E-E : Lot trempé dans de l'eau de robinet
puis arrosé avec de l'eau
EB-E : Lot trempé dans de l'extrait brut à
12,5 mg/ml puis arrosé avec de l'eau
EB-EB : Lot trempé dans de l'extrait brut à
12,5 mg/ml puis arrosé avec le même extrait
E-EB : Lot trempé dans de l'eau de robinet puis
arrosé avec l'extrait brut à 12,5 mg/ml
Figure 9 : Croissance de
l'épicotyle de petit pois en fonction des conditions de
trempage
E-E : Lot trempé dans de l'eau de robinet puis
arrosé avec de l'eau
EB-E : Lot trempé dans de l'extrait brut à
12,5 mg/ml puis arrosé avec de l'eau
EB-EB : Lot trempé dans de l'extrait brut à
12,5 mg/ml puis arrosé avec le même extrait
E-EB : Lot trempé dans de l'eau de robinet puis
arrosé avec l'extrait brut à 12,5 mg/ml
Figure 10 : Croissance de l'hypocotyle de
petit pois en fonction des conditions de trempage
E-E : Lot trempé dans de l'eau de robinet puis
arrosé avec de l'eau
EB-E : Lot trempé dans de l'extrait brut à
12,5 mg/ml puis arrosé avec de l'eau
EB-EB : Lot trempé dans de l'extrait brut à
12,5 mg/ml puis arrosé avec le même extrait
E-EB : Lot trempé dans de l'eau de robinet puis
arrosé avec l'extrait brut à 12,5 mg/ml
3.2.1.1.2. Effets de l'extrait brut à
différentes concentrations sur la croissance des jeunes
plantules
Les figures 11 et 12 (p. 50) illustrent les effets de l'EB
à différentes concentrations sur la croissance de
l'épicotyle et l'hypocotyle de riz, et les figures 13 et 14 (p. 51)
montrent ceux du même extrait sur l'épicotyle et l'hypocotyle de
petit pois.
Pour le riz, on constate qu'avec la plus petite concentration
de l'EB utilisée (0,39 mg/ml), une inhibition de croissance
apparaît pour l'épicotyle alors qu'elle semble sans effet avec
l'hypocotyle. L'inhibition de la croissance de l'épicotyle est plus
accentuée avec l'EB à 1,56 mg/ml qu'avec l'EB à 3,12
et 6,5 mg/ml. La croissance de l'épicotyle est totalement
inhibée en présence de l'EB à 12,5 mg/ml.
Pour l'hypocotyle, une inhibition de la croissance, qui
s'accentue au fur et à mesure que la concentration de l'EB augmente, est
observée à partir de 0,78 mg/ml.
Figure 11 : Effets de l'extrait brut
à différentes concentrations sur la croissance de
l'épicotyle de riz
Figure12 : Effets de l'extrait brut
à différentes concentrations sur la croissance de l'hypocotyle de
riz
Pour le petit pois, à la concentration de 0,39 mg/ml de
l'EB, la croissance de l'épicotyle est surtout retardée et celle
de l'hypocotyle est faiblement inhibée. Puis, d'une manière
générale plus la concentration de EB utilisée augmente,
plus la croissance de l'épicotyle et de l'hypocotyle est
inhibée.
Figure 13 : Effets de l'extrait brut
à différentes concentrations sur la croissance de l'epicotyle de
petits pois
Figure14 : Effets de l'extrait brut
à différentes concentrations sur la croissance de l'hypocotyle de
petits pois
3.2.1.2. Effets sur la croissance des bourgeons
axillaires
Les effets de l'EB et E3 sur le développement des
bourgeons axillaires ont été déterminés par
comparaison avec ceux d'une hormone stimulatrice (gibbérelline) et d'une
hormone inhibitrice (auxine) de la croissance selon la méthode
décrite au paragraphe 2.2.3.3 (p. 34).
L'expérience a été réalisée
sur deux lots de cinq jeunes plantules de petit pois (Pisum
sativum) :
- la première plantule reçoit 50 ug de
l'EB ;
- la deuxième plantule reçoit 50 ug de
E3 ;
- la troisième plantule reçoit 50 ug de
gibbérelline ;
- la quatrième plantule reçoit 50 ug
d'auxine ;
- la dernière plantule, servant de témoin,
reçoit 1 ul d'eau distillée.
La figure 15 suivante montre les effets des deux extraits EB
et E3 sur le développement des bourgeons axillaires de petit pois.
Figure 15 : Effets des extraits sur le
développement des bourgeons axillaires de petit pois
Gib = gibbérelline Aux = Auxine EB= extrait brut E3=
extrait E3
D'après ces résultats, les extraits stimulent le
développement des bourgeons axillaires de petit pois. Cette stimulation
est plus prononcée pour E3 mais elle est inférieure à
celle provoqué par la gibbérelline, hormone stimulatrice de la
croissance.
3.3. EFFETS DES EXTRAITS SUR LES
MICROORGANISMES
3.3.1 Caractères
d'identification morphologique
Les cinq souches de bactéries utilisées comme
germes-tests sont colorées par coloration Gram, puis observées
sous microscope optique. Leurs caractéristiques sont
présentées dans le tableau 13 ci-dessous.
Tableau 13 : Caractéristiques des souches
utilisées
Souches
|
Gram
|
Forme
|
Escherichia coli
|
-
|
bacille
|
Salmonella typhi
|
-
|
bacille
|
Staphylococcus aureus
|
+
|
coque
|
Vibrio harveyi
|
-
|
vibrion
|
Vibrio fischeri
|
-
|
vibrion
|
3.3.2 Activité antimicrobienne de l'extrait
brut en milieu solide
La sensibilité des germes à l'extrait brut
à la concentration de 200 mg/ml est évaluée selon la
méthode des disques décrite au paragraphe 2.2.4.2. (p. 36).
Les résultats sont consignés dans le tableau 14
(p. 54).
Tableau 14 : Effets de l'extrait brut sur
les germes utilisés
Souches bactériennes
|
Résultats
|
Sensibilité du germe
|
Escherichia coli
|
-
|
Insensible
|
Salmonella typhi
|
-
|
Insensible
|
Staphylococcus aureus
|
-
|
Insensible
|
Vibrio harveyi
|
-
|
Insensible
|
Vibrio fischeri
|
-
|
Insensible
|
(-) = absence de halo d'inhibition
Ces résultats indiquent qu'aucun effet
antibactérien de l'EB à 200 mg/ml n'a été
observé sur les 5 souches bactériennes. Les germes
étudiés sont donc insensibles à l'EB à cette
concentration.
4. DISCUSSION ET CONCLUSION
|
L'extrait brut (EB) et l'extrait partiellement purifié
(E3) des feuilles de Pechia madagascariensis présentent des
effets toxiques sur divers organismes animaux et végétaux.
En effet, l'injection par voie ip de l'EB provoque chez la
souris des symptômes qui comportent essentiellement une contorsion
abdominale suivie d'une convulsion clonique très sévère.
Les symptômes portent à penser que les principes toxiques agissent
sur le système nerveux.
La valeur de la DL50 (24h) de l'EB est située entre
120,78 mg/kg et 128,5 mg/kg. Ainsi l'extrait est plus toxique que ceux des
feuilles de Cabucala erythrocarpa une autre APOCYNACEAE, pour laquelle
la DL50 de l'EB se situe entre 436,5 mg/kg et 476,2 mg/kg de souris (RAKOTO
ANJARANOROSOA, 2007). Par contre, il est moins toxique que l'extrait de
Pittosporum senacia dont la DL50 se situe entre 26,05 mg/kg et 27,41
mg/kg (RAZAFINTSALAMA, 2006). L'EB peut être qualifié de peu
toxique car sa DL50 est largement supérieure à 25 mg/kg, valeur
qui selon RAMADE (1979), est celle de la DL50 d'une substance très
toxique.
L'EB et l'extrait E3 ont également une activité
lytique sur les hématies de mouton à une concentration
supérieure ou égale à 0,5 mg/ml. Or, la présence de
saponines n'a pas été mise en évidence lors du criblage
phytochimique. Des travaux complémentaires sont donc nécessaires
pour apporter plus d'explications sur le phénomène de lyse des
globules rouges.
L'EB est très toxique sur les animaux à sang
froid. Les valeurs de la CL50 sont de 0,88 mg/ml pour les têtards de
grenouille, 0,41 mg/ml pour les alevins de poissons et 0,34 mg/ml pour les
larves de moustique. Ainsi l'utilisation des principes toxiques comme
larvicides et insecticides pour l'éradication de maladies comme la
malaria est envisageable.
Concernant les végétaux, à une
concentration de 1mg/ml, la plupart des graines testées sont insensibles
à l'EB. Néanmoins, la germination de certaines graines est
inhibée et ces dernières présentent des comportements
variables suivant les espèces. Cette variation pourrait résulter
d'une différence physiologique entre les graines. L'inhibition pourrait
être due à l'inactivation des enzymes nécessaires à
leur germination par l'EB.
L'EB exerce une inhibition de la croissance des
épicotyles et des hypocotyles des jeunes plantules de riz et de petit
pois. Cet effet est en général proportionnel aux concentrations
testées.
Par contre, l'EB et l'extrait E3 exercent un effet stimulateur
sur la croissance des bourgeons axillaires d'une jeune plantule. Cette
stimulation est toutefois inférieure à celui de la
gibbérelline. Notons que l'extrait E3 est plus actif que l'EB. Ceci
s'expliquerait par le degré de purification plus élevé de
l'extrait E3 par rapport à l'EB.
Sur les microorganismes, aucun des germes Gram+ et Gram -
utilisés (Echerichia coli, Salmonella typhimurium, Staphylococcus
aureus, Vibrio fischeri, Vibrio harveyi) n'a été sensible
à l'EB à 200 mg/ml. Pour mieux explorer l'activité
antimicrobienne de la plante, l'utilisation d'autres germes-tests est
nécessaire. Notons que les extraits de Cabucala erythrocarpa
n'ont pas d'effet sur les mêmes germes à la concentration 198
mg/ml (RAKOTO ANJANOROSOA, 2007).
Or, d'après la littérature, Pechia
madagascariensis est utilisée pour soigner les maux de ventre.
Cette propriété n'ayant pas pu être expliquée dans
le cadre de ce mémoire, des études plus poussées
pourraient permettre d'obtenir plus d'informations à ce sujet, à
moins qu'il s'agisse d'une affection d'origine non infectieuse.
CONCLUSION GENERALE ET PERSPECTIVES
CONCLUSION GENERALE ET PERSPECTIVES
D'AVENIR
|
En conclusion, les résultats que nous avons obtenus
dans le cadre de ce mémoire, bien qu'ils soient encore
préliminaires, ont permis de :
- montrer que les feuilles de Pechia madagascariensis
contiennent des principes toxiques pour les animaux à sang chaud et
à sang froid et pour quelques représentants des
végétaux ;
- mettre au point un procédé d'extraction et de
purification de ces principes toxiques ;
- apporter les premières informations sur leurs
propriétés physico-chimiques ;
- mettre en évidence et évaluer quelques-unes de
leurs propriétés biologiques.
Dans l'avenir, nous envisageons :
- d'apporter des améliorations dans le
procédé d'extraction et purification afin d'obtenir les principes
actifs à l'état pur ;
- d'approfondir l'étude de leurs
propriétés physico-chimiques et de déterminer leur nature
chimique ;
- d'étudier leur mécanisme d'action ;
- d'approfondir l'étude des propriétés
biologiques déjà mises en évidence, en particulier les
propriétés larvicides, et prospecter d'autres
propriétés permettant de mieux utiliser les feuilles de Pechia
madagascariensis
REFERENCES
BIBLIOGRAPHIQUES
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Techniques et applications en chimie organique. Paris : Dunod, 1970 ;
178p.
ANNEXES
ANNEXE I : Composition du réactif
à la vanilline sulfurique
Vanilline.....................................................
0,5 g
Acide sulfurique (H2SO4),
36N.........................100 ml
|