4.1. L'évitement
La grandeur et la largesse des préjugés sur le
sida provoquent une complication sur les relations interpersonnelles. De ce
fait par rapport aux questions que nous avons administrées notamment
sur le volet (perception de la maladie). Nous avons
notifié une
grande place des fausses prétentions et des fausses
croyances caractérisée par une mauvaise maîtrise des moyens
de préventions et des modes de transmission qui s'avère un fait
dangereux pour cette population.
4.2 Perception des personnes vivant avec le
VIH/SIDA.
Cette notion d'évitement évoquée comme
titre du précèdent point justifie le poids des
préjugés à l'encontre duVIHsida.
Par ailleurs nous avons pu constater que jusqu'à
présent par l'effet de la mauvaise maîtrise des modes de
transmissions et la puissance du mot sida, certains éprouvent et ceci
avec un grand pourcentage des difficultés de travailler avec un parent
vivant avec le virus.
Plus loin une large expression sur l'impossibilité des
gens de vivre avec un parent porteur du virus et méme l'humanisme baisse
d'intensité dans cette zone car ci- haut dans le traitement des
résultats, il y est visible qu'un pourcentage représentatif des
enquêtées pensent que saluer un parent malade du sida serait un
geste difficile pour eux.
Ce qui témoigne quand même un effet de
stigmatisation très large et contre productif pouvant donc se
révéler nuisible pour les séropositifs de cette zone et
retarder le combat pour la promotion des droits humains chez les personnes
vivant avec le virus du sida
Donc le problème de la perception des malades du sida
doit être engagé et géré par des responsables de la
santé publiques et des chefs de familles afin de résoudre le
problème de la stigmatisation car il constitue un facteur grave et une
réelle entrave à la lutte contre cette épidémie.
Cette perception fait de la maladie à la base un
destructeur psychologique mis en place par un manque d'information cruel.
4.3 Les méfaits du manque d'informations dans la
perception du sida et des PVVIH
En effet selon l'ONU SIDA et l'OMS « la
stigmatisation et la discrimination sont en bonne figure parmi les obstacles
qui entravent les efforts déployés pour inverser le cours de
l'épidémie. Elles compromettent les efforts de prévention
en ce sens que les gens d'avoir à les subir ont peur de faire le test de
dépistage et reculent face à l'adoption de certaines mesures de
prévention. (...) » (Ref : ONUSIDA/OMS décembre 2003 page 5
et 6)
Par ailleurs ces deux phénomènes créent
une fausse impression de sécurité qui sape les efforts de
prévention souvent elles reposent sur des préjugés et des
schémas d'exclusion sociale, en associant au VIH/SIDA à des
groupes de personnes comme à part les nourrissent eux --mêmes
à tort l'illusion d'être à l'abri du risque .cela poussent
certaines personnes à perpétuer le risque
Par conséquent à la lumière des
enquêtes que nous avons effectuées dans cette zone d'Elmina le
poids des préjugés est très considérable dans ce
sens dans le questionnaire nous avons pu recueillir et recenser cet aspect car
parmi toutes personnes enquêtées nulle n'a effectué un test
de dépistage et que tous affiche un comportement de réticence vis
--à- vis de l'usage du préservatif et de ce qui s'en suit.
Le faible niveau de connaissance de la maladie qui est
à l'oeuvre dans cette zone (voir tableau de répartition
des enquêtées sur les fausses croyances sur le VIH/SIDA page 21)
et influe nettement dans le comportement que ces populations sont
censées adopter envers les malades du sida qu'ils soient parents de ces
derniers ou pas.
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