SUGGESTION
- L'Etat qui détient souvent leur capital, doit doter
un budget consistent à la banque centrale du Congo pour faire face
à tout ces problèmes parce que le budget est un instrument par
excellent de la gestion.
- Que l'Etat congolais fasse tout pour remplir ses missions
celle de financer les entreprises publiques de les sécuriser et de bien
rémunérer les fonctionnaires des entreprises publiques afin que
les principes de gestion soient bien respectés et appliqués
à tous les niveaux de la hiérarchie de celle-ci et fantaisistes
qui occasionnent la chute de l'entreprises et de servir ceux qui les
nomment ;
- Le manager ainsi que les travailleurs partout ou ils sen
trouvent qu'ils respectent scrupuleusement les principes de gestion qui sont
mis sur pieds dans l'entreprise pour le développement des
intérêts communautaires ;
- Savoir superviser et soutenir son personnel en
améliorant la performance de son personnel par un suivi qui pourra
guider et assister le personnel ;
- Fournir une retro-information (feed back) efficace
c'est-à-dire communiquer au personnel sa réaction
vis-à-vis du travail ;
- Il a toujours manqué quelque chose dans le chef des
dirigeants de la banque: l'esprit de responsabilité qui implique le
courage de dire non là où les choses vont mal ou ne vont pas du
tout, ce à partir d'une gestion prévisionnelle car connaissant la
réalité congolaise, ils ne pouvaient au contraire
prétendre trouvés des remèdes aux influences
extérieur venues des autorités publiques que par la
présentation d'une démission marquant leur mécontentement
et justifiant leur position par la manière dont ils se voient supplanter
par une structure qui bafoue l'intérêt supérieur de la
nation.
Mais hélas ! Dans toute l'histoire de la banque,
l'on a jamais noté une telle position, pas une seule démission du
comité de gestion pour de raison telle que celle susmentionnée,
mais au contraire, nous avons plutôt assisté à un
alignement des dirigeants de la banque sur les pas des autorités
publiques en cherchant à profiter du désordre introduit par ces
dernières.
Dans tous les cas, comme nous venons de le relever, la banque
centrale ne pas en mesure aujourd'hui de donnée le volume de la mase
monétaire en province et aussi passe pour la victime innocent dans le
disfonctionnement du circuit financier congolais et de l'économie
nationale qu'elle n'a pas su marquée de son emprunte du fait surtout de
l'influence des autorités publiques.
Nous pensons avoir répondu à la question
posée dans notre travail sachant aussi qu'il suscite d'autres encore.
Mais étant donnés que c'est une oeuvre humaine, les erreurs ne
manquent jamais. Par conséquent nous restons ouverts à toutes
critiques scientifiques ou suggestions constructives qui rendront ce travail
plus parfait.
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