7 CRITIQUES
ET SUGGESTIONS
I. CRITIQUES
Apres avoir étudié ce phénomène
qui parle sur le commerce extérieur et le développement
socio-économique de la RDC ;
Ø Nous constatons que la demande des produits des biens
et service, n'est présente pas un accroissement au profit de la
population, c'est-à-dire les biens d'équipement présente
toujours un taux réel par rapport aux autres biens, le deux tableau des
recettes d'importations et d'exportations ne montre pas grand-chose, dans
chaque résultat nous constatons toujours une faiblesse dans l'ensemble
des opérations économique et commerciales ;
Ø Le mal fondamental de l'économie congolaise
vient à son extraversion c'est-à-dire son maintien se fait dans
l'ensemble de l'économie sociale et culturelle qui ne conçu pas
ex travestisme sur la composition des recettes de l'Etat ;
Ø Manque de la gestion comptable sur la passation de
chaque mouvement qui se fait sur les frontières en cas de la sortie des
marchandises.
II. SUGGESTIONS
Ø Aux autorités politico-administratives de la
RDC de mieux placé un objectif précis sur la loi de finance en
fin de faire face au défi qui se montre maintenant dans chaque mouvement
des activités commerciale
Ø Toutes choses égales restant égales par
ailleurs, un pays qui veut se développer a intérêt à
maintenir le volume de son commerce extérieur au plus bas niveau
comptable avec le rythme désiré d'accumulation interne, et encore
les seul moyen de minimiser les prélèvements de valeur
opérés à son détriment grâce au
système des prix mondiaux d'une part et de cherche à valoriser au
mieux l'ensemble des ressources potentielles du pays d'autre part ;
Ø Le premier critère d'une bonne gestion
extérieure d'une économie fondée sur les besoins internes,
c'est donc le critère des importations réduites au strict
nécessaire ;
Ø La seconde n'est que l'application du prix aux
clients réels étrangers. Ce qui vaut pour nous vaut pour les
autres, c'est pourquoi la matrice des besoins de l'extérieur doit
être établie en même temps que celle de l'intérieurs,
certain de ces secteurs de production ouverts à la fois au marché
extérieur et au marché intérieur ;
Ø Ainsi, la RDC doit ensuite améliorer ses
infrastructures en construisant des routes de desserte agricoles dans le but
d'assurer l'acheminement des produits vivriers vers les centres de consommation
et faire parvenir aux agriculteurs des matériels nécessaires pour
leurs activités agricoles, les activités commerciales ne pourront
escompter sur un progrès si les routes ne sont pas construites
étant donné qu'une production n'a de sens économique que
si elle est écoulée sur le marché ;
Ø Pour faciliter cette échange commerciaux, la
RDC doit encore place une politique nationale qui doit servir les
étranger en fin qu'elle puisse bien effectuée leurs commerce dans
ce pays.
|