Chapitre 1 : Présentation de l'organisme
d'accueil Introduction
Le secteur bancaire est l'un des facteurs basique qui fournit
des efforts pour financer l'épargne national ainsi qu'il pousse l'Etat
pour forger sa liaison avec les institutions financières
résidentes ou non résidentes.
L'Amen Bank est la 1ère banque privée
tunisienne constitué en Tunisie ce qui reflète son image dans le
secteur bancaire. Pour former une idée au cours du période de
stage sur le contexte principal, durant ce premier chapitre nous serons
exposés à deux principaux volets : en premier lieu nous allons
procéder à une présentation du secteur bancaire tunisien
et en deuxième lieu nous allons procéder à une
présentation de l'Amen Bank auquel j'ai effectué mon stage.
Section 1 : Présentation du secteur bancaire
I. Présentation et évolution du secteur
bancaire
1. Présentation du secteur bancaire
Le secteur bancaire tunisien ne cesse d'aboutir un changement
structurel pour répondre aux mutations très accrue de la part des
agents financiers : cela par un passage d'un secteur protégé et
fermer à un secteur développé et dynamique en vue
d'enrichir l'économie tunisienne par une concurrence aigu entre les
établissements financiers.
De nouvelles réglementations sont apparues par la
banque centrale visant d'une part comme objectif la durabilité : une
meilleure sécurité et une fiabilité du système
bancaire. D'autre part la mise en oeuvre un système de contrôle
qui permet de limiter les fuites et en fin assurer une coopération pour
faciliter l'échange de l'information.
Actuellement le secteur comprend 34 banques subdivisées
entre résidente et non résidente sous le contrôle de la
banque centrale ayant une composition diversifié : 23 banques
universelles dont 12 banques ont une cotation boursière, 7 banques
profitent d'un statut Offshore, deux banques nommé d'affaire et deux
autres banques nommé banques islamiques
2. Evolution du secteur bancaire
Ce secteur a subi une évolution étalée
sur le long terme à partir des années 1956 après
l'indépendance le système bancaire n'a cessé de se
renforcer afin d'obtenir un développement économique.
En 1958 la naissance du système bancaire grâce
à la création de la banque centrale de Tunisie
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(la banque mère) par la suite l'état a
adopté une politique et une réglementation permettant de diriger
le secteur.
A partir de 1987 une évolution a été
conclu comme le résultat de la politique rigide adopté, en outre
de nouvelles méthodes de gestion ont été introduit par la
BCT comme étant une correction de la mauvaise politique utiliser.
Depuis les années 1997 la BCT à éditer un
programme qui comporte des lois et des réglementations destiné
pour rectifier le système bancaire et le mettre sous contrôle :
précisément on parle du développement de la
monétique, de la télé-compensation et du système de
paiement tout en mettant une politique de sécurité pour les
informations d'où on parle d'une large mutation contribuant à un
système abstrait.
En 2001 une promulgation de la loi bancaire concernant les
établissements de crédit permettant d'exercer librement le
métier bancaire tout en faisant disparaitre la séparation
juridique entre une banques de développement et celle de
dépôts qui représente une contrainte pour ces derniers, en
effet chaque établissement ayant l'agrément en tant qu'une banque
universelle à le pouvoir d'être spécialiste tout en tenant
compte de ses objectifs d'être rentable.
En 2006 une naissance d'un nouveau projet
complémentaire du système bancaire inventé en 1958 ayant
les objectifs suivants : assurer le suivi et la transparence, avoir un
système pouvant de contrôler les informations financières
et économiques, garantir la stabilité et l'amélioration
des services fournis par les banques.
En janvier 2009 une naissance d'un nouveau concept
appelé banque islamique par « banque Zitouna », cette
dernière démarre ses activités officiellement en Mai 2010
avec un capital de 30 Milliards dinars, après quelques mois son capital
a plus que doublé pour atteindre 70 milliards.
En 2011 le secteur a subi une récession dû
à la révolution tunisienne contribuant à une crise qui
regroupait toutes les contraintes suivants : un épuisement de
liquidité, des cumules d'endettement et un déséquilibre au
niveau de tous les secteurs par conséquent une dégradation
économique.
Après ce passage critique le secteur bancaire a pu se
rafraîchir grâce à une polarisation des agents
excédentaire de liquidité pour l'intégrer au
système bancaire et à présent on constate une
stabilité financière tout en agissant sur l'amélioration
régulièrement.
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