : Quelles stratégies pour les radios généralistes au Sénégal ?38 ». Dans ce mémoire, Fall montre que les radios généralistes ne considèrent pas le web comme une stratégie de développement et de croissance économique. Les nouvelles opportunités numériques n'ont pas changé le mode d'écoute de la radio au Sénégal, qui reste analogique malgré le développement de l'internet. L'écoute de la radio à travers les sites internet, les applications et les médias sociaux n'est pas encore devenue une habitude pour les auditeurs qui préfèrent la réception hertzienne. Par contre, les dispositifs techniques sont plus profitables aux sénégalais de la diaspora, qui utilisent les sites internet et les applications pour capter les radios sénégalaises. Ainsi l'avènement des nouveaux médias a justement bouleversé les pratiques de la radio grâce à «l'émergence d'un nouveau format radiophonique en lien avec l'Inter-net et de ses possibilités de personnalisation des flux et de création collective de con-tenu.»39Cécile Méadel et Francesca Musiani montrent, dans le passage cité par Benoît LAFON, «comment Arte radio développe une logique de désynchronisation des consommations laissant à l'auditeur des possibilités ouvertes de choix d'écoute.»40De nos jours dans les émissions radiophoniques, les internautes ont la possibilité de participer en direct. Ils peuvent poser des questions et intervenir spontanément. On parle maintenant de social radio, l'auditeur peut désormais, à partir d'une même page internet 37 L'école de Shramm et Lerner symbolise ce courant avec la sortie en 1964 du livre de Shramm, « Mass Media and National Développent », qui deviendra très vite « la bible » d'un grand nombre d'acteurs du domaine. 38 NGAGNE, F. (2017). Médias classiques face aux numériques : quelles stratégies pour les radios généralistes au Sénégal ? Mémoire du Master 2: Sciences de l'information et de la communication. Université Grenoble, Alpes 39 LAFON, B. (2013). Les services publics de radio-télévision à l'orée du XXIe siècle. Entre (non)conceptions politiques, industrialisation et techniques numériques. Les Enjeux de l'information et de la communication, 2013/2 (n° 14/2), p. 3-14. Disponible sur : http://www.cairn.info/revue-les-enjeux-de-l-information-et-de-la-communication-2013-2-page-3.htm/ 40 Ibid. 36 suivre en direct le flux audio ou vidéo de l'antenne et réagir sur Facebook, Twitter. En France, beaucoup de radios ont déjà fait l'expérience. L'étude de Béatrice Donzelle sur les radios généralistes en France montre la tactique des radios qui « s'inspirent du modèle de la presse en ligne et des réseaux sociaux, les quatre généralistes (Europe1, RMC, RTL et France inter) proposent une offre délinéarisée de programmes et d'informations, sur leurs sites web et applications, et via leur présence sur les réseaux sociaux. Mais chacune d'elle prolonge le ton de son antenne et cultive son identité et ses affinités avec ses publics cibles. »41 C'est aussi ce que Mélanie Millette appelle « Pratiques transplateformes. »42 Pascal Durand a lui aussi souligné qu'«internet offre également l'opportunité de faire coexister la nécessaire professionnalisation de ces radios et l'expression des auditeurs, des bénévoles à travers... le collectage et la diffusion de contenus éditoriaux hétéroclites portés par des blogs, des sites personnels... la rediffusion de sons, de podcasts proposés y compris par les auditeurs...le Podcast, archives sonores...la connexion avec des réseaux sociaux visant notamment à faire vivre l'information en la soumettant aux réactions des internautes, à la discussion, à l'enrichissement, à la correction, à la confrontation des points de vues, voire à la controverse » 41GONZELLE, B. (2014). Quelle stratégie sur le web pour les radios généralistes. [Document en ligne] Inaglobal. Disponible sur : http://www.inaglobal.fr/radio/article/quelle-strategie-sur-le-web-pour-les-radios-generalistes-7879/ 42 MILLETTE, M. (2013). Pratiques transplateformes et convergence dans les usages des médias sociaux. Communication et organisation, 43|2013, 47-58. Disponible sur : http://communicationorganisation.revues.org.sid2nomade-2.grenet.fr/4116/ |
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