Actuellement, l'exposition de la banque face à une
multitude de risques est résultante de la continuité de son
activité, a ce stat-là nôtre intérêt est de
bien illustrer risque majeur pour la banque qui est le risque de
crédit.
Suite à l'interdépendance entre les types des
risques de crédit, nous distinguons 3 types à savoir : le risque
de défaut, le risque de dégradation de la qualité du
crédit et le risque de recouvrement.
2.1 Le risque de défaut
D'après les banquiers le risque de défaut est
considéré comme le risque le plus dangereux pouvant affecter la
situation financière. Il est défini comme la probabilité
d'un emprunteur de
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faire défaut c'est-à-dire de ne pas être
capable de couvrir le total ou une partie de sa dette à
l'échéance prévu.
Selon le document du comité de Bâle, on
considère un agent économique est en défaut que lorsqu'il
est caractérisé par un ou plusieurs éléments
suivants :
· L'emprunteur est incapable d'assurer le remboursement de
la totalité de sa dette.
· L'emprunteur subi une faillite juridiquement.
· Suite à une circonstance l'emprunteur est
caractérisé de défaut à partir d'une durée
de 90 jours.
· Identifier la perte et par la suite une constations
sera éditer de la façon suivante : une comptabilisation d'un
déficit et impliquer des réductions ou un
rééchelonnement du crédit à travers la principal,
les intérêts ou les commissions.
2.2 Le risque de dégradation de la qualité du
crédit
Il traduit la détérioration de la situation
financière de l'emprunteur, cette dégradation
génère l'augmentation de la probabilité de défaut
d'un débiteur par conséquent il entraine une diminution de la
valeur de la créance actuelle concerné ainsi qu'une croissance
pour la prime du risque ce qui baisse automatiquement la note chez les agences
de notation. L'écart de crédit est la prime du risque qui lui est
associée, sa valeur est déterminée à partir de la
marge de crédit qui est en fonction du pourcentage de défaut.
D'où on constate une baisse de la qualité de la
signature du débiteur engendre une perte de capital pour les
créanciers, par contre pour l'emprunteur la détérioration
de sa propre qualité de signature lui génère une hausse du
cout de financement tout en réduisant les revenus futurs.
2.3 Le risque du taux recouvrement
Dans un cas de constations d'une faille pour une entreprise
le créancier s'en charge de la parte encouru qui dépend d'un taux
de recouvrement et à travers quelques des procédures juridiques
ce taux de recouvrement est instaurer afin de calculer le pourcentage de la
créance qui sera regagnée. La procédure du recouvrement
sera traitée sur la base du principal et l'intérêt du
crédit après la déduction du montant de la garantie
associé à la créance.
Pour les banques, le taux de recouvrement est une source de
perplexité, la mesure de ce taux s'effectue à travers une
étude des facteurs suivants :
· La durée de la procédure juridique
(durée indifférente pour chaque pays)
· La valeur réelle de la garantie
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Le rang de la banque dans la liste des créanciers. La
perte obtenue pour la banque est calculé selon la forme suivante :
Perte de la banque = Montant de la créance x (1 -
Taux de recouvrement)