CONCLUSION PARTIELLE
La gestion des risques de crédit dans les banques
commerciales à la RAWBANK nous a permis de mettre en exergue les
risques fréquemment rencontré au niveau de la banque qui
résultent tant de son organisation interne que de la démarche
adapté pour traiter les dossiers de crédit. Ainsi pour
remédier aux faiblesses constatées nous avons formulé un
certains nombres de recommandations et suggestions que nous espérons que
la RAWBANK fera bon usage. Le risque de crédit est la
première cause interne des défaillances bancaires.
Cependant, à la cour de ces dernières décennies,
des modèles d'évaluation du risque de crédit, les outils
de gestion ont connu une expansion considérable dans le secteur bancaire
qui reste toujours marqué par le risque de crédit.
Le risque du risque peut être perçu comme un non
performance lorsque ce dernier n'est pas maitriser par les banques car il
constitue plus de 80% du bilan. Alors une gestion du risque de
crédit est d'autant important que les autres activités
principales d'une banque comme la transformation de l'actif et la production
de l'information. La gestion du risque de crédit comme nous
l'avons vu précédemment, correspond à l'ensemble des
techniques ayant pour but d'améliorer le couple
rentabilité-risque et permettant à la banque de bien
maitriser son portefeuille de crédit, ainsi que de
réduire le risque de faillite bancaire. La banque doit disposer d'un
système de gestion de risque efficace.
Cette stratégie de gestion du risque de crédit
peut se résumer comme suit :
· Identification des sources du risque ;
· Evaluation et mesure du risque ;
· Sélection des techniques de gestion des risques;
· La mise en oeuvre ;
· La surveillance des risques et
· Le reporting des risques.
L'obtention d'une analyse
conséquente repose sur la pertinence de demande de crédit
à tous les niveaux définis par la banque. Une mauvaise
appréciation des états financiers ou un dossier incomplets, ce
qui empêche aux chargés clientèle d'assurer un traitement
des dossiers, ils sont alors obligés d'appeler tout le temps ces clients
pour des compléments de dossiers, malheureusement cela faisait perdre
quelques jours à labanque, avec les implications en termes de manque
à gagner.
D'après la démarche que nous avons suivie dans
le cadre de la partie théorique on peut dire que la première
préoccupation pour une banque est de bien gérer le risque de
crédit auquel il se trouve exposé. Comme nous l'avons pu
constater précédemment, les moyens de se prémunir du
risque de crédit (les supports, les garanties et les
clignotants....) et les méthodes internes et externes
d'évaluation du risque de crédit sont assez variées.
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