Implémentation d'une application web pour la publication des résultats de fin d'année scolaire aux humanités: Cas du complexe scolaire LEMFU( Télécharger le fichier original )par Elie Master BOSA KIYIKA ISIPA - Graduat 2014 |
2.1.4. Modèle Conceptuel de Traitement (MCT)Le modèle conceptuel de traitement est un modèle permettant de représenter de façon schématique l'activité d'un système d'information sans faire référence à des choix organisationnels ou des moyens d'exécutions. C'est à dire qu'il permet de définir simplement ce qui doit être fait, mais il ne dit pas quand comment et où.[30(*)] Etat de la base d'information Faits et événements Processeur d'information Base d'information La démarche de MERISE soutient que tout système d'information est composé d'une base d'information et d'un processeur d'information qui représente respectivement sa statique et sa dynamique. L'événement matérialise un fait qui, en se produisant, doit déclencher une réaction du système. Plus précisément, cette notion couvre deux aspects : 1. le fait qui survient et sa perception. 2. Le compte rendu de cette perception faite auprès du système d'information. Seul le second aspect est pris en compte dans la dynamique du système d'information et correspond à la définition de l'événement. Du fait de cette restriction, l'événement doit obligatoirement être digéré par le système d'information, sans quoi il ne répondrait pas à ses objectifs. Parmi les événements on distingue : Ø Lesévénements internes : sont des événements émis par un acteur externe Ø Les événements externes : sont des événements qui surviennent lorsqu'une opération se termine. Certains événements externes sont liés au temps. Les occurrences d'événement ne seront pas modélisées par contre la capacité d'un événement qui est le nombre maximum d'occurrence acceptée par le processeur d'information et la fréquence d'apparition des occurrences le sont.[31(*)] La réponse à l'arrivé d'un événement est le déclenchement d'un ensemble de traitement appelé opération. Lors de son exécution, une opération ne peut pas être interrompue par l'attente d'un événement externe. L'exécution d'une action élémentaire s'effectuée sur les événement (s) déclencheur (s). Ces actions élémentaire portant sur des occurrences d'entités ou d'association du MCD et peuvent appartenir à l'un de quatre types : Ø Insertion Ø La modification Ø L'effacement Ø La recherche... La logique d'enchaînement des actions élémentaire n'est pas toujours séquentielle et peut faire intervenir des structures alternatives (si oui....alors.....si non) ou itératives (tant que......répéter.....pour).[32(*)] C'est aussi un ensemble d'actions accomplis par le système d'information en réaction à un évènement ou à une conjonction d'évènements et non interruptibles par un évènement externe.[33(*)] La synchronisation d'une pré-condition ou déclenchement d'une opération. Elle peut faire intervenir plusieurs événements. La synchronisation est aussi une condition booléenne (ET/OU) traduisant les règles de gestion que doivent respecter les événements pour déclencher une opération.[34(*)] E1 : Réception de la fiche des côtes E2 : Transcription E3 : Attente E4 : Dépôt de la fiche des côtes E5 : Calcul de pourcentage E6 : Transcription de la fiche des résultats E7 : Arrivé E8 : Présentation E9 : Réception E10 : Orientation E11 : Réception E12 : Vérification du solde E13 : Etablissement jeton et remise E14 : Réception jeton et orientation E15 : Présentation et réception E16 : Remise jeton et vérification E17 : Etablissement billet de vacance E18 : Remise billet de vacance + fiche des résultats E19 : Etablissement rapport E20 : Envoie rapport au chef d'établissement 2.1.4.6. S5 OP9 OP10 S1 OP1 OP2 S2 OP3OP4 OP7 OP8 E1 E2 E3 E9 E3 E7 E6 E8 E3 E10 E11 E5 E4 E3 S4 S3 OP5 OP6 E3 S9 OP17 OP18 OP15 OP16 E17 E16 E18 E19 S8 E3 E3 E20 A OP13OP14 S7 A E12 E13 OP11 OP12 E3 E14 S6 E3 E15
Merise est basée sur la séparation des données et des traitements à effectuer en plusieurs modèles conceptuels, organisationnels, logiques et physiques afin d'assurer une longévité au modèle. En effet, on observe que les traitements sont plus susceptibles de changements. On parle ainsi de la description dynamique du système d'information tandis que l'agencement des données n'a pas à être souvent remanié, c'est ce niveau que l'on parle de la description statique du système d'information. La méthode merise décrit l'aspect statique du système d'information par le modèle conceptuel de données qui peut être défini comme une représentation statique du système d'information de l'entreprise mettant en évidence sa sémantique et qui a pour but de décrire de façon formelle les données qui y seront utilisées. Quelques concepts de base du modèle conceptuel de données : Ø La priorité est une information élémentaire, c'est-à-dire non déductible d'autres informations, qui présentent un intérêt pour le domaine étudié. Ø L'occurrence est la valeur prise par une propriété Ø L'entité est la représentation d'un élément matériel ou immatériel ayant un rôle dans le système que l'on désire décrire Ø L'identifiant est un ensemble de propriétés (une ou plusieurs) permettant de designer une et une seule entité. L'identifiant est une propriété particulière d'un objet telle qu'il n'existe pas deux occurrences de cet objet pour lesquelles cette propriété pourrait prendre une même valeur. Ø Une association est un lien sémantique entre plusieurs entités. Elle est aussi appelé relation. Ø Les cardinalités permettent de caractériser le lien qui existe entre une entité et la relation à laquelle est reliée. La cardinalité d'une relation est composée d'une coupe comportant une borne maximale et une borne minimale, intervalle dans lequel la cardinalité d'une entité peut prendre sa valeur. Une règle de gestion est un élément de description globale du fonctionnement de l'organisation. Les règles de gestion peuventporter sur les données manipulées par l'organisation ou sur les traitements.[35(*)] Ces sont aussi des informations de commande ou d'instruction qui définissent la suite des opérations à effectuer pour passer des données de bases aux résultats. Elles permettent aussi de déterminer les cardinalités entre objets et relations : Règle 1 : - 1 enseignant possède 1 nationalité - 1 nationalité est possédée par 1, n enseignants Règle 2 : - 1 élève possède 1 nationalité - 1 nationalité est possédée par 1, n élèves Règle 3 : - 1 évaluation est passée par 1, n élèves au cours d'une année scolaire - Au cours d'1 année scolaire1 élève passe 1, n évaluations Règle 4 : - 1 évaluationappartientà 1 période - A 1 périodeappartiennent par 1, n évaluations Règle 5 : - Pour 1 matière sont passés 1, n évaluations - A 1 évaluation sont passées pour 1, n matières Règle 6 : - 1 matière est dispensée par 1, n enseignants - 1 enseignant dispense 1, n matières Règle 7 : - 1 enseignant fréquente 1, n classes au cours d'1,n années scolaires - Au cours d'1 année scolaire 1 classe est fréquentée par 1, n enseignants Règle 8 : - 1 évaluation appartient à 1 type évaluation - A 1 type évaluation appartiennent 1, n évaluations Règle 9 : - 1 période est contenuedans 1 semestre - Dans 1 semestresont contenues 1, n périodes Règle 10 : - 1 classe appartient à 1 option - A 1 option appartiennent 1, n classes Règle 11 : - 1 option se trouve dans 1 section - Dans une section se trouvent 1, n options Règle 12 : - 1 élève fréquente 1, n classes au cours d'1,n années scolaires - Au cours d'1 année scolaire 1 classe est fréquentée par 1, n élèves Règle 13 : - 1 enseignant possède 0, 1 grade - 1 grade est possédé par 1, n enseignants A. Entité - Elève - Enseignant - Nationalité - Evaluation - Classe - Matière - Grade - Option - Période - Semestre - Section - Année scolaire - Type évaluation B.Description des entités 1. Elève
2. Enseignant 3. Nationalité
4. Evaluation
5. Classe
6. Matière
7. Grade
8. Option
9. Section
10. Période
11. Semestre
12. Année scolaire
13. Type évaluation
A. Recensement des associations Une association est un lien entre deux ou plusieurs entités. On doit lui donner un nom, le plus souvent un verbe, qui caractérise le type de relation existante entre les entités. Une association possède parfois des propriétés. - Appartenir 1 - Appartenir 2 - Appartenir 3 - contenir - Dispenser - Fréquenter - Passer - Posséder 1 - Posséder 2 - Posséder 3 - Se trouver
B. Description des Associations Le dictionnaire des données constitue l'ensemble d'opérations utilisées aux différents niveaux d'analyse et de conception. Il contient en général les définitions des termes utilisés et classés par ordre alphabétique, il représente les sigles, les codes ou les symboles employés dans ce document précisément les synonymes et il permet également de définir la structure des données composées avec une notation syntaxique stricte.
Contenir 1,n 1,1 1,n 1,1 Période Codper libper Evaluation codevalu Libevalu Datevalu Cotmax Semestre Codsem libsem Appartenir 3 Classe codclas libgclas Passer cotobt 1,1 1,n 1,n 1,1 1,n 1,n 1,n 0,1 1,n 1,n 1,n 1,n 1,n 1,n 1,n 1,n 1,n 1,1 1,1 1,n codsec libsec Section Se trouver Option codopt libopt Année scolaire Codann andeb anfin Appartenir 1 Fréquenter Nationalité Codnat libnat Elève Matrielev Nom Postn Pren Sex adres Posséder 2 Matière Codemat libmat Dispenser Posséder 1 Grade codegrad libgrad Posséder 3 Enseignant Matriens Nom Postn Pren Sex adres Type évaluation Codtypeva libtypeva Appartenir 2 1,n 1,1
A. Moyens Humains
B. Moyens Matériels
Le complexe scolaire LEMFU ne dispose pas d'un système informatique efficace, toute fois, il ne doit pas être considéré comme point obligatoire pour la réalisation du présent projet. En effet, ça sera mieux de définir les objectifs de la concrétisation du projet actuel et ce dernier ne sera focaliser que sur un système de publication électronique des résultats. A. Aspects Positifs En tenant compte des interviews des agents trouvés sur terrain ; nous avons fait les constats suivants : - La délibération peut se faire après la publication des ; résultats pour certains élèves ; - Les enseignants ont la facilité de modifier leurs côtes ; - Les élèves bénéficient sur place des conseils oraux de leur conseiller pédagogique après la publication. B. Aspects Négatifs Pendant les recherches nous avons constaté les faits suivants : - La désorganisation des documents qui contiennent les résultats ; - La perte de temps ou feuilletage lors de la recherche des résultats de l'élève ; - La lassitude du conseiller pédagogique après quelques heures de travail ; - Le risque des pertes de documents après la publication ; - Le risque de fraude ; - L'impatience des certains élèves et parents aux jours de la publication causé par une longue durée d'attente ; - L'inexactitude dans les calculs lors de l'élaboration des points. Le but de cette étape est de proposer une ou plusieurs solutions capables de créer un système ou d'améliorer la qualité du système existant. Ainsi dans le cadre de notre étude, nous proposons deux solutions qui permettraient d'améliorer le système existant. A. Solution manuelle réorganisé A ce fait, nous suggérons une bonne organisation de la conservation des documents dans le but de pouvoir bien garder les résultats, afin d'une consultation ultérieure ; tout en prévoyant une offre en armoire qui va permettre d'un lieu d'archivage sûr des différents documents liés à cette gestion. B. Solution informatique Nous proposons une application web pour la publication des résultats en temps réelaprès la délibération ;facilitantles élèves de consulter leurs résultatsà n'importe quel endroit via l'internet. Cette application : - Apporte à l'école une nouvelle technologie(NTIC) ; - Nécessite la création d'une BDD en ligne pour la publication des résultats ; - Favorise une consultation très simplifiée des élèves avec un système de recherche flexible; - Archive les résultats et les autres informations avec une sécurité accrue. C. Choix d'une solution Dans le cadre de la solution à choisir, nous portons notre choix sur la solution informatique, car c'est elle qui va répondre à toutes les problématiques, difficultés et aspects soulevés dans cette gestion. Une fois la solution informatique est appliquée, il y aura comme avantage : - Circulation élargie des informations à travers le monde par le canal du web; - Réduction de temps de publication grâce à l'internet. L'étude détaillée consiste d'une part à affiner les solutions conçues lors de l'étude préalable et d'autre part à rédiger, pour chaque procédure mettre en oeuvre, un dossier de spécifications détaillé décrivant les supports (maquettes d'états ou d'écran) ainsi que les algorithmes associés aux règles de gestion... A l'issue de cette étude, il est possible de définir le cahier des charges utilisateurs qui constitue la base de l'engagement que prend le concepteur vis à vis des utilisateurs. Le fonctionnement détaillé du futur système, du point de vue de l'utilisateur, y est entièrement spécifié.[36(*)] C'est un procédé qui permet d'éliminer les redondances dans le MCD brut. Deux éléments essentiels vont nous permettre de procéder à l'épuration du MCD brut en occurrence de : ü la normalisation ü la vérification Deux éléments sont essentiels : ü la polysémie : est une forme de redondance due au fait qu'un mot ou une propriété a plusieurs sens ü la synonymie : une redondance due à l'utilisation. Celle-ci nous donne un certain nombre de règles, à savoir : 1ere forme normale : Un objet est en première forme normale, si toutes ses propriétés sont élémentaires et peuvent accepter un identifiant. 2e forme normale : un objet passe en deuxième forme normale, s'il est déjà en première forme normale et si toutes ses propriétés dépendent pleinement de l'identifiant. 3e forme normale : un objet passe en troisième forme normale, s'il est déjà en deuxième forme normale et si toutes ses propriétés dépendent directement de l'identifiant. § Les Contraintes d'intégrité
Les relations à CIM deviennent les tables et prennent les identifiants de deux entités associées (type de relation) : 0, n-1, n ; 0, n-0, n ; n, m-n, m. § La Contrainte d'inclusion La contrainte d'inclusion s'exprime entre une ou plusieurs associations sources appelées portéeet une seule association destination appelée cible. Si le pivot n'est pas précisé graphiquement (au moyen de traits en pointillés), il est nécessaire de le déterminer en appliquant la règle suivante : il est constitué des entités communes aux associations de la portée et de la cible. La contrainte d'inclusion garantit alors que Ens(Pivot,Portée) est inclus dans Ens(Pivot,Cible). Dans l'exemple suivant le pivot est implicite et correspond aux entitésELEVE et CLASSE. On a donc les deux égalités suivantes : Ens(Pivot,Portée) = Ens(Principal) Ens(Pivot,Cible) = Ens(Intervenir) Exemple :La contrainte d'inclusion assure que tout professeur principal d'une classe intervient dans la classe. § Les Concepts Etendus (Merise 2) Le modèle entité-association retenu par la méthode Merise date des années 70. Or les concepts de ce modèle peuvent s'avérer insuffisants pour modéliser certaines situations ou contraintes et l'on est obligé dans ce cas d'ajouter des commentaires pour en faire mention. Les extensions au modèle individuel remédient aux faiblesses du formalisme de base. § Le concept d'héritage Quand le concepteur s'aperçoit que plusieurs entités, proches mais distinctes, partagent un ensemble de caractéristiques, il doit mettre en oeuvre un processus de création d'entités génériques (ou entités sur-types) et d'entités spécialisées (ou entités sous-types) appelé «héritage ». Ce concept qui permet de représenter le lien « est-un » ou « IS-A » entre deux entités A et B (une occurrence de A est une occurrence de B) est représenté graphiquement par une flèche double allant de A vers B. On dit qu'il y a héritage simple quand un sous-type n'a qu'un seul sur-type. Dans ce cas, toutes les occurrences du sous-type sont en même temps des occurrences de son sur-type. Cela n'implique pas que toutes les occurrences du sur-type soient des occurrences de l'un des sous-types. Le schéma suivant illustre l'inclusion des ensembles d'occurrences des sous-types dans l'ensemble des occurrences du sur-type. Le sous-type hérite de toutes les propriétés de son sur-type y compris de son identifiant. Ce mécanisme qui correspond à l'héritage par spécialisation est utilisé dans le modèle suivant pour décrire l'univers du discours de notre travail.
1,1 Acteur #matriens #codemat #codclas, #codann, #matrielev #matriens Numacteur Nom Postn Pren Sex Tel Numparc Av Quart Com 1,n 1,n 1,n 1,n 1,n 1,1 1,n 0,1 Matière Codemat libmat Dispenser 1,n 1,1 1,n 1,n 1,1 CIF CIF Cotobt #matrielev #codevalu #codmat#codann 1,n 1,n Passer 1,1 1,n 1,1 1,n 1,n 1,n codsec libsec Section CIF C IF Année scolaire Codann andeb anfin Fréquenter CIF 1,n 1,n 1,1 1,n Nationalité Codnat libnat CIF CIF Grade codegrad libgrad Enseignant Matriens Elève Matrielev CIF Option codopt libopt Classe codclas libclas Evaluation Codevalu Libevalu Jourevalu Moisevalu Annevalu Cotmax Semestre Codsem libsem Période Codper libper Type évaluation Codtypeva libtypeva
a. Tables sémantiques - Acteur : {Numact, Nom, postn, pren, sexe, tél, numparc, av, quart, com} - Elève : {matrielev, #numact, #codnat} - Enseignant : {matriens, #numact, #codnat, #codegrad} - Nationalité : {codnat, libnat} - Evaluation : {codevalu, libevalu, jourevalu, moisevalu, annevalu,cotmax,#codtypeva, #codper} - Semestre : {codsem, libsem} - Période : {codrper, libper, #codsem} - Matière : {codmat, libmat} - Grade : {codegrad, libgrad} - Classe : {codclas, libclas, #codopt} - Option : {codopt, libopt, #codsec} - Section : {codsec, libsec} - Année scolaire : {codann, andeb, anfin} - Type évaluation : {codtypeva, libtypeva} b. Tables Relationnelles - Passer : {Cotobt, #matrielev, #codevalu, #codmat, #codann} - Fréquenter : {#codclas, #codann, #matrielev, #matriens} - Dispenser : {#matriens, #codemat} § Liste des élèves par classe § Liste des examens présentés par élève § liste des enseignants intervenant dans une classe par année scolaire § Historique de résultats par classe par année scolaire MATRICULENOMPOSTNOMPRENOMSEXE TOTAL GENERAL : 9999 DATE : XX/XX/XXXX PAGE : 99 Complexe scolaire LEMFU LISTE DES ELEVES PAR CLASSE SECTION :XXXXXX OPTION :XXXXXX ANNEE-SCOLAIRE :XXXXXX CLASSE :XXXXXX MATRICULE NOMPOSTNOMPRENOMSEXETELEPHONE GRADE TOTAL ENSINTCLA/ANSCOR : 9999 TOTAL GENERAL: 9999 COMPLEXE SCOLAIRE LEMFU DATE XX/XX /XXXX PAGE : 99 LISTE DES ENSEIGNANTS INTERVENANT DANS UNE CLASSE PAR ANNEE SCOLAIRE SECTION :XXXXXX OPTION :XXXXXX CLASSE :XXXXXXANNEE SCOLAIRE :XXXXXX NUMERO EXAMEN DATE EXAMEN LIBELLE MATIERE Complexe scolaire LEMFU DATE XX/XX/XXXX PAGE : 99 LISTE DES EXAMENS PRESENTES A UNSEMESTRE PAR CLASSE SECTION :XXXXXX OPTION :XXXXXX CLASSE :XXXXXX SEMESTRE :XXXXXX ANNEE - SCOLAIRE :XXXXXX TOTAL EXAM /CLASSE: 9999 TOTAL GENERAL :9999 ssss NOM POSTNOM LIBELLEMATIERECOTMAXCOTOBTENUMENTION DATE XX/XX/XXXX PAGE : 99 Complexe scolaire LEMFU HISTORIQUE DES RESULTATS PAR CLASSE PAR ANNEE SCOLAIRE SECTION : XXXXXX OPTION : XXXXXX CLASSE : XXXXXX ANNEE SCOLAIRE : XXXXXX NBRE DE REUSSITE : 9999 NBRE D'ECHEC : 9999 TOTAL GENERAL : 9999
Le MOT modélise les activités du domaine, compte tenu de l'organisation et des ressources (qui, où, quand, comment). Ainsi, chaque activité (nommée tâche ou phase) est homogène en terme de finalité, degré d'informatisation, poste, instant de réalisation, ressources. Cette exigence conduit naturellement à la décomposition de l'opération (conceptuelle) en de nombreuses tâches (organisationnelles). Il y a, de fait, corrélation entre le changement de
niveau (du conceptuel à l'organisationnel) et l'accroissement du
degré de détail. Le Modèle Organisationnel de Traitement (MOT) s'attache à décrire les propriétés des traitements non traités par le Modèle Conceptuel de Traitement (MCT) c'est - à - dire le temps, les ressources et le lieu. Le MOT consiste donc à la représentation du MCT dans un tableau dont les colonnes sont : la durée, le lieu, les responsables et les ressources nécessaires à une action.[37(*)]
Grade Classe Acteur Section Grade E2 E1 E1 E2 Fréquenter Année Scolaire Evaluation Option Année Sco. Matière Elève Passer Examen Semestre Fréquenter Elève Acteur Enseignant Fréquenter Année Scolaire Classe Section Option E3 Fréquenter Passer E4 Type évaluation PF1 PF2
* [30] Commentcamarche.net, 12/02/2013, mardi, 20h30. * [31 ] S. SI-SAID CHERFI, la méthode Merise, Ed. CNAM-Paris, 2006 * [32] KIKUATI C, Op. Cit, Page1 * [33] www.wikiauto.org/index.php/merise, 12/02/2013, mardi, 20h30 * [34]KayambaIlebemjaka, Op Cit, Page13 * [35] ACSIOME,Modélisation dans laconceptiondes systèmes d'information, éd. Masson,Paris1989. * [36]DIGALLO F, Op Cit, P11 * [37]YowaKasongo, TFC, Kinshasa, 2009-2010,P.56 |
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