I.2.8. L'influence étrangère à
la culture africaine :
L'influence que subit la culture africaine est liée
à l'ouverture au monde , l'adaptation à dynamique qu'impose
la cohabitation avec d'autres peuples. Ainsi l'influence de la culture
occidentale dans l'enseignement a rendu et continue à rendre
impérativement le rejet de certains caractères distinctifs de la
considération du peuple africain de de la phytothérapie . Cela
étant , on estime que les valeurs culturelles africaines sont
vivantes , perpétuellement en mouvement. Promouvoir la
diversité culturelle serait pérenniser et ouvrir la porte
à une réflexion sur la modernité.
Par contre , la lutte que je mène consiste à
préserver ses valeurs culturelles traditionnelles africaine dans le
domaine anthropologique , social , sanitaire , éducatif...car celles-ci
subissent des menaces qui planent leur avenir et pourtant jusque-là ,
ce sont des valeurs fondatrices de la modernité , garantissant les
droits et la dignité de tous , au- delà des clivages culturels
(Mushiya M.2007).
I.2.9 .Les menaces socio-économiques et
culturelles
Elles sont liées à la violation des pratiques
sociales et à la dégradation des conditions de vie
humaine,incriminées comme rançonnages aux populations par les
praticiens, spoliations des orphelins, mariages incestueux, croyances
àla sorcellerie, l'infatilation de la femme, etc.(Lydie G.2017)
I.2.10.Impact socio-politique des menaces de la
tradition sur le développement
Ce point dans cette étude consiste à monter les
persécutions des menaces faites aux pratiques africaines sur la
dynamique sociale. Les processus d'éradication des pratiques
communautaires est un indicateur incontournables qui n'exclut ni l'aspect
économique moins l'aspect culturel. Si les menaces faites aux pratiques
communautaires dénotent de nos jours d'une pathologie sociale manifeste,
la société pour ce faire ne pourra entrevoir une prospective
promettant. Sur le plan culturel, il s'observe encore une injuste
inégalité médicale, cet état de chose
présente l'homme comme l'acteur incontournable dans toutes les
structures sociales en dépit de la complémentarité qui
caractériserait les deux partenaires.
Sur le plan économique, on se rend compte
que la phytothérapie reste moins couteuse quel que soit le genre
d'exercice( Mbang, D.2005)
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